Structure du bilan : passif et capitaux propres
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- Tendance de la part courante de la dette à long terme et des emprunts bancaires
- Cette composante est restée stable entre 2019 et 2021, puis a connu une augmentation significative en 2023, culminant à 1,69 %. La croissance rapide en 2024 indique une augmentation récente de l'endettement à court terme liée à la dette à long terme ou aux emprunts bancaires à échéance courte.
- Évolution des comptes créditeurs
- La proportion de comptes créditeurs par rapport au total du passif est variable mais globalement stable autour de 4,86 % à 5,53 %. Une légère baisse en 2020 puis une hausse en 2024 témoigne d'une gestion relativement constante de cette composante à court terme.
- Revenus reportés
- Les revenus reportés ont maintenu une part stable autour de 9,8 % à 10,7 %, avec une tendance légèrement décroissante en 2024, ce qui suggère une gestion prudente ou une rotation régulière des revenus différés dans la période considérée.
- Paie accumulée et avantages sociaux connexes
- Cette charge représente une part significative du passif, avec une diminution notable en 2024 (12,61 % vs. 16,42 % en 2019). La tendance indique une réduction progressive de cette obligation, possiblement grâce à une gestion efficace ou des changements dans la politique de rémunération.
- Impôts sur les bénéfices à payer
- Cette ligne reste relativement stable, oscillant autour de 1,27 % à 1,41 %, avec une légère augmentation en 2024. La stabilité relative suggère une gestion constante des obligations fiscales immédiates.
- Passifs liés aux contrats de location-exploitation
- Après une absence de données en 2019, ces passifs représentent environ 1,3 % à 2,04 %, avec une tendance à la baisse de 2020 à 2024, reflétant potentiellement les fluctuations dans la gestion ou la renégociation des contrats de location.
- Autres charges à payer
- Ce poste reste stable, autour de 2,89 % à 3,71 %. La légère baisse en 2024 pourrait indiquer une rationalisation ou un contrôle accru des charges à payer différées.
- Passif à court terme
- Représentant une part importante du passif, il oscille autour de 33,93 % à 37,13 %. La tendance à la baisse en 2024 (35,14 % contre 37,13 % en 2019) indique une réduction relative des obligations à court terme, probablement grâce à une gestion plus efficace des échéances.
- Dette à long terme, excluant la partie courante
- Balancée par la part courante, cette dette est restée faible, avec une proportion oscillant entre 0,08 % et 0,15 %, ne montrant pas de tendance claire à la hausse ou à la baisse significative.
- Revenus reportés (passif non courant)
- La part de cette composante diminue régulièrement, passant de 1,9 % en 2019 à 1,15 % en 2024, témoignant d’une rotation ou d’un dénouement progressif des revenus différés à long terme.
- Obligation de retraite
- Ce passif est en diminution conséquente de 2019 à 2022, puis se stabilise autour de 3,11 % à 3,25 %, indiquant une gestion prudente voire une réduction des engagements liés aux retraites.
- Passifs d’impôts différés
- En croissance régulière jusqu’en 2024 (0,45 % à 0,77 %), cette composante signale une augmentation des différences temporaires imposables et une gestion fiscale pouvant influencer la structure du passif à long terme.
- Passifs non courants au titre des contrats de location-exploitation
- Ce poste décroît de façon continue, passant de 7,19 % en 2020 à 4,24 % en 2024, ce qui indique une réduction des engagements de location à long terme non courants.
- Autres passifs non courants
- La proportion diminue de 1,77 % en 2019 à 0,91 % en 2022 puis remonte à 1,68 % en 2024, illustrant une certaine volatilité dans cette catégorie.
- Passifs non courants
- Après une augmentation notable en 2020, cette part fluctue autour de 13 % à 18 %, avec une tendance à la stabilisation proche de 13,92 % en 2024. La gestion des passifs non courants semble viser une stabilité relative.
- Total du passif
- La part du passif dans la totalité du bilan a connu une légère baisse, passant de 50,23 % en 2019 à 47,85 % en 2024, indiquant une augmentation relative des capitaux propres ou une diminution du passif total en proportion.
- Capitaux propres
- Les capitaux propres ont augmenté de manière régulière, passant de 48,37 % en 2019 à plus de 50 % en 2024, notamment avec une croissance soutenue dans le capital versé supplémentaire et une augmentation notable des bénéfices non répartis, renforçant la solidité financière de l'entreprise.
- Actions propres au prix coûtant
- Ce poste est en déclin continu, avec une augmentation de la détention d'actions propres à la hausse (de -4,66 % en 2019 à -18,89 % en 2024), ce qui peut refléter des programmes de rachat d’actions ou une gestion pour soutenir le cours de l’action.
- Bénéfices non répartis
- Ce poste a connu une croissance importante, de 34,98 % en 2019 à 41,27 % en 2024, témoignant d’une capacité accrue à accumuler des résultats non distribués, renforçant ainsi les fonds propres de l'entreprise.
- Total des capitaux propres
- En progression, cette part atteint plus de 50 % en 2024, compatible avec une stratégie de renforcement de la structure financière via une augmentation des réserves et des bénéfices non distribués, et une gestion prudente des actions propres.