Structure du bilan : passif et capitaux propres
Données trimestrielles
Charter Communications Inc., structure du bilan consolidé : passifs et capitaux propres (données trimestrielles)
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2025-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2025-03-31), 10-K (Date du rapport : 2024-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2024-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2024-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2024-03-31), 10-K (Date du rapport : 2023-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2023-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-03-31), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-03-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-03-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-03-31).
- Évolution de la structure du passif à court terme
- La proportion des créditeurs, charges à payer et autres passifs à court terme par rapport au total du passif et des capitaux propres a connu une tendance à la hausse sur la période, passant d'environ 5,67 % au début de 2020 à près de 7,92 % à la fin de 2025. Cette croissance indique une augmentation relative des obligations à court terme de l’entreprise.
- Part de la dette à court terme à l’intérieur de la dette totale à long terme
- La portion de la dette à long terme, moins la partie à court terme, représentait initialement une majorité de la structure du passif, avec plus de 51 % en mars 2020, atteignant environ 66 % à mi-2022. Une légère baisse est observée à partir de cette période, se stabilisant autour de 61-66 %, ce qui peut indiquer une gestion modérée du renouvellement ou du remboursement de la dette à long terme.
- Variation du passif à long terme
- La part du passif à long terme, en pourcentage du total du passif et des capitaux propres, a augmenté de manière soutenue, passant d’environ 51 % en mars 2020 à plus de 82 % à la fin de 2022. Par la suite, une baisse progressive est constatée, se stabilisant autour de 77-81 %, témoignant d’un approfondissement du financement à long terme plutôt qu’à court terme.
- Proportion du total du passif
- Le total du passif par rapport au total des passifs et capitaux propres a augmenté continuellement, dépassant 91 % entre fin 2022 et début 2024, puis se stabilisant autour de 86-89 % à la fin de la période. Cela reflète une croissance de l’endettement ou des obligations hors capitaux propres au fil du temps.
- Capital versé supplémentaire et bénéfices non répartis
- Le capital versé supplémentaire a connu une baisse notable de 21,52 % en mars 2020 à environ 15,86 % en décembre 2023, représentant une réduction progressive, possiblement par rachat d’actions ou distribution. Par ailleurs, les bénéfices non répartis ont fluctué, passant d’un léger excédent en début de période, avec une croissance jusqu'à atteindre 1,4 %, pour ensuite devenir négatifs à partir de 2020, atteignant -10,26 % en fin 2022. Cette évolution indique que l’entreprise a peut-être distribué ou investi ses bénéfices accumulés, affectant négativement son résultat global accumulé.
- Composition du total des capitaux propres
- Le total des capitaux propres, en pourcentage du total du passif et des capitaux propres, a connu une baisse initiale, passant de plus de 25 % en mars 2020 à un creux de moins de 7 % en début 2024. Cependant, une croissance est observée par la suite, atteignant environ 13,59 % en septembre 2025, ce qui pourrait refléter une augmentation de la contribution des capitaux propres ou une réduction de l’endettement relatif.
- Évolution du stock de trésorerie
- Le stock de trésorerie au prix coûtant est globalement négatif tout au long de la période, indiquant un déficit de liquidités ou une gestion du cash avec des sorties nettes. La valeur en pourcentage fluctue entre -0,35 % et -6,43 %, avec des variations périodiques, sans tendance claire à l’amélioration ou à la dégradation significative sur le long terme.