Structure du bilan : actif
Données trimestrielles
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2025-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2025-03-31), 10-K (Date du rapport : 2024-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2024-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2024-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2024-03-31), 10-K (Date du rapport : 2023-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2023-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-03-31), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-03-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-03-31).
- Évolution de la trésorerie et équivalents de trésorerie
- La proportion de trésorerie et équivalents de trésorerie par rapport à l’actif total a connu une tendance à la baisse, passant d’environ 67,89 % au premier trimestre 2021 à environ 20,2 % à la fin 2022, puis remontant progressivement pour atteindre 33,16 % au troisième trimestre 2024. Cette baisse significative indique une diminution relative des liquidités, suivie d’un effort apparent pour reconstituer ces liquidités dans le contexte de l’accroissement des actifs ou de réallocation des ressources.
- Liquidités soumises à des restrictions
- Initialement absentes ou négligeables, ces liquidités ont substantiellement augmenté, atteignant 16,22 % de l’actif total au quatrième trimestre 2023. La présence accrue de liquidités restreintes peut signaler une augmentation des fonds soumis à des restrictions réglementaires ou contractuelles, ce qui peut influencer la disponibilité de trésorerie à court terme.
- Titres négociables à court terme
- Les titres négociables à court terme ont connu une réduction progressive, passant d’un pic de 21,58 % en juin 2021 à environ 6,42 % en septembre 2024. La diminution relative de ces instruments peut refléter une gestion active des liquidités, une rotation ou un recentrage sur d’autres actifs financiers ou investissements à plus long terme.
- Fonds détenus par des processeurs de paiement
- Ces fonds ont montré une stabilité relative, fluctuant légèrement autour de 3-4 % de l’actif total, avec une légère baisse à 1,9 % en juin 2025. Cette constance indique probablement une gestion régulière de ces fonds, essentielle pour les opérations de paiement de l’entreprise.
- Débiteurs, montant net
- Faisant état d’environ 4,78 % en 2021, cette ligne a évolué pour atteindre près de 5,76 % en juin 2023, puis une légère baisse à environ 4,96 % en mars 2025. La tendance à la hausse pourrait indiquer une augmentation des créances ou une croissance des activités, avec une stabilisation partielle vers la fin de la période analysée.
- Charges payées d’avance et autres actifs circulants
- Ce poste, représentant initialement autour de 2,4 %, a connu une augmentation significative atteignant plus de 6,83 % en décembre 2022, avant de diminuer à environ 4,86 % en mars 2025. La fluctuation peut refléter des variations dans les prépayements ou d’autres actifs circulants liés aux opérations.
- Actif circulant
- Sa part dans l’actif total a diminué initialement de 85,14 % en début 2021 à environ 47,55 % à la fin 2022, puis elle a connu une hausse progressive pour atteindre 57,86 % en juin 2024. La tendance montre un déplacement de la structure de l’actif vers des éléments moins liquides, potentiellement pour soutenir des investissements ou des actifs non circulants.
- Titres négociables à long terme
- Ce poste a progressé, passant de valeurs non précisées avant 2021 à environ 6,5 % en décembre 2023, puis une légère baisse à 4,28 % en septembre 2024. La croissance indique une stratégie d’investissement à moyen ou long terme, et leur légère réduction pourrait traduire une gestion active des portefeuilles.
- Actifs au titre du droit d’utilisation au titre des contrats de location-exploitation
- Ce poste a connu une stabilité relative, se situant autour de 4 %, avec une tendance légérement à la baisse à 2,31 % au troisième trimestre 2024. Cette évolution est cohérente avec un amortissement ou une renégociation des contrats de location.
- Immobilisations corporelles
- Calculant environ 4,24 % en 2021 pour commencer, cette valeur a augmenté jusqu’à 7,05 % en décembre 2022 pour ensuite se stabiliser autour de 6,23 % en septembre 2024. La tendance reflète un investissement progressif dans des actifs corporels, probablement liés à la croissance opérationnelle.
- Immobilisations incorporelles
- Initialement faibles, elles ont augmenté en 2022 pour atteindre environ 7,8 %, puis ont montré une légère baisse. La part de ces actifs souligne une stratégie axée sur les actifs immatériels tels que la propriété intellectuelle ou la technologie, avec une réduction récente pouvant refléter des amortissements ou cessions.
- Survaleur
- Représentant environ 5,35 % en 2021, sa part a fluctué entre 18 % et 24 % jusqu’en 2023, pour descendre à 20,82 % en mars 2025. La survaleur indique une prime payée lors d’acquisitions ou une estimation du goodwill associé aux opérations, avec une tendance à la diminution, peut-être liée à des dépréciations.
- Autres actifs
- Ce poste reste relativement stable autour de 4-5 % de l’actif total, avec une légère fluctuation. Son évolution indiquée par une croissance modérée reflète la présence d’actifs divers ou marginaux.
- Actifs non courants
- Leur pourcentage dans l’actif total a augmenté systématiquement, passant de 14,86 % début 2021 à environ 42 % en 2025, illustrant une tendance nette à l’accroissement des investissements à long terme, notamment dans les immobilisations et la valeur immatérielle.
- Résumé général
- Les données montrent une transition progressive d’une structure d’actif fortement liquide vers une composition plus équilibrée, intégrant une part croissante d’actifs non courants, notamment immobilisations corporelles et incorporelles. Cette évolution pourrait indiquer une stratégie d’investissement à long terme, une gestion active des liquidités et une adaptation aux besoins opérationnels en croissance. La diminution relative de la trésorerie dans l’actif total est compensée par une augmentation des investissements non courants, tout en maintenant une part significative d’actifs circulants permettant de soutenir les opérations courantes.