Structure du bilan : passif et capitaux propres
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- Bilan : passif et capitaux propres
- Structure du bilan : actif
- Analyse des ratios d’activité à long terme
- Analyse DuPont : Désagrégation du ROE, de la ROAet du ratio de marge bénéficiaire nette
- Analyse des segments à présenter
- Ratio de marge bénéficiaire d’exploitation depuis 2005
- Ratio de rendement de l’actif (ROA) depuis 2005
- Ratio de liquidité actuel depuis 2005
- Ratio d’endettement par rapport aux capitaux propres depuis 2005
- Rapport cours/valeur comptable (P/BV) depuis 2005
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CoStar Group Inc., structure du bilan consolidé : passifs et capitaux propres (données trimestrielles)
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2023-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-03-31), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-03-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-03-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-03-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-03-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2018-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-03-31).
- Tendances générales du passif et des capitaux propres
- Sur la période analysée, la proportion des capitaux propres dans la passif total demeure majoritaire, oscillant généralement autour de 78 à 82 %. Cette stabilité indique une structure financière essentiellement autofinancée. En revanche, la part du passif total montre une légère augmentation au fil du temps, passant d'environ 9,5 % en 2018 à près de 18,3 % en 2023, reflétant une augmentation relative des dettes ou obligations financières.
- Évolution des comptes créditeurs
- Les comptes créditeurs, exprimés en pourcentage du passif total et des capitaux propres, présentent une tendance à la hausse, depuis environ 0,25-0,32 % en 2018 jusqu’à 0,34-0,71 % en 2023. Cette augmentation peut indiquer une croissance des obligations de paiement envers les fournisseurs ou autres partenaires commerciaux.
- Salaires et commissions accumulés
- Ce poste montre une évolution fluctuant autour de 1,07 à 1,65 % en 2018-2019, puis une baisse notable à environ 0,81-1,16 % de 2020 à 2023. La réduction pourrait signaler une gestion plus efficiente des charges sociales ou une variation dans la cadence des paiements différés liés aux rémunérations.
- Charges à payer
- Les charges à payer oscillent entre 0,71 % et 1,35 %, avec une tendance à la stabilité relative. En 2020, une hausse significative à 1,6 % est observée, possiblement en lien avec la gestion des coûts liés à la période de crise sanitaire. Par la suite, ces charges semblent se stabiliser autour de 1-1,33 %.
- Impôts sur les bénéfices à payer
- Ce poste fluctue de manière importante, passant de valeurs proches de zéro à un maximum de 0,98 % en 2022, avant de revenir à 0,02 % en 2020. La volatilité suggère une variabilité dans la charge d'impôt ou des ajustements spécifiques à chaque période comptable, notamment en lien avec la gestion fiscale ou des crédits d'impôt.
- Actifs liés à la vente d’immeuble et loyers différés
- Le gain différé sur la vente d’un immeuble est présent uniquement jusqu’en 2018, ce qui indique que cette opération spécifique ne s’est pas poursuivie ou que les gains différés ont été totalement amortis par la suite. En revanche, le loyer différé affiche des valeurs faibles et relativement stables, représentant une part minime et stable du passif.
- Produits reportés
- Ce poste montre une augmentation continue, passant d’environ 1,6 % en 2018 à un pic de 1,81 % en 2020, suivi d’une légère baisse puis stabilisation autour de 1,22-1,46 % en 2022-2023. La tendance à la hausse indique une accumulation de revenus différés, potentiellement liée à des contrats à long terme ou à des revenus non encore réalisés.
- Passif à court terme et autres passifs courants
- Le pourcentage du passif consacré aux passifs à court terme varie moyennement, avec une tendance à la légère augmentation, atteignant environ 4,71 % en 2023. La composition de ce passif montre aussi une croissance notable du montant relatif à la portion à court terme des contrats de location-exploitation, en particulier en 2020, où elle dépasse 0,4 %, puis fluctue entre 0,36 et 0,48 % jusqu’en 2023.
- Dette à long terme et obligations associées
- La dette à long terme nette représente une part variant d’environ 11,39 à 15,9 % du passif total, avec une tendance à la baisse après un pic en 2019, indiquant une réduction progressive de l’endettement à long terme. Les obligations locatives et autres passifs à long terme, pour leur part, apparaissent en croissance significative à partir de 2018, atteignant jusqu’à environ 3,59 %, avant de fluctuer dans une fourchette d’environ 0,83 à 3,59 % en 2023. Cela reflète une expansion des engagements liés à la location ou autres passifs à long terme.
- Impositions différées et autres dettes fiscales
- Les impôts différés, exprimés en pourcentage du passif, fluctuent doucement, avec une tendance à diminuer légèrement après un sommet en 2020, passant d’environ 2,11 % à 0,86 % en 2023. Par ailleurs, le montant en impôts sur les bénéfices à payer montre une forte volatilité, en particulier en 2019 avec un pic de 0,98 %, puis une baisse en 2020-2023. Ces variations indiquent des ajustements périodiques dans la gestion fiscale ou dans la reconnaissance des passifs fiscaux.
- Observations générales
- Au total, la structure du passif et des capitaux propres montre une consolidation progressive de la part des capitaux propres, tout en enregistrant une augmentation relative du passif total, notamment via des dettes à long terme et des obligations liées aux contrats de location. La gestion de la liquidité semble équilibrée, avec une stabilité dans la majorité des postes courants, tandis que la réduction de la dette à long terme reflète une tendance à la déleveraging sur la période. La croissance des produits reportés et de certains passifs à long terme pourrait indiquer une stratégie d’allongement de la reconnaissance des revenus ou des obligations contractuelles à un horizon plus long.