Structure du bilan : passif et capitaux propres
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31).
- Comptes créditeurs
- La proportion des comptes créditeurs par rapport au total du passif et des capitaux propres a connu une baisse significative entre 2014 et 2016, passant d'environ 5,97 % à 5,02 %, indiquant une diminution relative de cette source de passif à court terme.
- Charges à payer
- Après une hausse notable en 2013 (2,27 %), leur part a diminué pour atteindre 0,85 % en 2016. Cette tendance reflète une réduction de cette catégorie d'obligations à court terme ou une gestion plus efficace des charges à payer.
- Intérêts payables
- Une apparition en 2014, puis une augmentation modérée à 0,54 % en 2016, indique une progression dans les intérêts à payer, potentiellement liée à l'endettement ou à l'augmentation des taux d'intérêt.
- Impôts sur la production, impôts fonciers et autres impôts payables
- Après leur introduction en 2014, leur part a augmenté jusqu’à 0,69 % en 2015 pour ensuite diminuer légèrement à 0,52 % en 2016, ce qui pourrait témoigner d’une gestion fiscale variable ou de changements dans l’assiette fiscale.
- Obligations de mise hors service d’actifs à court terme
- Une fluctuation a été observée, avec une baisse de 0,73 % en 2013 à 0,28 % en 2016, signalant une réduction des obligations liées à la mise hors service d’actifs à court terme, possiblement en lien avec la cession ou la décommission.
- Dette à court terme
- Une présence sporadique, avec un léger pourcentage en 2013 (0,9 %) puis une quasi-disparition en 2015 et 2016, suggérant un refinancement ou une diminution des dettes à court terme.
- Passif éventuel lié à Tronox
- Observé uniquement en 2014 avec 8,45 %, ce passif pourrait indiquer une exposition spécifique à cette entité, avec une suppression apparente après cette année.
- Passif à court terme
- Une augmentation en 2014, de 10,22 %, puis une baisse significative en 2015 (9,01 %) et en 2016 (7,3 %), montrant une gestion visant à réduire la part du passif à court terme dans le passif total.
- Dette à long terme, excluant la partie courante
- Une stabilité relative avec une légère baisse en 2013, puis une hausse conséquente en 2015 et 2016, atteignant environ 33,54 %, indiquant un recours accru à l’endettement à long terme.
- Impôts différés
- Une diminution progressive de leur contribution, passant de 16,66 % en 2012 à 9,49 % en 2016, reflétant une réduction des passifs fiscaux différés ou un changement dans la stratégie fiscale.
- Obligations liées à la mise hors service d’actifs
- Une hausse notable en 2016 à 6,15 % contre environ 2,9 % auparavant, ce qui indique une augmentation des obligations liées à la déconstruction ou la mise hors service d’actifs.
- Autres passifs à long terme et passifs non courants
- Les deux catégories présentent une relative stabilité, avec une légère augmentation de leurs parts en 2016, respectivement à 25,15 % et 58,68 %, indiquant une préservation ou une augmentation de ces types d’obligations à long terme et non courantes.
- Total du passif
- Une progression notable jusqu’en 2015, culminant à 66,7 %, avant une légère réduction en 2016 à 65,99 %, témoignant de l’accroissement global de l’endettement et des obligations de l’entreprise durant cette période.
- Actions ordinaires et capital versé
- Une augmentation du capital versé, passant d’environ 15,5 % à 26,06 %, indique une émission d’actions ou une recapitalisation; en revanche, la valeur nominale des actions a diminué en proportion, ce qui peut refléter une augmentation en nombre d’actions.
- Bénéfices non répartis
- Une réduction significative de 26,3 % en 2012 à 3,74 % en 2016, suggérant une distribution plus importante des bénéfices ou une dépréciation des réserves non distribuées.
- Actions du Trésor
- Une tendance à l’accroissement de leur part négative, passant de -1,6 % à -2,27 %, indiquant une augmentation d’actions rachetées ou détenues en trésor, réduisant ainsi les actions en circulation.
- Cumul des autres éléments du résultat global
- Une légère détérioration avec une évolution négative constante, proche de -0,86 % en 2016, reflétant des variations dans le résultat global non réparti.
- Capitaux propres
- Une baisse importante de leur part dans le total du passif et des capitaux propres, passant de 39,23 % en 2012 à 26,8 % en 2016, témoignant d’une augmentation de l’endettement ou d’un retrait relatif de la part du capital dans la structure financière.
- Participations ne donnant pas le contrôle
- Une croissance régulière, atteignant 7,21 % en 2016 contre 2,38 % en 2012, indiquant une augmentation des participations minoritaires ou de filiales non consolidées.
- Total des capitaux propres
- Une diminution globale, passant de 41,61 % en 2012 à 34,01 % en 2016, confirmant une dégradation de la structure financière en raison de l’accroissement de la dette ou d’autres passifs.