Structure du bilan : passif et capitaux propres
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LyondellBasell Industries N.V. pages disponibles gratuitement cette semaine :
- État des résultats
- Bilan : passif et capitaux propres
- Tableau des flux de trésorerie
- Analyse DuPont : Désagrégation du ROE, de la ROAet du ratio de marge bénéficiaire nette
- Modèle d’évaluation des immobilisations (CAPM)
- Ratio de marge bénéficiaire d’exploitation depuis 2011
- Ratio de liquidité actuel depuis 2011
- Ratio cours/bénéfice net (P/E) depuis 2011
- Rapport cours/valeur comptable (P/BV) depuis 2011
- Analyse du chiffre d’affaires
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31).
- Évolution de la structure du passif à court terme
- Between 2014 et 2018, la part du passif à court terme a connu une augmentation notable, passant de 22,39 % à 19,5 % du total des passifs. Cependant, cette croissance entre 2017 et 2018, de 18,23 % à 19,5 %, indique une stabilité relative malgré une légère fluctuation. La proportion de la dette à court terme en pourcentage du passif total s'est accentuée, notamment en 2018, ce qui pourrait signaler une augmentation de l'endettement à court terme ou un décalage dans la gestion des échéances financières à court terme.
- Contribution des dettes à long terme
- La part de la dette à long terme, hors échéances courantes, a augmenté jusqu'en 2016, atteignant 35,77 %, avant de diminuer à 30,05 % en 2018. Cette évolution indique une réduction relative de la proportion de dette à long terme dans la structure du passif, traduisant potentiellement un refinancement ou une gestion stratégique de l'endettement à long terme.
- Variation dans la composition des capitaux propres
- Les capitaux propres ont progressé en part, passant de 34,36 % en 2014 à 36,35 % en 2018, avec une baisse temporaire en 2015 et 2016. La montée significative des bénéfices non répartis, de 27,9 % à 23,92 %, en 2018, illustre l'accumulation de résultats non distribués, renforçant la structure de capitaux propres. Le capital versé supplémentaire a diminué fortement en 2018, ce qui pourrait refléter une réduction des émissions ou rachats d’actions de la société.
- Analyse des éléments liés à la trésorerie et aux autres passifs
- Le stock de trésorerie au coût de revient a fluctué considérablement, passant d'une contribution négative de -32,34 % en 2014 à -7,8 % en 2018, indiquant une amélioration notable de la liquidité. La proportion des autres passifs a diminué également, passant de 8,74 % à 6,71 %, ce qui peut refléter un recentrage sur des passifs plus standardisés ou un désengagement de certains passifs spécifiques.
- Evolution des comptes créditeurs et autres indicateurs de passif courant
- Les comptes créditeurs ont connu une baisse relative, passant de 12,62 % en 2014 à 10,92 % en 2018, en cohérence avec une gestion plus stricte des dettes fournisseurs. La part des éléments du résultat global cumulés a été stable à environ -4,8 % sur la même période, indiquant une stabilité dans la performance globale non répercutée immédiatement dans le contexte patrimonial.
- États relatifs aux autres composants du passif
- Les obligations fiscales, autres que l’impôt sur le revenu, ont vu leur contribution diminuer de 0,77 % en 2014 à 0,66 % en 2018, tandis que la part des impôts différés a augmenté en 2015 puis s’est stabilisée. La part des intérêts a beaucoup fluctué, restant relativement modérée autour de 0,5 %, ce qui montre une gestion maîtrisée des charges financières.