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eBay Inc. (NASDAQ:EBAY)

Cette entreprise a été transférée aux archives ! Les données financières n’ont pas été mises à jour depuis le 24 octobre 2019.

Structure du bilan : passif et capitaux propres 

eBay Inc., structure du bilan consolidé : passif et capitaux propres

Microsoft Excel
31 déc. 2018 31 déc. 2017 31 déc. 2016 31 déc. 2015 31 déc. 2014
Dette à court terme 6.78 3.01 6.08 0.00 1.88
Comptes créditeurs 1.25 1.27 1.19 1.96 0.89
Fonds à payer et montants dus aux clients 0.00 0.00 0.00 0.00 23.36
Comptes clients et fonds créditeurs 2.98 2.42 2.20 2.65 0.00
Rémunération et avantages sociaux connexes 1.80 1.81 1.80 2.52 1.73
Régularisation publicitaire 1.16 0.91 0.77 0.76 0.00
Autres obligations fiscales courantes 1.00 0.00 0.00 0.00 0.00
Autre 3.29 3.08 3.17 3.83 10.22
Charges à payer et autres passifs à court terme 10.23% 8.21% 7.94% 9.76% 11.95%
Produits reportés 0.74 0.45 0.46 0.60 0.42
Impôts sur les bénéfices à payer 0.51 0.68 0.46 0.40 0.34
Passif à court terme 19.52% 13.62% 16.13% 12.72% 38.84%
Passifs d’impôts différés 12.82 13.18 7.92 11.76 1.75
Dette à long terme 33.68 35.54 31.49 38.12 15.02
Autres passifs 6.46 6.62 0.27 0.42 0.28
Passifs non courants 52.96% 55.34% 39.67% 50.30% 17.05%
Total du passif 72.47% 68.97% 55.81% 63.03% 55.89%
Actions ordinaires, valeur nominale de 0,001 $ 0.01 0.01 0.01 0.01 0.00
Capital versé supplémentaire 68.87 58.86 62.51 81.74 30.77
Stock de trésorerie au prix coûtant -115.67 -84.26 -80.53 -91.10 -31.14
Bénéfices non répartis 72.13 53.67 62.73 43.37 41.88
Cumul des autres éléments du résultat étendu 2.18 2.76 -0.52 2.96 2.59
Capitaux propres 27.53% 31.03% 44.19% 36.97% 44.11%
Total du passif et des capitaux propres 100.00% 100.00% 100.00% 100.00% 100.00%

D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31).


Évolution de la structure du passif

La part du passif à court terme a connu des fluctuations importantes, passant d'environ 38,84 % en 2014 en diminution à 12,72 % en 2015, avant de remonter à 19,52 % en 2018. La dette à court terme, en pourcentage du passif total, a augmenté de manière notable entre 2014 (1,88 %) et 2016 (6,08 %), puis a oscillé avant de culminer à 6,78 % en 2018. Les passifs à court terme, qui incluent notamment les charges à payer, ont connu une baisse significative en 2015 (12,72 %) par rapport à 2014, puis une hausse vers 2018, indiquant une variation dans la gestion des obligations immédiates.

La dette à long terme a augmenté de façon continue, passant de 15,02 % en 2014 à un maximum de 38,12 % en 2015, puis se stabilisant autour de 33,68 % en 2018. Cette tendance indique une augmentation significative de l'endettement à long terme, cherchant probablement à financer la croissance ou des investissements stratégiques.

Comportement des capitaux propres et de la structure financière

Les capitaux propres en pourcentage du passif total ont évolué défavorablement, passant de 44,11 % en 2014 à 27,53 % en 2018. Cette baisse traduit une augmentation relative du passif, en particulier des passifs non courants, qui ont représenté jusqu'à 52,96 % en 2018 contre 17,05 % en 2014.

Le capital versé supplémentaire a connu une forte croissance, culminant à 68,87 % en 2018, ce qui pourrait refléter une augmentation des apports ou des réserves additionnelles pour renforcer la structure financière.

Évolution des composantes du passif

Les comptes créditeurs ont été globalement stables, représentant environ 1,2 % du passif total sur la période, tandis que d’autres obligations telles que les produits reportés et les impôts à payer ont connu des variations, notamment une hausse des produits reportés en 2018 à 0,74 % du passif total. La régularisation publicitaire a augmenté modestement, soulignant éventuellement une augmentation des dépenses marketing à cette période.

Les autres passifs, qui incluent probablement des éléments différés ou exceptionnels, ont augmenté de manière substantielle en 2017 et 2018, représentant 6,62 % puis 6,46 % du passif total, indiquant une croissance de ces engagements non courants.

Évolution des actifs et couverture des ressources

Le stock de trésorerie au prix coûtant a connu une chute drastique, passant de -31,14 % en 2014 à -115,67 % en 2018, ce qui indique une érosion sévère de la liquidité ou des investissements excédant les ressources disponibles. Cette tendance suggère une gestion plus axée sur l'utilisation ou le financement par endettement plutôt que par la liquidité disponible.

Les bénéfices non répartis ont connu une augmentation substantielle, passant de 41,88 % en 2014 à 72,13 % en 2018, ce qui indique une accumulation importante de bénéfices retenus, renforçant la capacité d’autofinancement de l’entreprise.

Impact sur la structure du résultat et des capitaux
Le total des autres éléments du résultat étendu a fluctué autour de 2 %, voire légèrement négatif en 2016, puis a remonté à environ 2,18 % en 2018. La contribution des bénéfices non répartis à la structure des capitaux propres est significative et en augmentation, ce qui pourrait indiquer une stratégie de rétention des profits plutôt que de distribution aux actionnaires.
Résumé général

Au cours de la période analysée, l'entreprise a accru son endettement à long terme, tout en réduisant la part de ses fonds propres en proportion du passif total. La gestion de la liquidité semble avoir été difficile, comme en témoigne la chute du stock de trésorerie, mais cette situation pourrait être compensée par des bénéfices non répartis en croissance. La structure du passif s’est orientée vers une augmentation des passifs non courants et des obligations différées, indiquant une orientation vers le financement à plus long terme et une augmentation des engagements hors bilan ou différés.

Ces évolutions témoignent d’une stratégie likely orientée vers le financement externe, combinée à une accumulation de réserves internes. La stabilité relative des charges et obligations à court terme après 2015 pourrait indiquer une volonté d’apaiser la pression sur la liquidité à court terme, tout en conservant une capacité d’investissement via l’accroissement des passifs d’impôts différés et des passifs non courants.