Stock Analysis on Net

Anadarko Petroleum Corp. (NYSE:APC)

22,49 $US

Cette entreprise a été transférée aux archives ! Les données financières n’ont pas été mises à jour depuis le 31 octobre 2017.

Tableau des flux de trésorerie

Le tableau des flux de trésorerie fournit des informations sur les entrées de trésorerie et les paiements en espèces d’une entreprise au cours d’une période comptable, montrant comment ces flux de trésorerie relient le solde de trésorerie de fin de caisse au solde de début figurant au bilan de l’entreprise.

Le tableau des flux de trésorerie se compose de trois parties : les flux de trésorerie provenant des activités d’exploitation, les flux de trésorerie provenant des activités d’investissement et les flux de trésorerie provenant des activités de financement.

Espace pour les utilisateurs payants

Les données sont cachées derrière : .

  • Commandez un accès complet à l’ensemble du site Web à partir de 10,42 $US par mois ou

  • Commandez 1 mois d’accès à Anadarko Petroleum Corp. pour 22,49 $US.

Il s’agit d’un paiement unique. Il n’y a pas de renouvellement automatique.


Nous acceptons :

Visa Mastercard American Express Maestro Discover JCB PayPal Google Pay
Visa Secure Mastercard Identity Check American Express SafeKey

Anadarko Petroleum Corp., tableau des flux de trésorerie consolidé

en millions de dollars américains

Microsoft Excel
12 mois terminés le 31 déc. 2016 31 déc. 2015 31 déc. 2014 31 déc. 2013 31 déc. 2012
Bénéfice net (perte nette)
Amortissement, épuisement et amortissement
Impôts différés
Charges liées aux trous secs et dépréciations de propriétés non prouvées
Déficiences
(Gains) pertes sur cessions, nettes
Perte en cas d’extinction anticipée de la dette
Total des (gains) pertes sur dérivés, montant net
Part d’exploitation de la trésorerie nette reçue (payée) en règlement d’instruments dérivés
Autre
Passif éventuel lié à Tronox
(Augmentation) diminution des comptes débiteurs
Augmentation (diminution) des créditeurs et des charges à payer
Autres postes, montant net
Variations de l’actif et du passif
Ajustements visant à rapprocher le bénéfice net (la perte nette) et les flux de trésorerie nets provenant des activités d’exploitation (utilisés dans)
Flux de trésorerie nets provenant des activités d’exploitation (utilisés dans)
Ajouts aux propriétés et à l’équipement
Acquisition d’entreprises
Cessions d’immobilisations corporelles et d’autres actifs
Autres, montant net
Flux de trésorerie nets liés aux activités d’investissement
Emprunts, déduction faite des frais d’émission
Remboursement de la dette
Part du financement de la trésorerie nette reçue (versée) pour les instruments dérivés
Augmentation (diminution) des chèques en souffrance
Dividendes versés
Rachat d’actions ordinaires
Émission d’actions ordinaires, y compris l’avantage fiscal sur les attributions de rémunération à base d’actions
Vente d’unités filiales
Émission de parts de capitaux propres tangibles, composante de capitaux propres
Distributions aux détenteurs de participations ne donnant pas le contrôle
Apports des détenteurs de participations ne donnant pas le contrôle
Produit du transfert des revenus futurs tirés des redevances sur les minéraux durs, déduction faite des coûts de transaction
Paiements des futurs revenus de redevances sur les minéraux durs transférés
Flux de trésorerie nets provenant des activités de financement (utilisés dans)
Effet des variations des taux de change sur la trésorerie
Augmentation (diminution) nette de la trésorerie et des équivalents de trésorerie
Trésorerie et équivalents de trésorerie au début de la période
Trésorerie et équivalents de trésorerie à la fin de la période

D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31).


