Structure du bilan : passif et capitaux propres
Données trimestrielles
Arista Networks Inc., structure du bilan consolidé : passifs et capitaux propres (données trimestrielles)
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2025-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2025-03-31), 10-K (Date du rapport : 2024-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2024-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2024-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2024-03-31), 10-K (Date du rapport : 2023-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2023-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-03-31), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-03-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-03-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-03-31).
- Évolution des comptes créditeurs
- Les comptes créditeurs représentent une faible proportion du passif total, oscillant entre 2,12 % et 4,72 %. On observe une tendance à la hausse en début de période, atteignant un pic à 4,72 % au troisième trimestre 2022, avant de diminuer progressivement pour se stabiliser autour de 2,25 % à 2,71 % à la fin de la période. Cette évolution pourrait indiquer une gestion stratégique des dettes fournisseurs ou une modification dans la politique de paiement.
- Évolution des courus
- Les dettes courues affichent une croissance notable au fil du temps, passant de 2,44 % fin mars 2020 à un sommet de 4,66 % au deuxième semestre 2022, puis réduites légèrement à 2,3 % fin juin 2025. La hausse depuis 2020 indique une augmentation des sommes dues mais non encore réglées, ce qui pourrait refléter un report de paiement ou une croissance des obligations commerciales à court terme.
- Produits reportés
- Les produits reportés constituent une part importante du passif, en hausse régulière, passant de 8,08 % fin mars 2020 à un pic de 16,86 % à fin juin 2025. La tendance à la hausse suggère une augmentation des revenus différés ou des avances reçues, renforçant la stabilité à court terme mais signalant également une dépendance à ces éléments de passif différé.
- Impôts sur les bénéfices à payer
- Les obligations fiscales à payer apparaissent uniquement à partir du dernier trimestre 2022, atteignant jusqu’à 1,72 % à fin juin 2025. Leur apparition pourrait indiquer une hausse des bénéfices imposables ou des modifications dans la gestion fiscale, mais leur impact reste modéré dans l’ensemble de la structure du passif.
- Autres passifs à court terme
- Ce poste fluctue, atteignant 5,17 % au quatrième trimestre 2021 avant de redescendre à 1,53 % au premier trimestre 2023, puis de remonter doucement à 2,05 % à fin 2024. La volatilité peut indiquer une gestion variable des passifs divers ou une réponse aux besoins opérationnels.»
- Passif à court terme
- Ce ratio augmente de manière continue, passant de 13,94 % à 24,5 % en fin de période, marquant une concentration croissante des obligations financières à court terme. Le pic en fin septembre 2024 indique une intensification potentielle des pressions de liquidité ou une augmentation des dettes à échéance courte.
- Produits reportés, non courants
- Les produits différés non courants évoluent modérément, passant de 6,44 % à 7,71 %, témoignant d’un maintien relativement stable. La hausse graduelle reflète peut-être une croissance des revenus différés à horizon long, sans changement majeur dans leur gestion.
- Autres passifs à long terme
- Ce poste diminue en proportion, passant de 10,35 % à environ 1,86 %, indiquant une réduction progressive des passifs à long terme autres que les obligations principales. Cela pourrait signifier un apurement de certains engagements ou un transfert de ces passifs vers d’autres catégories.
- Passifs à long terme
- Ils déclinant de 16,78 % à 8,78 % avant de remonter à 9,56 %, témoignent d’une gestion dynamique des obligations long terme. La réduction initiale pourrait refléter des remboursements ou des restructurations, tandis que la remontée indique un réapprovisionnement ou une nouvelle croissance dans cet aspect du passif.
- Tendance générale du total du passif
- Le total du passif en pourcentage du passif total et des capitaux propres oscille, avec une baisse notable à environ 25,48 % au premier semestre 2024, avant une reprise à 34,07 % à fin 2024. La tendance indique une gestion variable de l’endettement global, avec une augmentation à la fin de la période, traduisant une augmentation générale des obligations financières ou des passifs différés.
- Capital versé supplémentaire
- Ce poste connaît une décroissance régulière, de 27,95 % en mars 2020 à 15,94 % en fin septembre 2024. La réduction constante pourrait indiquer une diminution de la réserve de capital, potentiellement pour financer d’autres activités ou pour des ajustements de la structure financière.
- Bénéfices non répartis
- Les bénéfices non répartis augmentent de manière continue, passant de 41,31 % en mars 2020 à près de 53,92 % en septembre 2024, puis se stabilisent vers la fin de la période. Cette tendance montre une accumulation progressive du résultat retenu, renforçant la stabilité financière et la capacité à soutenir les opérations ou investir dans la croissance future.
- Capitaux propres
- Les capitaux propres représentent la majorité du passif, oscillant entre 65,93 % et 72,58 %, avec une tendance légèrement à la hausse, atteignant un pic à 74,52 %. La stabilité et la croissance relative de cette composante indiquent une consolidation du fonds propre, reflet d’une rentabilité ou d’une émission minime d’actions nouvelles.
- Observations générales
- Au fil du temps, il apparaît une dynamique où la proportion des passifs à court terme augmente, tandis que certains passifs à long terme diminuent ou se stabilisent. La structure capitale montre une augmentation des bénéfices non répartis et une diminution du capital supplémentaire, suggérant une gestion prudente visant à renforcer la solidité financière. La croissance significative des produits reportés pourrait indiquer une dépendance accrue à des revenus différés, tandis que la réduction des passifs à long terme indique une stratégie d'apurement ou de gestion du passif à long terme, dans un contexte de volatilité des obligations à court terme.