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Philip Morris International Inc. pages disponibles gratuitement cette semaine :
- État du résultat global
- Tableau des flux de trésorerie
- Structure du bilan : passif et capitaux propres
- Analyse des ratios de solvabilité
- Rapport prix/FCFE (P/FCFE)
- Valeur actualisée des flux de trésorerie disponibles par rapport aux capitaux propres (FCFE)
- Ratio de rendement de l’actif (ROA) depuis 2008
- Ratio de liquidité actuel depuis 2008
- Ratio d’endettement par rapport aux capitaux propres depuis 2008
- Ratio cours/résultat d’exploitation (P/OP) depuis 2008
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2024-12-31), 10-K (Date du rapport : 2023-12-31), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31).
- Évolution du chiffre d’affaires net
- Le chiffre d’affaires net demeure constant à 100 % du total pour l’ensemble de la période, indiquant une stabilité relative de la part relative dans l’analyse financière. Cela suggère que l’ensemble des données financières est normalisée ou présenté en pourcentage du chiffre d’affaires, limitant ainsi les variations de cette mesure spécifique.
- Coût des ventes
- Le pourcentage du coût des ventes par rapport au chiffre d’affaires net montre une tendance variable. Il a diminué de 33,35 % en 2020 à 31,94 % en 2021, indiquant une amélioration de la marge brute. Cependant, il s’est accentué à 35,9 % en 2022 puis à 36,65 % en 2023, avant de retomber à 35,19 % en 2024. La fluctuation suggère une gestion des coûts plus efficiente en 2021, suivie d’une augmentation en 2022 et 2023, avec une légère amélioration en 2024.
- Marge brute
- La marge brute, qui est inversement liée au coût des ventes, a connu une hausse en 2021 (68,06 %) par rapport à 2020 (66,65 %), puis a diminué en 2022 (64,1 %) et en 2023 (63,35 %). Une reprise modérée est observée en 2024 avec une marge de 64,81 %. Ces variations reflètent une évolution des coûts de production ou de la politique de tarification, impactant la rentabilité brute.
- Frais de marketing, d’administration et de recherche
- Ce poste a connu une tendance à la hausse, passant de 25,99 % en 2020 à 29,43 % en 2024. La progression indique une augmentation des investissements ou des coûts opérationnels dans ce domaine, pouvant influencer la rentabilité opérationnelle globale.
- Résultat d’exploitation
- La rentabilité opérationnelle a diminué globalement, passant de 40,66 % en 2020 à 35,38 % en 2024. Une pointe à 41,32 % en 2021 est suivie d’une baisse continue, ce qui signale une dégradation de la performance opérationnelle, notamment en 2023 où le résultat atteint 32,85 %. La légère amélioration en 2024 reste cependant inférieure aux niveaux antérieurs.
- Charges et revenus d’intérêts
- Les charges d’intérêts ont augmenté en pourcentage, atteignant -4,65 % en 2024 contre -2,54 % en 2020, traduisant une hausse de l’endettement ou des coûts financiers. Les revenus d’intérêts, en revanche, ont progressé, notamment en 2024 (1,64 %), indiquant une diversification ou une augmentation des placements financiers. La différence nette entre charges et revenus d’intérêts s’est donc accentuée négativement.
- Charges liées aux régimes de retraite et autres avantages sociaux
- Ce poste a connu une tendance à la baisse, passant de -0,34 % en 2020 à -0,16 % en 2024, suggérant une gestion plus efficace ou une modification des obligations sociales. Cependant, la minorité de coûts reste relativement faible dans la structure globale.
- Résultat avant impôts et bénéfice net
- Le résultat avant impôts a suivi une tendance similaire à celle du résultat d’exploitation, en diminuant de 38,17 % en 2020 à 29,71 % en 2023, puis en remontant à 32,21 % en 2024. Le bénéfice net a également connu une baisse significative, passant de 29,94 % en 2020 à 19,81 % en 2024. La réduction du bénéfice net témoigne d’une pression accrue sur la rentabilité, probablement influencée par l’augmentation des coûts financiers, la hausse des dépenses opérationnelles ou d’autres facteurs exceptionnels.
- Charges d’impôts
- Les charges fiscales en pourcentage du chiffre d’affaires ont suivi une tendance à la hausse en 2024 (7,97 %) par rapport à 2023 (6,65 %), ce qui pourrait refléter des ajustements fiscaux ou une variation dans la fiscalité effective.
- Éléments exceptionnels et autres ajustements
- Des dépréciations spécifiques, telles que celles liées à la participation de RBH (6,11 % en 2024) et la dépréciation de l’écart d’acquisition marquée en 2023 (-1,89 %), indiquent la présence de charges exceptionnelles ou d’évaluations d’actifs spécifiques, impactant temporairement les résultats nets.
- Bénéfice net attribuable
- Le bénéfice net attribuable à PMI, en pourcentage du chiffre d’affaires, a diminué régulièrement, attestant d’un déclin de la rentabilité attribuable aux actionnaires en raison notamment de la baisse du résultat net global, passant de 28,08 % en 2020 à 18,63 % en 2024. La part du bénéfice attribuée aux participations ne donnant pas le contrôle est minorée et suit une tendance stable à la baisse dans le temps, ce qui indique una stabilité ou une réduction de l’impact des intérêts minoritaires.
- Placements financiers
- Les investissements en actions et autres titres ont montré une augmentation notable en 2024, atteignant 1,68 % contre une moyenne relativement faible auparavant. Cela peut signaler une stratégie accrue de placement ou de diversification des revenus financiers.