Bénéfice net (perte nette)
Une tendance significative est observée dans le bénéfice net, passant d’un bénéfice de 2 445 millions de dollars en 2012 à une perte de 1 563 millions de dollars en 2014, puis s’aggravant jusqu’à -6 812 millions en 2015. La perte se réduit en 2016, atteignant -2 808 millions. Ce comportement indique une dégradation notable de la rentabilité prévue jusqu’en 2015, suivie d’une certaine reprise en 2016.
Amortissement, épuisement et amortissement
Ce poste présente une stabilité relative, avec une légère hausse de 3 964 millions en 2012 à 4 550 millions en 2014, puis une stabilisation autour de 4 300 à 4 600 millions en 2015 et 2016. La constance de ces charges suggère une activité d’exploitation relativement stable en ce qui concerne l’amortissement.
Impôts différés
Les impôts différés évoluent d’une valeur positive en 2012 (-164 millions) à une valeur négative en 2014 (-105 millions), puis deviennent fortement négatifs en 2015 et 2016 (-3 152 millions puis -1 238 millions). La tendance indique une augmentation des passifs d’impôts différés, reflétant probablement des décalages de charges fiscales ou des dépréciations fiscales importantes en fin de période.
Charges liées aux trous secs et dépréciations de propriétés non prouvées
Ce poste montre une hausse importante entre 2013 et 2015, culminant à 2 267 millions en 2015, avant de diminuer à 613 millions en 2016. La variation suggère des dépréciations ou une réévaluation des propriétés non prouvées, avec une charge fortement accrue en 2015 qui pourrait correspondre à une dépréciation exceptionnelle ou à une crise de valorisation des actifs.
Gains (pertes) sur cessions, nettes
Après une hausse à 470 millions en 2013, on assiste à une perte importante en 2014 (-1 891 millions), puis des gains modestes en 2015 et 2016 (757 puis 1022 millions). La volatilité indique une activité significative de cessions ou d’opérations exceptionnelles de cessions d’actifs, influençant fortement le résultat net.
Total des (gains) pertes sur dérivés, montant net
Ce poste oscille entre une position négative (-308 millions, 2012) et positive (207 millions, 2014), avant de redevenir négative en 2015 (-100 millions) puis positive en 2016 (292 millions). La fluctuation reflète une gestion active ou une exposition variable aux dérivés, influençant directement la charge ou le produit financier.
Flux de trésorerie nets provenant des activités d’exploitation
Un changement notable survient en 2015, où les flux deviennent négatifs (-1 877 millions), indiquant une perte de trésorerie liée à l’exploitation. Cependant, en 2016, la trésorerie d’exploitation se redresse à 3 000 millions, témoignant d’une amélioration de la capacité de génération de liquidités par l’activité principale.
Investissements en immobilisations et acquisitions
Les ajouts aux propriétés et équipements restent élevés, mais décroissent sensiblement de -7 242 millions en 2012 à -3 505 millions en 2016, montrant une réduction de l’investissement capex. Les acquisitions d’entreprises deviennent plus régulières en 2013-2016, avec notamment une acquisition de 1 527 millions en 2014. La tendance générale illustre une volonté de réduire la croissance des investissements en actifs non courants tout en poursuivant des acquisitions stratégiques.
Flux de trésorerie liés aux activités d’investissement
Ce flux demeure constamment négatif, indiquant une sortie de liquidités pour l’achat d’actifs immobilisés ou d’entreprises. La réduction progressive de ces sorties en 2016 (-2 762 millions contre -6 869 millions en 2012) témoigne peut-être d’une politique d’investissement plus modérée ou plus ciblée.
Financement et endettement
Le montant des emprunts augmente régulièrement, passant de 1 042 millions en 2012 à 6 042 millions en 2016, alors que les remboursements de la dette sont également en hausse, notamment une forte réduction en 2013 (-3 044 millions) suivie d’un endettement accru en 2016. La croissance de la dette indique un financement accru des activités ou des refinancements stratégiques. Les flux de trésorerie liés au financement montrent une participation positive en 2013 et 2014, puis une nouvelle augmentation en 2016, cohérente avec la croissance de l’endettement.
Dividendes, rachats d’actions, émissions d’actions
Les dividendes versés augmentent constamment, avec une croissance notable en 2014-2016 (+105 millions en 2016). Les rachats d’actions sont faibles et relativement stables. Une émission importante d’actions s’observe en 2016 (2 188 millions), probablement en lien avec des opérations de financement ou de refinancement. Ces mouvements illustrent une politique de distribution aux actionnaires soutenue et une opération stratégique via l’émission d’actions.
Trésorerie et équivalents
La trésorerie progresse globalement, passant de 2 697 millions en 2012 à un pic de 9 369 millions en 2014, puis chute brutalement à 939 millions en 2015, avant de rebondir à 3 184 millions en 2016. La forte fluctuation en 2015 est liée à des flux d’exploitation et d’investissement très négatifs, ainsi qu’à une réduction substantielle de la trésorerie, tandis que 2016 montre une récupération significative, notamment grâce à une augmentation nette de la trésorerie liée aux activités de financement et d’exploitation.