Structure du bilan : passif et capitaux propres
Données trimestrielles
Cisco Systems Inc., structure du bilan consolidé : passifs et capitaux propres (données trimestrielles)
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2025-04-26), 10-Q (Date du rapport : 2025-01-25), 10-Q (Date du rapport : 2024-10-26), 10-K (Date du rapport : 2024-07-27), 10-Q (Date du rapport : 2024-04-27), 10-Q (Date du rapport : 2024-01-27), 10-Q (Date du rapport : 2023-10-28), 10-K (Date du rapport : 2023-07-29), 10-Q (Date du rapport : 2023-04-29), 10-Q (Date du rapport : 2023-01-28), 10-Q (Date du rapport : 2022-10-29), 10-K (Date du rapport : 2022-07-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-01-29), 10-Q (Date du rapport : 2021-10-30), 10-K (Date du rapport : 2021-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-05-01), 10-Q (Date du rapport : 2021-01-23), 10-Q (Date du rapport : 2020-10-24), 10-K (Date du rapport : 2020-07-25), 10-Q (Date du rapport : 2020-04-25), 10-Q (Date du rapport : 2020-01-25), 10-Q (Date du rapport : 2019-10-26), 10-K (Date du rapport : 2019-07-27), 10-Q (Date du rapport : 2019-04-27), 10-Q (Date du rapport : 2019-01-26), 10-Q (Date du rapport : 2018-10-27).
- Tendance de la dette à court terme
- La proportion de la dette à court terme par rapport au total du passif et des capitaux propres a connu une variation notable, oscillant initialement autour de 6,87 % en octobre 2018, atteignant un pic à 10,42 % en juillet 2019, puis diminuant puis en second temps reconstruite jusqu’à dépasser 9 % en janvier 2024. Cette fluctuation indique une modulation dans le recours aux financements à court terme, avec une tendance globale vers une augmentation en fin de période observée.
- Évolution des comptes créditeurs
- Les comptes créditeurs ont présenté une tendance relativement stable, oscillant entre 1,62 % et un maximum de 2,50 % en janvier 2021. La part de ces comptes dans le passif a globalement montré une légère diminution vers la fin de la période considérée, ce qui pourrait suggérer une gestion prudente des dettes fournisseurs ou une approche plus structurée du cycle de paiement.
- Impôts sur les bénéfices à payer
- Cette composante a connu une croissance significative en termes de proportion, passant d’environ 1,03 % en octobre 2018 à un pic à 4,16 % en janvier 2021, avant une réduction notable à 1,52 % en avril 2024. La tendance suggère une fluctuation dans la charge fiscale immédiate ou dans la gestion du différé fiscal, avec une tendance globale à une diminution en fin de période.
- Rémunération accumulée
- La part de rémunérations accumulées dans le passif a connu une hausse progressive durant cette période, passant de 2,49 % en octobre 2018 à un maximum de 3,92 % en janvier 2021, puis se stabilisant autour de 2,7 %. Cela peut indiquer une augmentation des obligations sociales et salariales, tout en signalant une gestion relative de cette ligne au fil du temps.
- Produits reportés
- Les produits reportés ont constitué une part croissante du passif, passant d’environ 9,14 % en octobre 2018 à un maximum de 13,68 % en octobre 2020, avant une légère diminution par la suite. La tendance indique une augmentation de revenus différés, ce qui peut refléter des contrats ou des obligations à long terme en cours de réalisation ou de reconnaissance comptable.
- Autres passifs à court terme
- La proportion d’autres passifs à court terme a connu des fluctuations modérées, se maintenant généralement dans une fourchette de 3,8 % à 5,53 %, avec une tendance stable. La stabilité relative de cette ligne illustre une gestion conservatrice de ces dettes spécifiques à court terme.
- Passif à court terme dans son ensemble
- La part du passif à court terme par rapport au total du passif et capitaux propres a elle aussi varié sensiblement, passant d’environ 25,05 % en octobre 2018 à un maximum de 32,97 % en janvier 2024, témoignant d’une augmentation progressive de la dépendance vis-à-vis des financements à court terme, avec une tendance à renforcer cette composante à la fin de la période considérée.
- Dette à long terme (hors partie courante)
- Pour la dette à long terme, la part dans la structure financière a diminué initialement, passant de 17,38 % en octobre 2018 à un minimum d’environ 6,54 % en janvier 2024, témoignant d’un désendettement ou d’un transfert vers d’autres formes de financement, éventuellement par des dettes à plus court terme ou d’autres sources.
- Passifs à long terme
- La proportion de passifs à long terme est restée relativement stable, autour de 30 %, sauf en octobre 2024 où elle est remontée à environ 32,85 %. Cela indique une certaine stabilité dans la structure de la dette à long terme à l’exception de la dernière période où une légère augmentation a été observée.
- Equilibre entre capitaux propres et passif
- Les capitaux propres ont représenté une proportion comprise entre 36,54 % et 45,77 % du total du passif et des capitaux propres lors de la période. La tendance générale montre une légère augmentation de la part des capitaux propres, en particulier après 2021, ce qui pourrait refléter une politique de renforcement des fonds propres ou une amélioration de la solvabilité de l'entreprise.
- Évolution de la composition des capitaux propres
- Les actions ordinaires et le capital versé ont représenté une part majoritaire du capital, avec une légère hausse de leur part dans la période, passant d’environ 39,74 % à environ 45 % vers la fin. Les bénéfices non répartis ont fluctué, passant d’un déficit à une situation légèrement bénéficiaire, ce qui indiquerait une gestion des résultats favorable ou une distribution de dividendes modérée.
- Résumé global
- Les données révèlent une évolution où la structure financière tend à augmenter la proportion de capitaux propres, avec une réduction relative de la dette à long terme. La part du passif à court terme a connu une hausse notable, signalant une dépendance accrue à des financements à court terme ou des obligations immédiates. La gestion des éléments du passif témoigne d’une certaine stabilité, avec une tendance vers un désendettement à long terme tout en renforçant la solvabilité par une augmentation des capitaux propres. Enfin, les composants du passif restent relativement équilibrés, avec des fluctuations modérées qui reflètent une stratégie de gestion prudente en matière de liquidités et de structure de financement.