Structure du bilan : actif
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- Tableau des flux de trésorerie
- Structure du bilan : passif et capitaux propres
- Analyse des ratios de liquidité
- Analyse des ratios d’activité à court terme
- Analyse des zones géographiques
- Ratio valeur d’entreprise/EBITDA (EV/EBITDA)
- Ratio valeur d’entreprise/FCFF (EV/FCFF)
- Modèle d’actualisation des dividendes (DDM)
- Ratio d’endettement par rapport aux capitaux propres depuis 2005
- Rapport cours/valeur comptable (P/BV) depuis 2005
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2025-06-30), 10-K (Date du rapport : 2024-06-30), 10-K (Date du rapport : 2023-06-30), 10-K (Date du rapport : 2022-06-30), 10-K (Date du rapport : 2021-06-30), 10-K (Date du rapport : 2020-06-30).
- Évolution de la trésorerie et des placements à court terme
- La proportion de la trésorerie et équivalents de trésorerie en pourcentage de l’actif total montre une baisse notable de 4,51 % en 2020 à 3,82 % en 2022, suivi d’une forte augmentation à 8,42 % en 2023. Par la suite, cette proportion diminue à nouveau, atteignant 3,58 % en 2024, avant de remonter à 4,89 % en 2025. Concernant les placements à court terme, leur poids dans l’actif total connaît une baisse continue de 40,81 % en 2020 à 24,89 % en 2022, puis une diminution progressive jusqu’à 10,39 % en 2025. La combinaison de ces deux éléments indique que l'entreprise a réduit sa position en liquidités et placements à court terme sur la période, avec une brève augmentation en 2023, possiblement en réponse à des flux de trésorerie exceptionnels ou des stratégies d’investissement temporaires.
- Actifs circulants globalement
- La part totale des actifs circulants dans l’actif total diminue régulièrement, passant de 60,37 % en 2020 à 46,51 % en 2022, puis à 44,73 % en 2023. La tendance se poursuit avec une réduction à 31,19 % en 2024 et 30,88 % en 2025. Cette réduction indique un recentrage de l’actif vers des immobilisations et d’autres classes d’actifs à long terme, témoignant peut-être d’une stratégie d’investissement sur le long terme ou d’un changement dans la gestion des liquidités à court terme.
- Évolution des immobilisations corporelles
- La proportion des immobilisations corporelles augmente de façon continue, de 14,65 % en 2020 à 17,89 % en 2021, puis à 20,39 % en 2022. Cette tendance s’accentue avec une croissance à 23,22 % en 2023, 26,47 % en 2024, et 33,11 % en 2025. Cette augmentation indique un investissement accru dans des actifs physiques ou des actifs incorporels long terme, notamment dans le contexte de la croissance des immobilisations corporelles, qui semble devenir la composante majeure de l’actif total à long terme, reflet d’une stratégie d’expansion ou de renouvellement de l’outil industriel.
- Actifs à long terme
- La part des actifs à long terme dans l’actif total connaît une croissance régulière, de 39,63 % en 2020 à 53,49 % en 2022, puis à 55,27 % en 2023. La tendance se poursuit avec un léger accroissement à 68,81 % en 2024 et à 69,12 % en 2025, ce qui témoigne d’un recentrage stratégique vers des investissements durables et à long terme au détriment de la liquidité à court terme. La progression de cette part indique une orientation vers une stabilité et une croissance organique à long terme.
- Autres éléments pertinents
- Le montant net des immobilisations incorporelles traduisant des actifs intangibles communément liés à la propriété intellectuelle et aux brevets, reste relativement stable, puis s’accroît fortement à 5,39 % en 2024 avant de diminuer à 3,65 % en 2025, toujours en relative proportion par rapport au total de l’actif. La survaleur fluctue, passant de 14,39 % en 2020 à un pic de 23,28 % en 2024, avant de diminuer à 19,31 % en 2025, indiquant une valorisation importante des actifs incorporels ou de la goodwill associée, susceptible d’être liée à des acquisitions ou à des valorisations de marché.
- Capitaux propres et autres placements
- Ce poste évolue faiblement, de 0,98 % en 2020 à 2,85 % en 2024, puis redescend à 2,49 % en 2025, reflétant une stabilité relative dans la composition du financement propre de l’entreprise, avec une légère augmentation dans la période, suggérant une gestion prudente ou une rétrogradation de la part du fonds propre par rapport à d’autres sources de financement.