Structure du compte de résultat
Données trimestrielles
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Philip Morris International Inc. pages disponibles gratuitement cette semaine :
- État du résultat global
- Tableau des flux de trésorerie
- Structure du bilan : passif et capitaux propres
- Analyse des ratios de solvabilité
- Rapport prix/FCFE (P/FCFE)
- Valeur actualisée des flux de trésorerie disponibles par rapport aux capitaux propres (FCFE)
- Ratio de rendement de l’actif (ROA) depuis 2008
- Ratio de liquidité actuel depuis 2008
- Ratio d’endettement par rapport aux capitaux propres depuis 2008
- Ratio cours/résultat d’exploitation (P/OP) depuis 2008
Nous acceptons :
Philip Morris International Inc., structure du compte de résultat consolidé (données trimestrielles)
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2025-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2025-03-31), 10-K (Date du rapport : 2024-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2024-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2024-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2024-03-31), 10-K (Date du rapport : 2023-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2023-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-03-31), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-03-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-03-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-03-31).
- Tendances générales du chiffre d'affaires net
- Le chiffre d'affaires net est utilisé comme référence avec une valeur de 100% sur l'ensemble des périodes, ce qui indique qu'il sert de base de comparaison pour les autres indicateurs financiers. Aucune variation relative n'est analysée pour cet élément.
- Évolution du coût des ventes
- Le coût des ventes présente une tendance volatile, oscillant entre environ -29.98% et -39.39% du chiffre d'affaires. Entre le premier trimestre 2020 et la fin de 2022, une hausse du pourcentage est observée, atteignant un pic à près de -39.39%, avant de retrouver une tendance à la baisse en 2023. La réduction de ce coût pourrait indiquer une amélioration de l'efficacité de la production ou des stratégies de gestion des coûts, bien que la volatilité reste notable.
- Marge brute
- La marge brute fluctue mais maintient une tendance globale élevée, oscillant principalement entre 60 et 67%. On observe une baisse notable vers fin 2022, atteignant un point bas à 60.61%, avant de remonter progressivement à environ 67% au début de 2024. Ces fluctuations peuvent refléter des variations dans la gestion des coûts de production, des prix de vente ou des mix de produits.
- Frais de marketing, d’administration et de recherche
- Ce poste présente une tendance à l'augmentation, passant de valeurs proches de -24% à -31%. La croissance des coûts dans cette catégorie pourrait indiquer une intensification des investissements en marketing, en développement ou en administration, ce qui a potentiel à impacter la rentabilité à court terme. Une période de stabilisation semble se dessiner en 2023, à environ -29%.
- Dépréciation de l’écart d’acquisition
- Ce poste est présent en 2022 et 2024, avec une dépréciation significative en 2022 (-7.42%) et une réduction substantielle en 2024 (-0.4%). La diminution de cette dépréciation pourrait indiquer une réévaluation positive des actifs acquis ou une réduction des charges en lien avec des acquisitions antérieures.
- Résultat d’exploitation
- Le résultat d’exploitation montre une tendance globale à la volatilité, avec des pics vers 43.55% en 2020 et 42.58% en 2022, mais une baisse marquée en 2021 (35.87%) et une remontée partielle en 2023 (36.61%). La fluctuation indique une variabilité dans la rentabilité opérationnelle, probablement influencée par la gestion des coûts, la variation des marges et d’autres charges exceptionnelles ou régulières.
- Charges d’intérêts nettes
- Les charges d’intérêts ont une tendance légèrement à la hausse, passant d’environ -1.8% en 2020 à plus de -3.4% en 2023, montrant une augmentation de l’endettement ou des coûts financiers. Toutefois, en 2024, une baisse à -1.91% est observée, ce qui pourrait indiquer une gestion plus efficace ou une réduction de la dette.
- Coûts liés aux régimes de retraite et autres avantages sociaux
- Ce poste reste relativement stable, oscillant autour de -0.05% à -0.41%, avec une légère baisse en 2022. La stabilité des coûts sociaux indique une gestion stable de ces obligations, sans tendance majeure d’augmentation ou de réduction.
- Bénéfice avant impôts sur les bénéfices
- Le bénéfice avant impôts affiche une tendance concentrée entre 25% et 42%, avec des pics en 2020 et 2021. Une baisse notable en 2022, atteignant 25.24%, indique une contraction de la rentabilité fiscale ou des éléments exceptionnels négatifs, suivie d’une remontée vers 33.77% en 2024, traduisant peut-être une amélioration des résultats opérationnels ou une gestion fiscale optimisée.
- Charge d’impôts sur les bénéfices
- Les charges fiscales varient entre -3.54% et -11.28%, avec une réduction de la charge fiscale en 2024 (-3.54%), qui peut refléter des gains fiscaux ou une optimisation fiscale. La volatilité des taux d'imposition doit être prise en compte dans l’analyse de la rentabilité après impôt.
- Revenus (pertes) nets des placements en actions et autres gains financiers
- Ce poste montre une tendance globalement positive, avec des fluctuations. La plus forte valeur notable est de 5.04% en 2024, indiquant une performance améliorée des placements financiers, tandis que certains trimestres présentent des pertes occasionnelles, comme -2.22% en 2022. La variation de ce poste peut impacter significativement le résultat net global.
- Bénéfice net
- Le bénéfice net présente une tendance consistante avec des fluctuations saisonnières ou extraordinaires : il atteint un pic en 2020 à 32.73% et un minimum en 2023, avec -5.01%. La baisse en 2023 pourrait s’expliquer par des dépenses exceptionnelles ou des charges non récurrentes. La reprise partielle en 2024 indique une amélioration de la rentabilité globale.
- Bénéfice net attribuable aux participations ne donnant pas le contrôle
- Ce sous-élément est relativement stable, avec une légère tendance à la diminution, passant d’environ -2.33% en 2021 à moins de -1% en 2024. Cela suggère une stabilité dans la part des résultats revenant aux minoritaires.
- Bénéfice net attribuable à l’indice PMI
- Ce poste suit une tendance similaire au bénéfice net global, avec des variations substantielles, notamment une chute à -5.97% en 2023. La remontée à 29.97% en 2024 témoigne d’une amélioration significative de la rentabilité pour la part revenant aux actionnaires attribuable à l’indice PMI.