Structure du compte de résultat
Données trimestrielles
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2018-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2018-09-30), 10-K (Date du rapport : 2018-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-03-31), 10-Q (Date du rapport : 2017-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2017-09-30), 10-K (Date du rapport : 2017-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-03-31), 10-Q (Date du rapport : 2016-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2016-09-30), 10-K (Date du rapport : 2016-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-03-31), 10-Q (Date du rapport : 2015-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2015-09-30), 10-K (Date du rapport : 2015-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-03-31), 10-Q (Date du rapport : 2014-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2014-09-30), 10-K (Date du rapport : 2014-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-03-31), 10-Q (Date du rapport : 2013-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2013-09-30), 10-K (Date du rapport : 2013-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2013-03-31), 10-Q (Date du rapport : 2012-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2012-09-30).
- Tendances des revenus
- Les revenus de l'entreprise sont maintenus constants en tant que pourcentage du chiffre d'affaires, sans fluctuation notable au cours de la période observée. Ceci indique une stabilité relative du volume d'affaires ou une uniformité dans la reconnaissance des revenus.
- Charges d’exploitation
- La proportion des charges d’exploitation en pourcentage du chiffre d'affaires montre une tendance variable, principalement à la hausse lors de certains trimestres, notamment vers la fin de la période, où elle atteint plus de 70 %, puis revient à des niveaux inférieurs dans d’autres trimestres. La volatilité pourrait refléter des variations dans les coûts opérationnels ou des ajustements liés aux restructurations ou dépréciations.De façon générale, cette charge oscille autour de 60 %, ce qui impacte la marge brute et le résultat opérationnel.
- Marge brute
- La marge brute, exprimée en pourcentage du chiffre d'affaires, oscille généralement entre 28 % et 39 %. Après une tendance à la baisse en début de période, elle se redresse vers la fin, atteignant environ 39 %, avant de chuter de nouveau vers 29 % dans le dernier trimestre. La fluctuation pourrait être liée à des modifications dans la structure des coûts ou des revenus, ou à des événements exceptionnels affectant la rentabilité brute.
- Vente, général et administratif
- Les dépenses en pourcentage du chiffre d'affaires présentent une tendance stable, généralement autour de 12 à 14 %, avec quelques pics dans certains trimestres, notamment lors de périodes de restructurations ou d’événements exceptionnels. La stabilité relative souligne un contrôle maîtrisé des coûts de gestion administrative et commerciale.
- Dotations aux amortissements
- Les dotations aux amortissements en pourcentage du chiffre d'affaires évoluent de manière modérée, entre environ 1,76 % et 4,43 %. La variation indique une activité continue d'amortissement d'immobilisations corporelles ou incorporelles, avec une tendance à la légère hausse en fin de période, possiblement liée à de nouveaux investissements ou acquisitions amorties.
- Charges de dépréciation et de restructuration
- De faibles pourcentages, avec des pics occasionnels, notamment lors de trimestres particuliers où ces charges atteignent jusqu'à 4,63 %. La majorité des périodes montrent des valeurs proches de zéro ou faibles, indiquant que ces charges sont exceptionnelles ou ponctuelles.
- Résultat d'exploitation
- Le pourcentage du chiffre d'affaires dégagé en résultat d'exploitation varie entre environ 14,78 % et 23,73 %. Après une tendance à la hausse vers la fin de la période, ces résultats indiquent une amélioration de la rentabilité opérationnelle, malgré quelques fluctuations dans certains trimestres.
- Résultat financier et autres éléments
- Le résultat des opérations des sociétés affiliées fluctue, mais reste généralement positif ou proche de zéro, avec un pic notable vers la fin de la période. Les charges d’intérêts, en tant que pourcentage du chiffre d'affaires, suivent une tendance légèrement à la baisse, oscillant autour de -3,4 % à -4,8 %, témoignant d’un effort de réduction du coût de la dette ou d’une gestion favorable de la structure financière.\n Le revenu d’intérêts reste faible, généralement inférieur à 0,2 % du chiffre d'affaires, sauf exception en fin d’année où il atteint 1,01 %, ce qui pourrait indiquer un engagement accru dans des placements financiers ou des produits d’intérêt.
- Résultat avant impôts
- Le bénéfice lié aux activités poursuivies avant impôt montre une tendance à la hausse vers la fin de la période, avec une forte augmentation notable en fin d’année 2016 et début 2017, atteignant jusqu’à 135,95 %. Cependant, cette valeur reste volatile, reflétant des variations dans la rentabilité opérationnelle ou des événements exceptionnels impactant les résultats imposables.
- À l’impôt et bénéfice net
- Les charges d’impôt en pourcentage du chiffre d'affaires montrent une grande volatilité, avec des périodes où elles deviennent positives (notamment au quatrième trimestre 2017, avec 15,15 %) et d’autres où elles sont négatives, indiquant des crédits d’impôt ou des ajustements exceptionnels. Le bénéfice net attribuable aux actionnaires suit une tendance de fluctuation importante : il atteint un pic à environ 38 % lors de certains trimestres, puis chute à moins de 3 % ou enregistre des pertes dans d’autres trimestres, notamment à partir de 2018, avec quelques signes de reprise fin 2018.
- Bénéfice net global
- Globalement, la performance en termes de bénéfice net est marquée par une forte volatilité, avec certains trimestres enregistrant des bénéfices significatifs et d’autres des pertes. La tendance générale indique une progression dans certaines périodes, mais aussi des périodes de baisse substantielle, pouvant être liées à des charges exceptionnelles, restructurations ou dépréciations spécifiques.
- Participations ne donnant pas le contrôle et autres
- Le bénéfice attribuable aux participations ne donnant pas le contrôle reste négatif dans la majorité des cas, avec des valeurs proches de zéro ou légèrement négatives, reflétant une contribution limitée ou des coûts liés à ces participations. La part du bénéfice attribuable aux actionnaires de la société affiche également une forte volatilité mais tend à suivre l’évolution du bénéfice net, avec des périodes de légères améliorations.