Structure du bilan : actif
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2024-08-31), 10-K (Date du rapport : 2023-08-31), 10-K (Date du rapport : 2022-08-31), 10-K (Date du rapport : 2021-08-31), 10-K (Date du rapport : 2020-08-31), 10-K (Date du rapport : 2019-08-31).
- Trésorerie et équivalents de trésorerie
- La part de la trésorerie et équivalents de trésorerie dans l’actif total a connu une augmentation entre 2019 et 2020, passant de 20,57 % à 22,7 %. Cependant, cette proportion a ensuite diminué de manière progressive jusqu’en 2024, atteignant 8,95 %, indiquant une réduction significative des liquidités disponibles relative à l’actif total sur cette période.
- Placements à court terme
- Les placements à court terme ont représenté une très faible et stable part de l’actif total, restant à 0,01 % tout au long de la période, à l’exception de 2020 où ils ont atteint 0,25 %. La stabilité relative de cette composante reflète probablement une politique d’investissement limitée dans ces actifs à court terme.
- Créances
- Les créances ont constitué une part notable de l’actif, représentant en moyenne environ 20 % à 25 %, avec une tendance à la baisse initiale jusqu’en 2020, puis à une fluctuation légère. La part des créances est en légère augmentation en 2024, atteignant 21,23 %, suggérant une gestion active ou des délais de recouvrement variables.
- Actifs contractuels, courants
- La proportion d’actifs contractuels courants a augmenté de 2,11 % en 2019 à 3,2 % en 2024, avec une valeur maximale en 2024. Cette évolution indique une intensification des contrats ou engagements à court terme dans la composition des actifs.
- Créances et actifs contractuels
- La combinaison de ces éléments a diminué entre 2019 et 2020, puis a connu une sensiblement stable présence autour de 23 % à 25 %, enregistrant 24,43 % en 2024, témoignant d’une stabilité relative dans la composante des actifs à court terme liés à des contrats et créances.
- Autres actifs circulants
- La part de ces actifs est restée relativement stable, oscillant autour de 4 %, avec une baisse légère en 2024 à 3,9 %, ce qui indique une gestion prudente ou une stabilité dans ces autres composantes circulantes.
- Actif circulant global
- La proportion d’actifs circulants dans l’actif total a diminué de 51,87 % en 2019 à environ 37,29 % en 2024, impliquant une réduction progressive de la part du cycle de liquidité à court terme en faveur d’un accroissement des actifs non courants ou à long terme.
- Actifs contractuels, non courants
- Globalement faibles, leur part a légèrement diminué, passant de 0,24 % en 2019 à 0,22 % en 2024, reflétant une stabilité ou une faible évolution de ces actifs à long terme liés à des contrats non courants.
- Placements selon la méthode de la mise en équivalence
- Après une hausse notable en 2020, leur part a fortement diminué durant la reste de la période, passant de 0,65 % en 2020 à 0,23 % en 2024, ce qui peut indiquer une réduction des investissements dans des participations significatives ou une dévaluation de ces placements.
- Placements sans juste valeur facilement déterminable
- La part de ces placements est restée relativement stable, autour de 0,23 à 0,37 %, témoignant d’une gestion prudente de ces actifs difficiles à évaluer.
- Placements non courants
- Cette composante a connu une légère baisse puis une reprise vers 0,6 %, suggérant une gestion modérée des actifs à long terme non non plus sous une grande fluctuation.
- Immobilisations corporelles
- La part des immobilisations corporelles a diminué de 4,67 % en 2019 à 2,72 % en 2024, plurifiant ainsi la tendance à une réduction relative des immobilisations physiques dans la composition de l’actif total.
- Actifs de location-exploitation
- Présents à partir de 2020 avec une part allant jusqu’à 8,59 %, cette catégorie a décliné jusqu’à environ 4,93 % en 2024. La tendance indique une diminution de ces actifs liés à la location opérationnelle.
- Survaleur
- La survaleur a montré une croissance régulière, passant de 20,83 % en 2019 à une forte hausse de 37,76 % en 2024. Cette progression indique une augmentation de la valeur intangible ou de la réputation de l'entreprise, ou encore de ses actifs incorporels valorisés par excès de leur valeur comptable.
- Coûts contractuels reportés
- Ces coûts ont représenté une part décroissante, passant de 2,29 % en 2019 à 1,54 % en 2024, ce qui peut indiquer une gestion active du passif lié aux coûts différés.
- Actifs d’impôts différés
- La part des actifs d’impôts différés a diminué en tendance, de 14,6 % en 2019 à 7,42 % en 2024, signalant une réduction dans les avantages fiscaux différés ou une évolution dans la fiscalité de l’entreprise.
- Immobilisations incorporelles
- Après une stabilité initiale, leur part a augmenté de 2,78 % en 2020 à 5,19 % en 2024, ce qui témoigne d’un investissement accru dans les actifs incorporels tels que les logiciels, brevets ou licences.
- Autres actifs non courants
- La part de cette catégorie a fluctué légèrement, culminant à 2,34 % en 2024, indiquant une gestion diversifiée dans les autres actifs à long terme.
- Actifs non courants
- La part de l’ensemble de ces actifs non courants a augmenté de 48,13 % en 2019 à 62,71 % en 2024, reflétant une orientation stratégique vers des investissements à long terme ou une accumulation d’actifs non courants au fil du temps.