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- État des résultats
- Bilan : actif
- Bilan : passif et capitaux propres
- Analyse des ratios de liquidité
- Analyse des ratios de solvabilité
- Modèle d’évaluation des immobilisations (CAPM)
- Valeur actualisée des flux de trésorerie disponibles par rapport aux capitaux propres (FCFE)
- Ratio de marge bénéficiaire nette depuis 2012
- Ratio cours/bénéfice net (P/E) depuis 2012
- Rapport cours/valeur comptable (P/BV) depuis 2012
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2025-07-31), 10-K (Date du rapport : 2024-07-31), 10-K (Date du rapport : 2023-07-31), 10-K (Date du rapport : 2022-07-31), 10-K (Date du rapport : 2021-07-31), 10-K (Date du rapport : 2020-07-31).
- Trésorerie et équivalents de trésorerie
- Une tendance à la baisse est observable dans la proportion de la trésorerie et équivalents de trésorerie, passant d'environ 32,63% en 2020 à 7,83% en 2023, puis se stabilisant légèrement autour de 7,68% en 2024 avant de remonter à 9,62% en 2025. Cette évolution indique une diminution significative de la liquidité immédiate en proportion de l’actif total, suggérant une mobilité ou une utilisation accrue des liquidités pour financer d’autres postes ou activités.
- Placements à court terme
- Les placements à court terme ont connu une augmentation entre 2020 (8,71%) et 2022 (12,37%), puis une baisse progressive pour atteindre 2,69% en 2025. La diminution sur la période récente pourrait refléter une conversion de placements en liquidités ou leur utilisation pour financer des besoins opérationnels ou des investissements stratégiques.
- Débiteurs, déduction faite de la provision pour pertes sur créances
- La part des débiteurs a augmenté de 11,44% en 2020 à un pic de 17,48% en 2022, avant de se stabiliser autour de 12,58% en 2025. Ce mouvement peut indiquer une croissance des ventes à crédit ou une évolution dans la gestion du crédit client, avec une stabilisation plus récente de la créance à terme.
- Créances financières à court terme, nettes
- Introduites en 2021 avec une part de 0,77%, ces créances ont crû pour atteindre 3,63% en 2024, puis diminué à 3,03% en 2025. Cela peut révéler une augmentation des financements ou investissements à court terme, avec une réduction en 2025 suggérant un recentrage ou une restitution des fonds.
- Coûts contractuels différés à court terme
- Ces coûts semblent relativement stables, oscillant autour de 2,27% en 2020 et 2021, puis avec une légère baisse à 1,78% en 2025. Cette stabilité indique une gestion cohérente des coûts différés à court terme, avec un léger retrait récent.
- Charges payées d’avance et autres actifs circulants
- Une augmentation notable de leur part est observée en 2023 (3,22%) par rapport aux années précédentes, avant de diminuer à 2,21% en 2025. Cette fluctuation pourrait refléter des changements dans les prépaiements ou la gestion des actifs circulants à court terme.
- Actif circulant
- Une tendance globale de diminution : passant de 56,58% en 2020 à 31,91% en 2025. La baisse continue indique une réduction de la part des actifs à court terme dans la structure totale de l’actif, pouvant résulter d’un recentrage sur des actifs à long terme ou une optimisation du fonds de roulement.
- Immobilisations corporelles, montant net
- Une baisse progressive de 3,84% en 2020 à 1,64% en 2025 signale une diminution de l’investissement dans des immobilisations physiques, possiblement par dépréciation ou cessions d’actifs, ou encore un recentrage stratégique vers d’autres types d’actifs.
- Actifs au titre du droit d’utilisation au titre des contrats de location-exploitation
- La part relative de ces actifs a légèrement diminué, de 2,85% en 2020 à 1,47% en 2025, avec des fluctuations intermédiaires. Cela pourrait indiquer une réduction des contrats de location ou une gestion différente de cette forme d’actifs.
- Investissements à long terme
- Une croissance significative est observée, passant de 6,12% en 2020 à plus de 23,56% en 2025. La hausse traduit une intensification des investissements à long terme, possiblement dans des actifs stratégiques ou dans la croissance pour soutenir le développement futur.
- Créances financières à long terme, nettes
- Initialement absentes en 2020, elles apparaissent en 2021 à 1,9% et croissent jusqu’à plus de 5,91% en 2024, puis diminuent légèrement à 4,25% en 2025. La présence croissante témoigne d’un focalisation accrue sur des placements ou financements à long terme, avec une légère réduction dans la dernière année.
- Coûts contractuels différés à long terme
- Une réduction graduelle de 4,66% en 2020 à 2,49% en 2025 indique une amortissement ou une utilisation progressive de ces coûts, avec une gestion active de ces charges différées au fil du temps.
- Survaleur
- Une fluctuation anecdotique avec un pic de 26,46% en 2021, puis une diminution progressive à 16,76% en 2024, avant de remonter à 19,37% en 2025. La survaleur reste une part notable de l’actif, témoignant d’une confiance dans la valeur de marché ou des actifs incorporels, mais sa part relative tend à diminuer dans l’ensemble.
- Immobilisations incorporelles, montant net
- Une baisse de 3,95% en 2020 à 1,88% en 2024, avec une hausse à 3,24% en 2025, indique une réduction puis une stabilisation ou un investissement renouvelé dans les actifs incorporels, représentant notamment des licences, brevets ou marques.
- Actifs d’impôts différés
- Absents jusqu’en 2022, ces actifs apparaissent en 2024 à 12% puis se maintiennent à 10,28% en 2025. Leur introduction pourrait refléter une optimisation fiscale ou des pertes reportables, avec une gestion active de cette composante fiscale.
- Autres actifs
- Une évolution stable, oscillant entre 2% en 2020 et 2,55% en 2022, puis une légère baisse à 1,79% en 2025, reflétant une gestion modérée de cette catégorie d’actifs divers.
- Actifs à long terme
- Une croissance continue, passant de 43,42% en 2020 à 68,09% en 2025, reflétant une stratégie axée sur l’accroissement des investissements à long terme et une réduction de la part d’actifs circulants pour renforcer la stabilité et la croissance future.