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D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2017-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-03-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2016-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-03-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2015-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-03-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2014-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-03-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2013-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2013-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2013-03-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2012-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2012-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2012-03-31).
- Tendances globales des ventes
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La répartition du chiffre d’affaires par type de produit montre une stabilité relative de la part des ventes d’huile, oscillant autour de 55 % à 60 %, avec une légère tendance à la hausse à partir du troisième trimestre 2016, atteignant plus de 60 %. Les ventes de gaz naturel, en revanche, connaissent une baisse notable à partir du premier trimestre 2015, passant d’environ 24 % à moins de 10 % au troisième trimestre 2017.
Les ventes de liquides de gaz naturel restent relativement stables, représentant autour de 8 à 11 %, sans tendances marquantes pour la période. La part des ventes liées à la collecte, traitement et commercialisation a connu une augmentation significative à partir de 2014, passant d’environ 7 % à plus de 19 % en 2015, puis restant relativement stable à ce niveau.
- Évolution des coûts et marges
- Le coût du chiffre d’affaires en pourcentage du total enregistre une augmentation générale, passant de moins de 20 % au début de la période à plus de 33 % en 2014, avant de se stabiliser aux alentours de 33-36 %. Par conséquent, la marge brute en pourcentage du chiffre d’affaires diminue sensiblement de plus de 80 % en 2012 à environ 66 % en 2017, indiquant une compression des marges bénéficiaires brutes.
- Résultats opérationnels
- Les gains ou pertes liés à l’exploitation montrent une forte volatilité, avec des périodes de bénéfices importantes en 2012 et 2013, incluant notamment un pic en 2013 avec 40,14 %, suivi d’un déclin marqué en 2014 avec une perte significative de 11,75 %, puis une tendance à la réduction de la rentabilité opérationnelle jusqu’en 2017. La rentabilité opérationnelle demeure globalement négative ou faible durant la période considérée.
- Charges exceptionnelles et exploration
- Les autres charges d’exploitation et les dépenses d’exploration sont très variables. L’exploration, en particulier, présente une forte variabilité, avec des pourcentages extrêmes vers -41,9 % en 2014 et -48,16 % en 2015, témoignant d’intenses dépenses ou dépréciations dans ces activités. Ces fluctuations impactent fortement la rentabilité nette.
- Résultat net
- Le chiffre d’affaires net affiche une forte variabilité, avec une série de pertes nettes importantes en 2014, 2015, puis en 2016 et 2017. La tendance générale indique une dégradation progressive de la rentabilité, avec des pertes atteignant jusqu’à -61 % en 2016 et 2017. Le résultat net attribuable aux actionnaires suit une tendance similaire, témoignant d’un contexte difficile et d’une rentabilité fortement affectée par des facteurs exceptionnels et de performance opérationnelle.
- Impact fiscal et autres considérations
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Les impôts, en pourcentage du chiffre d’affaires, oscillent majoritairement entre environ -7 % et +16 %, indiquant une variabilité importante de la charge fiscale. La période 2014 à 2016 se caractérise par une forte charge d’impôts négatifs ou des crédits d’impôt potentiellement, ou par des pertes fiscales reportées.
Les éléments exceptionnels et de gains ou pertes sur dérivés indiquent une forte volatilité, avec des gains importants en 2013 et 2017, mais aussi des pertes sévères en 2014 et 2015. Cela reflète une gestion active ou une forte dépendance aux instruments financiers pour ajuster ou optimiser les résultats.
- Conclusion sur la performance financière
- Sur l’ensemble de la période, l’entreprise présente une tendance à la dégradation de la rentabilité, avec une forte volatilité des résultats opérationnels et nets. La compression des marges, conjuguée aux dépenses accrues dans l’exploration et la collecte, ainsi qu’aux coûts d’exploitation en hausse, contribue à une situation où l’entreprise traverse des périodes de pertes significatives, notamment en 2014, 2015, puis en 2016 et 2017. La variabilité du résultat net et la complexité de la structure des gains et pertes indiquent une performance fortement influencée par des facteurs hors exploitation et des éléments exceptionnels.