Structure du bilan : actif
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31).
- Évolution de la trésorerie et équivalents de trésorerie
- La proportion de la trésorerie et équivalents de trésorerie par rapport à l’actif total a montré une baisse notable entre 2017 et 2018, passant de 2 % à 1,28 %. Elle a ensuite connu une augmentation significative en 2020 à 3,78 %, avant de redescendre à 2,86 % en 2021. Cette variation indique une gestion dynamique des liquidités, avec une période de renforcement en 2020 probablement en réponse à la pandémie de COVID-19, puis une réduction partielle par la suite.
- Comptes débiteurs
- Les comptes débiteurs représentaient environ 17,77 % de l’actif total en 2017. Leur part a progressivement diminué, atteignant 14,85 % en 2020, avant de remonter légèrement à 15,95 % en 2021. La tendance à la baisse jusqu’en 2020 peut refléter une amélioration de la gestion des crédits clients ou une politique de recouvrement plus stricte, tandis que la légère augmentation en 2021 pourrait indiquer une stabilisation ou un changement dans les conditions de paiement.
- Inventaires
- Les inventaires constituaient une part relativement stable de l’actif, oscillant entre 4,1 % et 4,42 %. Leur origine indique une gestion prudente, sans fluctuations importantes significatives sur la période considérée, ce qui pourrait refléter une stabilité dans la gestion des stocks.
- Autre (activité diverse)
- La part de la composante 'Autre' a légèrement augmenté, passant de 3,2 % en 2017 à 3,96 % en 2021. Cette hausse suggère une augmentation relative des actifs divers ou des actifs non spécifiés, pouvant indiquer des investissements ou des ajustements dans la structure de l’actif.
- Actif circulant
- La proportion de l’actif circulant a légèrement diminué entre 2017 (27,26 %) et 2019 (24,85 %), avant de remonter à environ 26,69 % en 2021. La fluctuation indique une gestion équilibrée des actifs à court terme, avec une tendance à renforcer la liquidité à la fin de la période.
- Immobilisations corporelles, montant net
- La part des immobilisations corporelles a augmenté jusqu’à 50,41 % en 2019, avant de diminuer pour atteindre 47,42 % en 2021. Cela peut refléter des investissements significatifs dans des immobilisations fixes jusqu’en 2019, suivis d’un ajustement ou de cessions d’actifs.
- Placements des filiales d’assurance
- La proportion de ces placements est restée faible mais a légèrement diminué de 1,14 % en 2017 à 0,86 % en 2021, ce qui pourrait indiquer une gestion prudente ou un désengagement progressif dans ces investissements.
- Investissements et avances à des sociétés affiliées
- Cette part a fluctuée légèrement, passant de 0,54 % à 0,88 %, avec une augmentation notable en 2020, probablement liée à une stratégie d’investissements ou d’avances accrue dans des sociétés affiliées durant cette période.
- Écart d’acquisition et autres immobilisations incorporelles
- La proportion de ces immobilisations a connu une légère baisse, passant de 20,21 % à 18,8 %, suggérant une stabilisation après des investissements importants ou une dépréciation partielle des actifs incorporels.
- Actifs au titre de contrats de location-exploitation et autres actifs incorporels
- Les actifs liés à la location-exploitation ont été introduits à partir de 2019, représentant environ 4,07 % à 4,26 % en 2020 et 2021. Leur apparition témoigne de l’adoption de nouvelles normes comptables ou de la montée en puissance de contrats de location. Les autres actifs incorporels ont légèrement augmenté en proportion, indiquant une stabilité ou une croissance modérée de ces actifs intangibles.
- Actifs non courants
- Les actifs non courants ont représenté entre 72,74 % et 75,15 % de l’actif total. Leur part a légèrement varié, témoignant d’une gestion équilibrée entre actifs à long terme et actifs circulants au fil des années.
- Total de l’actif
- En somme, la structure globale de l’actif a connu des ajustements modérés mais significatifs, avec une tendance à la stabilité dans la répartition entre actifs courants et non courants. La gestion semble avoir privilégié la stabilité tout en adaptant la composition en fonction des enjeux financiers et comptables, notamment en intégrant de nouvelles normes et en ajustant la liquidité en réponse aux conditions économiques en évolution.