Structure du bilan : passif et capitaux propres
Espace pour les utilisateurs payants
Essayer gratuitement
Home Depot Inc. pages disponibles gratuitement cette semaine :
- État des résultats
- Bilan : passif et capitaux propres
- Analyse des ratios d’activité à long terme
- Valeur d’entreprise (EV)
- Rapport prix/FCFE (P/FCFE)
- Modèle d’actualisation des dividendes (DDM)
- Sélection de données financières depuis 2005
- Rendement des capitaux propres (ROE) depuis 2005
- Ratio de liquidité actuel depuis 2005
- Cumul des régularisations
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2025-02-02), 10-K (Date du rapport : 2024-01-28), 10-K (Date du rapport : 2023-01-29), 10-K (Date du rapport : 2022-01-30), 10-K (Date du rapport : 2021-01-31), 10-K (Date du rapport : 2020-02-02).
- Dette à court terme
- Après une absence de données en 2021, la dette à court terme a diminué de 1,44 % à l'approche de 2022, puis a connu une réduction significative en 2023, passant à 0,33 %. La tendance indique une gestion efficace ou une réduction progressive des obligations à court terme sur la période, bien que la donnée de 2024 ne soit pas disponible.
- Comptes créditeurs
- La part des comptes créditeurs dans le passif total a augmenté de 15,2 % en 2020 à 18,73 % en 2022. Ensuite, cette proportion a diminué à 14,97 % en 2023, et continue de baisser à 13,12 % en 2024 ainsi que 12,42 % en 2025. Cette évolution suggère une gestion plus efficace des dettes fournisseurs ou une réduction des soldes créditeurs au fil du temps.
- Salaires à payer et dépenses connexes
- La proportion de cette ligne a connu une légère augmentation en 2021 à 3,49 %, puis une baisse en 2023 à 2,6 %, avant de se stabiliser autour de 2,41 % en 2025. La tendance montre une réduction relative de ces obligations à court terme liées aux dépenses sociales et salariées, témoignant potentiellement d’améliorations dans la gestion des coûts ou du délai de paiement.
- Taxes de vente payables
- Initialement à 1,18 % en 2020, cette ligne a été relativement stable jusqu’en 2022, avec une baisse notable à 0,69 % en 2023, puis une légère hausse à 0,65 % en 2025. La tendance indique un contrôle précis des obligations fiscales à court terme, avec une baisse de leur poids relatif dans le passif.
- Produits reportés
- Les produits reportés ont représenté environ 4 à 5 % du passif total, avec une pointe à 5 % en 2022. Depuis cette période, leur part a diminué, atteignant 2,72 % en 2025, ce qui peut refléter la constatation progressive des revenus différés ou une réduction des ventes différées.
- Impôts sur les bénéfices à payer
- Ce passif a fortement fluctué, avec une croissance notable à 0,87 % en 2025, alors qu'il était quasi inexistant auparavant. Cette hausse indique une augmentation potentielle des obligations fiscales à payer ou des ajustements dans la comptabilisation fiscale.
- Versements courants de la dette à long terme
- La part de cette ligne a fluctué, allant de 3,59 % en 2020 à un creux à 1,61 % en 2023, puis une forte augmentation à 4,77 % en 2025. La progression en 2025 signale probablement une accélération des remboursements ou des refinancements à long terme, ajustant les échéances de la dette.
- Passifs courants liés aux contrats de location-exploitation
- La part de ce passif a varié légèrement, avec une légère hausse en 2024 à 1,37 %. La stabilité relative indique une gestion constante de ces obligations liées à la location, sans variations majeures durant la période.
- Autres charges à payer
- Ce poste a fléchi de 5,22 % en 2020 à 4,33 % en 2025, avec des oscillations intermédiaires. La tendance montre une réduction progressive de ces charges, ce qui pourrait indiquer une meilleure gestion des charges opérationnelles à payer ou des ajustements comptables.
- Passif à court terme
- Ce ratio a connu une baisse en 2021 à 32,82 % puis une hausse en 2022 à 39,92 %, avant de diminuer à nouveau en 2023 à 30,23 %. Enfin, il a légèrement augmenté à 29,82 % en 2025. La fluctuation indique une gestion dynamique du passif à court terme en réponse à la politique financière ou aux cycles opérationnels.
- Dette à long terme, hors mensualités courantes
- Son pourcentage a diminué de 55,96 % en 2020 à environ 50,44 % en 2025, avec une stabilité approximative autour de 50 %. La réduction progressive suggère un amortissement ou une réduction de cette dette, avec une gestion prudente des obligations à long terme.
- Passifs à long terme liés aux contrats de location-exploitation
- La proportion de cette catégorie a fluctué, passant de 9,89 % en 2020 à une valeur maximale de 9,25 % en 2024, puis diminuant à 7,94 % en 2025. Cela indique une gestion constante ou une diminution des obligations locatives à long terme, probablement par le biais de la renégociation ou du renouvellement des contrats.
- Impôts différés
- Ce poste a augmenté sa part à 2,04 % en 2025, après avoir oscillé autour de 1,3 %, témoignant potentiellement d'ajustements fiscaux différés ou de stratégies de report d’impôts sur un plan fiscal.
- Autres passifs à long terme
- Ils ont varié entre 2,56 % et 3,64 %, montrant une stabilisation vers 2,85 % en 2025, ce qui indique une gestion maintenue de ces passifs sans évolution notable majeure.
- Passifs à long terme
- Ce total a fluctué, représentant autour de 62,5 % en 2021, avant d’atteindre 69,87 % en 2023 et revenir à 63,27 % en 2025. La relative stabilité autour de ces valeurs dans la période indique une gestion équilibrée des composantes du passif à long terme.
- Total du passif
- Son pourcentage par rapport aux capitaux propres est passé de 106,08 % en 2020 à une valeur proche de 93,09 % en 2025, reflétant une tendance à une réduction du poids relatif du passif dans la structure financière, pouvant indiquer une amélioration de la solvabilité ou une réduction des dettes par rapport aux capitaux propres.
- Capitaux propres (déficit)
- Après un déficit significatif en 2020 (-6,08 %), la situation s’est améliorée, devenant positive dès 2021, atteignant 6,91 % en 2025. La trajectoire indique une consolidation progressive de la solvabilité et une gestion favorable de la structure des fonds propres.
- Bénéfices non répartis
- Ce poste a varié, passant de 100,96 % en 2020, diminuant à 82,36 % en 2021, puis remontant à plus de 100 % en 2023 (100,59 %), avant de retomber à 93,15 % en 2025. La volatilité témoigne de fluctuations dans les réserves de bénéfices retenus, mais l’enclenchement d’une tendance à la consolidation des gains "non répartis".
- Stock de trésorerie, au prix coûtant
- Le stock de trésorerie représente une valeur négative, reflétant probablement une erreur de calcul ou un indicateur de déficit de liquidités. La part varie entre -127,25 % en 2020 et -99,85 % en 2025, ce qui pourrait indiquer une gestion tendant à réduire cet indicateur ou une évolution dans la manière dont la trésorerie est comptabilisée.