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- Bilan : passif et capitaux propres
- Analyse des ratios de liquidité
- Analyse des ratios d’activité à court terme
- Ratio valeur d’entreprise/EBITDA (EV/EBITDA)
- Modèle d’évaluation des immobilisations (CAPM)
- Ratio de marge bénéficiaire nette depuis 2020
- Ratio cours/bénéfice net (P/E) depuis 2020
- Rapport cours/valeur comptable (P/BV) depuis 2020
- Analyse de l’endettement
- Cumul des régularisations
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2024-12-31), 10-K (Date du rapport : 2023-12-31), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31).
- Tendances générales des revenus
- Le pourcentage du chiffre d'affaires provenant des revenus totaux reste constant à 100 %, ce qui indique une stabilité dans la reconnaissance de l'ensemble des recettes. La croissance du chiffre d'affaires n'est pas explicitement mentionnée, mais la tendance des autres postes financiers fournit des indications sur la performance globale de l'entreprise.
- Évolution du coût des revenus
- Le coût des revenus en pourcentage diminue progressivement de 25,93 % en 2020 à 16,92 % en 2024. Cette réduction suggère une amélioration de l'efficacité opérationnelle ou une optimisation des coûts directs liés à l'activité, contribuant positivement à la marge brute.
- Marge brute
- La marge brute en pourcentage augmente de 74,07 % en 2020 à 83,08 % en 2024. Cette tendance reflète une amélioration continue de la rentabilité brute, notamment grâce à la baisse relative du coût des revenus et à une gestion efficace des coûts directs.
- Frais opérationnels
- Les charges liées aux opérations et soutien, au développement de produits, ainsi qu'aux ventes et au marketing connaissent une réduction en pourcentage du chiffre d'affaires entre 2020 et 2024. La baisse significative des charges de développement de produits (de -81,49 % à -18,52 %) indique une maîtrise accrue des dépenses dans cette catégorie. La générale et administration ont connu une fluctuation, passant d'une baisse marquée à un pourcentage minimal en 2024, avec un pic négatif en 2021, ce qui pourrait refléter des ajustements ou des restructurations dans la gestion administrative.
- Bénéfice d'exploitation
- Une évolution très favorable est observée avec un passage d'une perte nette de -106,27 % en 2020 à un bénéfice net de 23,85 % en 2024. La perte en 2020 est principalement liée à une charge significative ou à des investissements lourds, puis un retour à une profitabilité dès 2021, avec une croissance soutenue. En 2022 et 2023, le bénéfice d'exploitation reste positif et en augmentation, indiquant une amélioration continue de la rentabilité opérationnelle.
- Revenus et charges d'intérêts
- Les revenus d’intérêts augmentent nettement, passant de 0,8 % en 2020 à 7,37 % en 2024, tandis que les charges d’intérêts diminuent en pourcentage. Cela indique une gestion plus efficace de la dette ou une réduction des charges financières, contribuant positivement au résultat financier global.
- Autres produits et charges
- Les autres produits nets évoluent de -28,04 % en 2020 à une quasi-neutralité en 2022, puis deviennent légèrement négatifs en 2023 et 2024. La réduction de cette ligne contribue à l'amélioration du résultat net, mais uneAttention doit être portée à la stabilité de ces autres éléments financiers.
- Bénéfice avant impôts et résultat net
- Le bénéfice (perte) avant impôts sur les bénéfices affiche une transition spectaculaire : une forte perte en 2020 (-138,59 %), puis une forte progression vers un bénéfice en 2022, 2023, et 2024 (supérieur à 20 %). Le bénéfice net suit une tendance similaire, passant de -135,71 % en 2020 à environ 24 % en 2024. Ces chiffres illustrent une récupération et une consolidation de la rentabilité après une période de pertes importantes.
- Impôts sur les bénéfices
- Les provisions ou charges d’impôt présentent une variabilité notable, alternant entre bénéfices et charges, avec un pic positif en 2023 (27,13 %) qui peut refléter une fiscalité accrue sur les résultats, suivi d’un retrait négatif en 2024. La gestion fiscale semble adaptable en fonction de la performance opérationnelle.