Structure du bilan : actif
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- État des résultats
- Bilan : actif
- Analyse des ratios de liquidité
- Ratio valeur d’entreprise/EBITDA (EV/EBITDA)
- Ratio valeur d’entreprise/FCFF (EV/FCFF)
- Modèle d’actualisation des dividendes (DDM)
- Ratio de rotation de l’actif total depuis 2013
- Ratio cours/résultat d’exploitation (P/OP) depuis 2013
- Analyse de l’endettement
- Cumul des régularisations
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31).
- Tendance générale de la structure de l'actif
- Au fil de la période, la part des actifs à court terme a diminué, passant de 71,8 % en 2017 à 56,32 % en 2021, indiquant une baisse relative de la composante circulante. En revanche, la part des actifs à long terme a augmenté, passant de 28,2 % en 2017 à 43,68 % en 2021, ce qui peut suggérer une stratégie d’investissement en immobilisations ou une accumulation d’actifs à long terme.
- Mouvements dans la trésorerie et placements à court terme
- La trésorerie et équivalents de trésorerie ont connu une baisse relative de 22,1 % à 15,55 %, tandis que les placements à court terme ont fluctué, passant de 37,3 % à un pic de 42,46 % en 2018, puis diminuant à 29,92 % en 2021. Cette évolution peut refléter une gestion active de la liquidité ou une réallocation des fonds entre diverses catégories d’actifs facilement mobilisables.
- Évolution des créances et des charges payées d’avance
- Les débiteurs, déduction faite de la provision pour créances douteuses, ont augmenté légèrement en pourcentage, passant de 8,96 % en 2017 à 8,66 % en 2021, signalant une stabilité relative de cette composante. Les charges payées d’avance et autres actifs circulants ont été réduits en volume en 2018 mais ont repris une part modérée à partir de 2019, atteignant 1,9 % en 2021.
- Proportion des immobilisations et autres actifs non courants
- Les immobilisations corporelles ont connu une croissance notable en pourcentage, passant de 10,44 % en 2017 à 14,81 % en 2021, en partie grâce à une hausse en 2021. La part des immobilisations incorporelles est restée relativement stable, autour de 0,4 %, mais leur montant absolu demeure faible dans la composition totale de l’actif.
- Actifs liés au droit d’utilisation et autres actifs
- Les actifs au titre du droit d’utilisation liés aux contrats de location-exploitation ont commencé à apparaître en 2019, représentant 5,49 % de l’actif total cette année-là, puis ont augmenté à 8,5 % en 2021. Les autres actifs ont également profité d’une croissance, passant de 0,92 % en 2017 à 2,45 % en 2021.
- Survaleur et actif au titre des impôts différés
- La survaleur a diminué de manière continue de 16,04 % en 2017 à 9,26 % en 2021, reflétant une dépréciation relative de cette composante d’actif. Les actifs d’impôts différés ont connu une hausse particulièrement marquée en 2018, passant de 0,14 % à 7,96 %, avant de diminuer mais de rester significativement présents à 8,17 % en 2021, suggérant des ajustements fiscaux ou des différés liés à des pertes ou crédits reportés.
- Focus sur la composition totale
- Globalement, la part des actifs liés à la survaleur, aux impôts différés et aux immobilisations corporelles a évolué pour refléter un déplacement vers des actifs à long terme, tandis que la proportion d’actifs courants, notamment la trésorerie, a diminué en pourcentage. Cette évolution peut indiquer une stratégie d’investissement à long terme ou une transformation dans la gestion des liquidités et des actifs circulants.