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LyondellBasell Industries N.V. (NYSE:LYB)

Cette entreprise a été transférée aux archives ! Les données financières n’ont pas été mises à jour depuis le 2 août 2019.

Bilan : passif et capitaux propres 

Le bilan fournit aux créanciers, aux investisseurs et aux analystes des informations sur les ressources (actifs) de l’entreprise et ses sources de capitaux (ses capitaux propres et ses passifs). Il fournit normalement également des informations sur la capacité bénéficiaire future des actifs d’une entreprise ainsi qu’une indication des flux de trésorerie qui peuvent provenir des créances et des stocks.

Les passifs représentent les obligations d’une société découlant d’événements passés, dont le règlement devrait entraîner une sortie des avantages économiques de l’entité.

LyondellBasell Industries N.V., Bilan consolidé : passif et capitaux propres

en millions de dollars américains

Microsoft Excel
31 déc. 2018 31 déc. 2017 31 déc. 2016 31 déc. 2015 31 déc. 2014
Échéances actuelles de la dette à long terme 5 2 2 4 4
Dette à court terme 885 68 594 353 346
Commerce 2,560 2,258 2,028 1,627 2,239
Parties liées 527 637 501 555 825
Comptes créditeurs 3,087 2,895 2,529 2,182 3,064
Paie et avantages sociaux 534 442 334 415 426
Numéros d’identification renouvelables 72 130 136 322 223
Remises sur les ventes de produits 163 166 147 165 187
Impôts autres que l’impôt sur le revenu 186 199 177 217 187
Impôts 16 386 311 319 153
Intérêt 154 151 142 132 111
Rachats d’actions 21 45 85
Revenus reportés 128 61 22 57 73
Autre 283 277 125 138 109
Courus 1,536 1,812 1,415 1,810 1,554
Impôts différés 469
Passif à court terme 5,513 4,777 4,540 4,349 5,437
Dette à long terme, à l’exclusion des échéances courantes 8,497 8,549 8,385 7,671 6,757
Autres passifs 1,897 2,275 2,113 2,036 2,122
Impôts différés 1,975 1,655 2,331 2,127 1,623
Passifs non courants 12,369 12,479 12,829 11,834 10,502
Total du passif 17,882 17,256 17,369 16,183 15,939
Participations ne donnant pas le contrôle rachetables 116
Actions ordinaires, 0,04 € valeur nominale 22 31 31 31 31
Capital versé supplémentaire 7,041 10,206 10,191 10,202 10,387
Bénéfices non répartis 6,763 15,746 12,282 9,841 6,775
Cumul des autres éléments du résultat global (1,363) (1,285) (1,511) (1,438) (1,026)
Stock de trésorerie, au prix coûtant (2,206) (15,749) (14,945) (12,086) (7,853)
Part totale de la Société dans les capitaux propres 10,257 8,949 6,048 6,550 8,314
Participations ne donnant pas le contrôle 23 1 25 24 30
Total des capitaux propres 10,280 8,950 6,073 6,574 8,344
Total du passif, des participations ne donnant pas le contrôle rachetables et des capitaux propres 28,278 26,206 23,442 22,757 24,283

D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31).


