Structure du bilan : passif et capitaux propres
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Nous acceptons :
LyondellBasell Industries N.V., structure du bilan consolidé : passifs et capitaux propres (données trimestrielles)
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2019-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-03-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2018-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-03-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2017-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-03-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2016-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-03-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2015-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-03-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2014-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-03-31).
- Évolution de la structure du passif à court terme
- Une tendance à la baisse significative de la proportion du passif à court terme est observable à partir du deuxième trimestre 2014, avec un pic en 2019 à 24,18 %. La proportion diminue globalement après 2018, indiquant probablement une gestion prudente des échéances à court terme ou une redistribution dans d'autres postes de passif.
- Variation des dettes à long terme
- La part des dettes à long terme hors échéances courantes connaît une augmentation progressive jusqu'au troisième trimestre 2016, atteignant plus de 36 %, avant une tendance à la baisse vers 24 % en 2017 puis à nouveau une légère hausse en 2019. Cela reflète une stratégie potentielle d'allongement de la maturité de la dette, suivie d'une réduction ou restructuration à partir de cette période.
- Part du passif non courant
- La proportion de passifs non courants augmente régulièrement pour atteindre plus de 55 % vers fin 2016, puis se stabilise autour de 40-47 % durant la période suivante. Ce mouvement suggère une orientation vers des passifs à long terme, en lien avec la gestion globale de la solvabilité et de la stabilization financière à long terme.
- Comportement des éléments spécifiques des passifs
- Les comptes créditeurs oscillent autour de 9 à 13 %, avec une tendance à la légère augmentation en 2018, tandis que les courus présentent une variante plus fluctuante, allant de 4,83 % à 7,95 %, avec un pic en 2015. La part des autres passifs fluctue aussi, mais reste globalement stable autour de 6-9 %. La proportion des impôts différés connaît une augmentation en 2015-2016 puis se stabilise sans tendance claire, témoignant de variations dans la gestion fiscale.
- Analyse de la composition du capital et de la solvabilité
- La part totale des capitaux propres dans le passif net est en augmentation: elle passe d'environ 42,5 % en 2014 à près de 39 % en 2017, pour remonter ensuite à plus de 36 % en 2019. La proportion d'actions ordinaires se maintient très stable, autour de 7-13 %, tout comme le capital versé supplémentaire qui diminue lentement après 2016. La part des bénéfices non répartis croît de façon constante, passant d'environ 16,6 % à plus de 66 % en 2018, indiquant une accumulation des résultats non distribués, renforçant la solvabilité à long terme.
- Stock de trésorerie et son impact
- Une tendance de déclin marquée du stock de trésorerie au prix coûtant à partir de 2014 jusqu'à 2017, atteignant environ -63 %, puis une stabilisation dans une fourchette de -4 % à -8 % en 2018-2019, témoignant d'une accumulation de liquidités ou d'une gestion plus conservatrice de la trésorerie. La réduction du stock indique probablement une utilisation ou une conversion pour le financement ou des investissements.
- Part des participations dans les capitaux propres
- Progressivement, la part des participations ne donnant pas le contrôle diminue de plus de 0,13 % en 2014 à environ 0,07 % en 2019, ce qui pourrait indiquer la cession de certains investissements ou une réduction de la participation minoritaire dans des filiales.