Structure du bilan : passif et capitaux propres
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- État du résultat global
- Bilan : passif et capitaux propres
- Structure du bilan : actif
- Analyse des ratios de solvabilité
- Analyse des ratios d’activité à court terme
- Analyse des ratios d’activité à long terme
- Ratio valeur d’entreprise/FCFF (EV/FCFF)
- Ratio de marge bénéficiaire nette depuis 2005
- Rendement des capitaux propres (ROE) depuis 2005
- Rapport cours/valeur comptable (P/BV) depuis 2005
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2025-02-01), 10-K (Date du rapport : 2024-02-03), 10-K (Date du rapport : 2023-01-28), 10-K (Date du rapport : 2022-01-29), 10-K (Date du rapport : 2021-01-30), 10-K (Date du rapport : 2020-02-01).
- Évolution du passif total en pourcentage du total du passif et des capitaux propres
- Le pourcentage du passif total par rapport au total du passif et des capitaux propres a diminué de 81,07 % en 2021 à 73,56 % en 2025. Cette baisse indique une augmentation relative des capitaux propres ou une réduction des passifs, ou une combinaison des deux, renforçant la structure financière de l'entreprise.
- Comptes créditeurs
- La part des comptes créditeurs dans le passif a connu une légère baisse, passant de 15,65 % en 2021 à 13,41 % en 2025, suggérant une gestion plus efficace ou une réduction de la dépendance aux fournisseurs à court terme.
- Rémunération et avantages sociaux des employés, à jour
- La part de ces charges a augmenté de 3,07 % en 2021 à 4,32 % en 2025, ce qui pourrait refléter une augmentation des obligations sociales ou une expansion de la masse salariale.
- Charges à payer, autres passifs à court terme et charges à payer et autres passifs à court terme
- Ces éléments montrent une tendance à la hausse, notamment avec la part des charges à payer et autres passifs à court terme passant de 11,27 % en 2021 à 15,87 % en 2025, témoignant d'une augmentation des obligations à court terme ou d'une intensification de la gestion des passifs courants.
- Passif à court terme
- La proportion du passif à court terme dans le total du passif et des capitaux propres a augmenté, passant de 35,06 % en 2021 à 34,67 % en 2025, avec un pic à 36,78 % en 2022, indiquant une tendance à la concentration des obligations à court terme.
- Impôts sur le revenu, à payer
- La part de ces impôts a connu une augmentation significative en 2022 à 0,64 %, avant de diminuer à 0,24 % en 2025, ce qui pourrait refléter des variations dans la fiscalité ou la gestion fiscale de l'entreprise.
- Passifs à long terme
- La part des passifs à long terme a diminué de 46,01 % en 2021 à 38,89 % en 2025, avec une baisse notable dans la dette à long terme, passant de 17,31 % en 2021 à 9,03 % en 2025, ce qui indique une tendance à la réduction de l'endettement à long terme.
- Passifs liés aux contrats de location-exploitation
- Ces passifs ont représenté jusqu'à 27,43 % en 2023, puis ont diminué à 26,07 % en 2025, témoignant peut-être d'une réduction de la dépendance aux contrats de location ou d'une gestion plus efficace des obligations locatives.
- Capitaux propres
- La part des capitaux propres dans le total du passif et des capitaux propres a augmenté de 18,93 % en 2021 à 26,44 % en 2025, indiquant une consolidation progressive de la structure financière interne, notamment par la croissance des bénéfices non répartis en proportion.
- Bénéfices non répartis
- Ces bénéfices ont enregistré une hausse de 16,14 % en 2021 à 24,83 % en 2025, reflétant une capacité accrue de l'entreprise à générer, accumuler et retenir ses résultats positifs pour renforcer ses capitaux propres.
- Analyse générale
- Plusieurs tendances structurelles se dégagent : une réduction progressive du poids des passifs à long terme, notamment la dette à long terme, tandis que la contribution des capitaux propres s'accroît, notamment via les bénéfices non répartis. Par ailleurs, l'augmentation relative des passifs à court terme, combinée à une gestion plus attentive des obligations sociales et fiscales, indique une orientation vers une optimisation de la gestion des passifs à court terme. La stabilité relative des charges sociales et des autres passifs à long terme, conjuguée à la baisse du passif global, pourrait contribuer à une alourdissement de la solidité financière et à une réduction du levier financier.»