Structure du bilan : passif et capitaux propres
Données trimestrielles
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2025-05-03), 10-K (Date du rapport : 2025-02-01), 10-Q (Date du rapport : 2024-11-02), 10-Q (Date du rapport : 2024-08-03), 10-Q (Date du rapport : 2024-05-04), 10-K (Date du rapport : 2024-02-03), 10-Q (Date du rapport : 2023-10-28), 10-Q (Date du rapport : 2023-07-29), 10-Q (Date du rapport : 2023-04-29), 10-K (Date du rapport : 2023-01-28), 10-Q (Date du rapport : 2022-10-29), 10-Q (Date du rapport : 2022-07-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-04-30), 10-K (Date du rapport : 2022-01-29), 10-Q (Date du rapport : 2021-10-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-05-01), 10-K (Date du rapport : 2021-01-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-08-01), 10-Q (Date du rapport : 2020-05-02), 10-K (Date du rapport : 2020-02-01), 10-Q (Date du rapport : 2019-11-02), 10-Q (Date du rapport : 2019-08-03), 10-Q (Date du rapport : 2019-05-04).
- Évolution du passif total
- Le passif total en pourcentage du passif et de l’investissement des actionnaires a montré une tendance à la hausse lors des premières périodes, passant d’environ 72,63 % début 2019 à un pic proche de 80,19 % à la fin de 2022. Depuis cette période, une légère baisse est observée, fin 2023, pour revenir autour de 73,4 %. Cela indique une augmentation de la structure du passif dans la composition du financement global, suivie d’une stabilisation ou d’une réduction relative.
- Composantes du passif à court terme
- Les comptes créditeurs ont connu une augmentation notable, passant d’environ 20,58 % en mai 2019 à un sommet de 29,87 % à la fin 2021, puis diminué à environ 22,6 % en mai 2025. Les charges à payer et autres passifs à court terme ont quant à eux légèrement fluctué, restant dans une fourchette étroite d’environ 9 à 11 %, sans tendance claire hors période de forte fluctuation observée en 2021. La portion à court terme de la dette à long terme est restée stable autour de 2 à 3 % jusqu’en 2021, puis a fluctué modérément autour de 2 % à 4 % jusqu’en 2025, sans tendance nette définie.
- Passifs non courants
- Les passifs non courants ont représenté en général une part importante du passif total. La part des passifs non courants a fluctué, atteignant un maximum d’environ 43,49 % en 2023, puis se stabilisant autour de 39 à 41 %. La composition de cette catégorie a montré une tendance à la stabilité, avec une légère augmentation ces dernières années.
- Dette à long terme et autres emprunts
- La part de la dette à long terme en pourcentage du passif a fluctué dans une fourchette de 21,29 % à 31,41 %. Après une période de baisse jusqu’en 2020, elle a connu une remontée jusqu’à 30,7 % en 2023, avant de redescendre légèrement à environ 26,96 % en 2021 puis à 25,51 % en 2025. Cela traduit une gestion fluctuante de la dette à long terme, avec une tendance à réduire la dépendance à l’endettement à long terme vers la fin de la période observée.
- Actionnaires et capitaux propres
- La proportion des bénéfices non répartis a augmenté de façon régulière, passant d’environ 14,67 % en mai 2019 à plus de 14,88 % en 2025, témoignant d’une tendance à la constitution de réserves ou à la retardation du distribution de profits. Le capital versé supplémentaire s’est maintenu relativement stable, fluctuant entre environ 11 % et 14,7 %. La part des autres éléments du résultat global a légèrement diminué, restant autour de -1,95 % en 2019 à environ -0,82 % en 2025, indiquant une stabilité relative dans cette composante hors résultat.
- Investissement des actionnaires
- La part de l’investissement des actionnaires dans le passif a oscillé entre 19,81 % et 29,64 %, avec une tendance générale à la hausse depuis 2021, témoignant d’un renforcement de la contribution en capitaux propres. La proportion totale du passif et des capitaux propres étant constante à 100 %, ces variations indiquent une répartition dynamique entre dette et capitaux propres.
- Autres observations
- La part d’action ordinaire demeure faible, fluctuant autour de 0,07 %, alors que la croissance des bénéfices non répartis suggère une stratégie de rétention de profit. La partie du résultat global à l’origine des variations ne présente pas de tendances marquantes autre que celles évoquées, à l’exception d’une tendance à la stabilisation ou à la légère amélioration des réserves propres dans la période récente.