Échéances actuelles de la dette à long terme
Les échéances actuelles de la dette à long terme ont diminué de manière significative entre 2014 et 2016, passant de 4 à 2 millions de dollars, puis ont connu une augmentation à partir de 2018, atteignant 5 millions. Cette évolution suggère une gestion active de la maturité de la dette à long terme, avec un renouvellement ou un report des échéances après 2016.
Dette à court terme
La dette à court terme montre une tendance à la hausse notable, passant de 346 millions de dollars en 2014 à 885 millions en 2018. Cette augmentation indique une hausse potentielle du besoin de financement à court terme ou une gestion accrüe des besoins de liquidités à court terme, malgré une baisse en 2017 par rapport à 2016.
Commerce
Les actifs liés au commerce ont connu une croissance globale, passant de 2 239 millions de dollars en 2014 à 2 560 millions en 2018. Cependant, une baisse en 2015 est observée, suivie d’une reprise progressive, reflétant une croissance stable de l’activité commerciale.
Parties liées
Les parties liées ont enregistré une baisse entre 2014 et 2016, passant de 825 à 501 millions, avant de remonter à 637 millions en 2017 et de redescendre à 527 millions en 2018. Cette fluctuation indique une variation dans les opérations ou les relations contractuelles avec des entités affiliées.
Comptes créditeurs
Les comptes créditeurs ont augmenté de manière régulière, passant de 3 064 millions de dollars en 2014 à 3 087 millions en 2018. La hausse implicite d’obligations de paiement à court terme indique une croissance des achats ou des conditions de crédit plus favorables.
Paie et avantages sociaux
Ce poste a augmenté de façon progressive, de 426 millions en 2014 à 534 millions en 2018, signalant une croissance dans les obligations liées à la rémunération et aux bénéfices sociaux, avec une légère baisse en 2016.
Numéros d’identification renouvelables
Les montants ont considérablement diminué, passant de 223 millions en 2014 à 72 millions en 2018, ce qui peut indiquer une réduction ou un renouvellement moins fréquent de certains contrats ou garanties.
Remises sur les ventes de produits
Ce poste est resté relativement stable, oscillant légèrement autour de 163 à 187 millions, témoignant d’un maintien de stratégies commerciales similaires au fil du temps.
Impôts autres que l’impôt sur le revenu
Les montants ont fluctué, atteignant un pic en 2015, puis sont revenus à des valeurs proches de 186 millions en 2018, illustrant probablement une stabilité relative des provisions ou des obligations fiscales en dehors de l’impôt sur le revenu.
Impôt sur le revenu
Cette ligne montre une forte fluctuation, avec une hausse notable en 2015 et 2017, puis une chute spectaculaire en 2018 à seulement 16 millions. La baisse en 2018 pourrait résulter d’un changement dans la situation fiscale ou d’un crédit d’impôt exceptionnel.
Intérêt
Les charges d’intérêt sont restées relativement stables, avec une légère augmentation de 111 millions en 2014 à 154 millions en 2018, reflétant une gestion constante de la charge financière liée à l’endettement.
Rachats d’actions
Le montant consacré aux rachats d’actions a diminué, passant de 85 millions en 2014 à 21 millions en 2017, puis disparait en 2018, ce qui indique une réduction de cette politique de retour aux actionnaires ou une suspension des rachats.
Revenus reportés
Les revenus reportés ont connu une croissance continue, passant de 73 millions en 2014 à 128 millions en 2018, indiquant une augmentation des bénéfices non réalisés ou des différés de revenus.
Autre
Le poste "Autre" a crû de manière significative, en passant de 109 millions à 283 millions en 2018, pouvant refléter une diversification ou des charges exceptionnelles fluorescentes.
Courus
Les montants courus ont fluctué, atteignant un sommet de 1 810 millions en 2015, puis diminuant à 1 536 millions en 2018, témoignant des obligations financières à court terme en évolution.
Impôts différés
La ligne impôts différés a été présente de 2014 à 2016, avec un pic en 2016 à 2 331 millions, mais est absente en 2017. En 2018, elle réapparaît à 1 975 millions, indiquant des implications fiscales différées significatives, avec peut-être une restructuration ou une révision de positions fiscales.
Passif à court terme
Ce poste a augmenté de façon notable, passant de 5 437 millions en 2014 à 5 513 millions en 2018, avec une fluctuation intermédiaire, signifiant une intensification des obligations à court terme au fil du temps.
Dette à long terme, à l’exclusion des échéances courantes
Le montant de la dette à long terme hors échéances a augmenté constamment, passant de 6 757 millions en 2014 à 8 497 millions en 2018, illustrant une augmentation du levier financier à long terme de l’entreprise.
Autres passifs
Les autres passifs ont fluctué, atteignant un sommet en 2014 à 2 122 millions, puis ont diminué à 1 897 millions en 2018, indiquant une gestion ou une restructuration des autres obligations hors dettes principales.
Impôts différés
Les impôts différés ont connu une croissance entre 2014 et 2016, avec un pic en 2016 à 2 331 millions, avant de diminuer en 2017 et de remonter légèrement en 2018, ce qui suggère des variations dans la planification fiscale différée.
Passifs non courants
Les passifs non courants ont augmenté de 10 502 millions en 2014 à un sommet de 12 829 millions en 2016, puis ont légèrement fluctués pour atteindre 12 369 millions en 2018, indiquant une stabilité relative avec une tendance à la hausse dans le poids des obligations à long terme.
Total du passif
Le total du passif a augmenté de façon constante, passant de 15 939 millions en 2014 à 17 882 millions en 2018, reflétant une croissance globale des obligations financières et hors bilan de l’entreprise au fil du temps.
Participations ne donnant pas le contrôle rachetables
Ce poste n’est pas présent avant 2018, où il apparaît à 116 millions, indiquant possiblement une expansion récente dans des participations minoritaires ou des investissements en filiales peu contrôlées.
Actions ordinaires
Les actions ordinaires ont connu une évolution à la baisse, passant de 31 millions à 22 millions en 2018, ce qui peut résulter de rachats ou d’autres opérations de réduction du nombre d’actions en circulation.
Capital versé supplémentaire
Ce poste a fortement diminué, passant de 10 387 millions en 2014 à 7 041 millions en 2018, pouvant indiquer une réduction des apports en capital supplémentaire ou une distribution de dividendes exceptionnels.
Bénéfices non répartis
Les bénéfices non répartis ont considérablement augmenté de 6 775 millions en 2014 à 15 746 millions en 2017, avant de chuter à 6 763 millions en 2018. La forte croissance jusqu’en 2017 laisse penser à une accumulation de réserves, tandis que la chute en 2018 pourrait résulter d’importantes distributions ou ajustements comptables.
Cumul des autres éléments du résultat global
Ce poste est en déficit chronique, avec une tendance à la dégradation, passant de -1026 millions en 2014 à -1363 millions en 2018, reflétant des pertes ou ajustements négatifs non réalisés dans le résultat global cumulatif.
Stock de trésorerie, au prix coûtant
Ce poste a connu une dépréciation dramatique, passant de -7 853 millions en 2014 à -22 006 millions en 2018, indiquant une forte augmentation des flux sortants ou des investissements massifs, voire de difficultés de gestion de trésorerie ou de liquidités diurnes.
Part totale de la Société dans les capitaux propres
Cette part a fluctué, passant de 8 314 millions en 2014 à un maximum de 10 257 millions en 2018, reflétant un renforcement ou une dilution relative des capitaux propres dans la structure financière.
Participations ne donnant pas le contrôle
Ce poste a connu une baisse significative en 2017, pour remonter à 23 millions en 2018, marquant une possible cession ou retrait partiel, ou une évolution dans la composition des participations minoritaires.
Total des capitaux propres
Ce total a connu une croissance notable, passant de 8 344 millions en 2014 à 10 280 millions en 2018, en partie grâce à une forte progression des bénéfices non répartis, malgré une baisse en 2018 en partie due à des distributions ou des ajustements comptables.
Total du passif, des participations ne donnant pas le contrôle rachetables et des capitaux propres
Ce total a nettement augmenté, culminant à 28 278 millions en 2018, reflétant la croissance globale des engagements financiers, des participations et des fonds propres, témoignant d’une expansion de l’activité et de la position financière de l’entreprise.