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Baxter International Inc. pages disponibles gratuitement cette semaine :
- État des résultats
- État du résultat global
- Tableau des flux de trésorerie
- Analyse des ratios de solvabilité
- Analyse des segments à présenter
- Valeur actualisée des flux de trésorerie disponibles par rapport aux capitaux propres (FCFE)
- Sélection de données financières depuis 2005
- Ratio de liquidité actuel depuis 2005
- Analyse du chiffre d’affaires
- Cumul des régularisations
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2016-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-03-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2015-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-03-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2014-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-03-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2013-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2013-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2013-03-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2012-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2012-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2012-03-31), 10-K (Date du rapport : 2011-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2011-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2011-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2011-03-31).
- Tendances du chiffre d'affaires et de la rentabilité
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La part du chiffre d'affaires net consacrée aux coûts des ventes reste relativement stable, oscillant entre environ 47 % et 62 %, avec une augmentation notable à la fin de la période, atteignant environ 62 % au deuxième trimestre de 2016. Cette hausse suggère une réduction de la marge brute en fin de période.
La marge brute, en conséquence, connaît une tendance à la baisse, passant d’environ 51-52 % dans les premiers exercices à une valeur proche de 40 % à la fin de la période, en particulier autour de 37.6 % au troisième trimestre 2016. La dégradation de la marge brute reflète une pression accrue sur la rentabilité opérationnelle sur la période considérée.
- Évolution des coûts opérationnels
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Les frais de marketing et d’administration représentent une part variable du chiffre d'affaires, oscillant globalement entre -21.8 % et -32.63 %, avec une augmentation notable à environ 32 % vers la fin de la période, notamment au troisième trimestre 2015 et 2016. Cette hausse pourrait témoigner d’efforts accrus en marketing ou d’un ajustement des dépenses administratives.
Les dépenses de recherche et développement, quant à elles, fluctuent peu en pourcentage du chiffre d'affaires, restant généralement autour de 6 à 8 %, avec une exception au quatrième trimestre 2013 où elles ont atteint 10 %, signalant une intensification de l’investissement en innovation durant cette période.
- Résultat d’exploitation
- Ce résultat a connu une tendance à la baisse, passant d’environ 22-23 % dans les premiers trimestres à environ 3-7 % à la fin de la période. La dégradation de la rentabilité opérationnelle s’accompagne d’une baisse régulière, notamment au troisième trimestre 2014 (13.77 %) et au troisième trimestre 2015 (3.52 %), indiquant des défis pour maintenir la profitabilité en contexte de pressions sur la marge brute.
- Charges et revenus financiers
- Les charges d’intérêts nettes restent faibles en proportion du chiffre d'affaires, autour de -0.3 à -1.37 %, avec une tendance légère à la hausse. Parmi les autres produits ou charges, on observe une volatilité importante, avec des pics exceptionnels en mars 2016 (133.43 %) et décembre 2013 (44.91 %). Cela pourrait indiquer des événements exceptionnels ou des gains/charges non récurrents significatifs.
- Résultat net et bénéfice attribuable
- Le bénéfice (ou perte) lié aux activités poursuivies avant impôts montre une tendance décroissante, passant d’environ 22-23 % à un minimum de 4.36 % au troisième trimestre 2015, avec un léger rebond à 7.88 % au premier trimestre 2016. Le bénéfice net attribuable à Baxter suit une trajectoire similaire, avec des valeurs très élevées dans les premières périodes, atteignant plus de 142 %, puis une forte diminution pour se stabiliser autour de 7-17 % à partir de 2014. La période montre ainsi une forte volatilité, notamment en lien avec des activités abandonnées ou des effets exceptionnels observés en 2016.