Micron Technology Inc. (NASDAQ:MU)

L'analyse des données révèle des fluctuations significatives sur la période considérée. Le revenu a connu une croissance globale, bien que non linéaire. Après une augmentation constante entre 2005 et 2008, une baisse notable est observée en 2009, suivie d'une reprise marquée et d'une croissance substantielle jusqu'en 2018. Une diminution est ensuite constatée en 2019, suivie d'une nouvelle augmentation en 2020 et 2021, avant une forte baisse en 2022 et une reprise en 2023 et 2024. Une légère diminution est anticipée en 2025.

Revenu

Le revenu a évolué de 4880 millions de dollars américains en 2005 à 37378 millions de dollars américains en 2023, avec des pics à 30758 millions de dollars américains en 2021 et une prévision de 25111 millions de dollars américains en 2025.

Le bénéfice d'exploitation a présenté une volatilité plus importante. Des bénéfices sont enregistrés de 2005 à 2008, suivis de pertes substantielles en 2007 et 2008. Une reprise s'amorce en 2009, avec une croissance significative jusqu'en 2018. Une perte importante est enregistrée en 2022, suivie d'une reprise en 2023 et 2024.

Bénéfice (perte) d’exploitation

Le bénéfice d'exploitation a fluctué considérablement, passant de 218 millions de dollars américains en 2005 à -5745 millions de dollars américains en 2022, avant de remonter à 1304 millions de dollars américains en 2023.

Le bénéfice net attribuable à l'entreprise suit une tendance similaire à celle du bénéfice d'exploitation, avec des périodes de profit et de perte. Les pertes les plus importantes sont observées en 2007, 2008 et 2022. Les bénéfices nets les plus élevés sont enregistrés en 2015, 2017 et 2018.

Bénéfice net (perte nette) attribuable à Micron

Le bénéfice net a varié de 188 millions de dollars américains en 2005 à -5833 millions de dollars américains en 2022, avec un pic à 14135 millions de dollars américains en 2017.

En résumé, les données indiquent une entreprise soumise à des cycles économiques et à une forte volatilité des bénéfices. Bien que le revenu ait globalement augmenté sur la période, la rentabilité a été irrégulière, avec des périodes de pertes significatives. Les performances récentes montrent une reprise, mais la prévision pour 2025 suggère une possible nouvelle diminution du revenu.

L'analyse des données révèle une évolution significative de l'actif circulant et du total de l'actif sur la période considérée.

Actif circulant

L'actif circulant a connu une augmentation notable entre 2005 et 2006, passant de 2926 millions de dollars américains à 5101 millions. Après une légère augmentation en 2007, une diminution est observée en 2008, suivie d'une reprise en 2010. Une nouvelle augmentation significative se produit entre 2012 et 2014, atteignant 10245 millions de dollars américains. L'actif circulant continue de croître de manière soutenue jusqu'en 2022, avec des fluctuations annuelles, pour atteindre 21781 millions de dollars américains. Une augmentation plus importante est ensuite observée en 2023 et 2024, atteignant respectivement 28841 et 24372 millions de dollars américains, suivie d'une nouvelle augmentation en 2025 à 28841 millions de dollars américains.

Total de l’actif

Le total de l'actif a connu une forte croissance entre 2005 et 2006, passant de 8006 millions de dollars américains à 12221 millions. Après un pic en 2006, une diminution est observée en 2008, suivie d'une période de stabilisation relative jusqu'en 2011. Une augmentation significative du total de l'actif est ensuite constatée entre 2012 et 2014, atteignant 22498 millions de dollars américains. La croissance se poursuit de manière plus marquée entre 2015 et 2018, atteignant 43376 millions de dollars américains. Le total de l'actif continue d'augmenter jusqu'en 2020, puis connaît une légère diminution en 2022, avant de remonter en 2023 et 2024, atteignant 64254 et 69416 millions de dollars américains respectivement. Une nouvelle augmentation est observée en 2025, atteignant 82798 millions de dollars américains.

Il est à noter que le total de l'actif a connu une croissance plus importante que l'actif circulant sur l'ensemble de la période, ce qui suggère une augmentation des investissements à long terme ou une modification de la structure de l'actif.

Les données indiquent une volatilité accrue du total de l'actif à partir de 2012, avec des fluctuations plus importantes d'une année à l'autre.

L’analyse des données révèle des tendances significatives en matière de passif, de dette et de capitaux propres. Le passif à court terme a connu une augmentation globale sur la période, avec des fluctuations annuelles. Une hausse notable est observée à partir de 2012, suivie d’une accélération significative à partir de 2022, culminant avec une valeur élevée en 2025.

Passif à court terme

Après une période initiale de croissance, une diminution est constatée en 2008, suivie d’une reprise. La tendance à la hausse s’accentue fortement à partir de 2022.

Le total du passif a également augmenté sur l’ensemble de la période, avec une progression plus marquée à partir de 2011. L’augmentation est particulièrement prononcée entre 2012 et 2014, puis à nouveau à partir de 2022, atteignant son maximum en 2025.

Total du passif

Les variations annuelles sont moins importantes que celles du passif à court terme, mais la tendance générale est clairement à la hausse.

Le total de la dette a suivi une trajectoire similaire, avec une augmentation globale. Une augmentation significative est observée entre 2005 et 2007, suivie d’une stabilisation relative avant une nouvelle hausse à partir de 2011. L’augmentation est particulièrement forte à partir de 2022.

Total de la dette

La dette a connu une période de diminution en 2016 et 2017, avant de repartir à la hausse.

Les capitaux propres ont présenté une évolution plus irrégulière. Après une période de croissance initiale, une diminution est observée en 2007 et 2008. Une reprise est ensuite constatée, suivie d’une nouvelle période de fluctuations. Une augmentation significative est observée à partir de 2015, avec une accélération notable à partir de 2018.

Capitaux propres

Les capitaux propres ont atteint leur niveau le plus élevé en 2025, malgré des fluctuations antérieures.

En résumé, les données indiquent une augmentation globale du passif et de la dette, accompagnée d’une croissance plus irrégulière des capitaux propres. L’année 2022 semble marquer un point d’inflexion, avec une accélération significative de la croissance du passif et de la dette.

L'analyse des flux de trésorerie révèle des tendances distinctes sur la période considérée. Les flux de trésorerie nets liés aux activités d’exploitation présentent une volatilité significative. On observe une augmentation notable en 2006, suivie d'une diminution en 2007, puis d'une reprise en 2008 et 2009. Une forte croissance est ensuite constatée en 2010, suivie d'une stabilisation relative avant un pic important en 2014. Les années suivantes montrent une fluctuation, avec un nouveau pic en 2017, puis une baisse significative en 2018, suivie d'une reprise en 2019 et 2020. Une diminution est observée en 2021, suivie d'une augmentation en 2022 et 2023, avant une nouvelle baisse en 2024 et 2025.

Flux de trésorerie nets affectés aux activités d’investissement

Les flux de trésorerie nets affectés aux activités d’investissement sont constamment négatifs sur toute la période, indiquant des investissements nets continus. L'ampleur des sorties de trésorerie liées aux investissements a augmenté de manière significative à partir de 2014, atteignant des niveaux particulièrement élevés en 2017, 2018 et 2019. Une diminution est observée en 2022 et 2023, mais une forte augmentation est constatée en 2024 et 2025.

Flux de trésorerie nets provenant des activités de financement (utilisés pour)

Les flux de trésorerie nets provenant des activités de financement présentent également une volatilité importante. Des sorties de trésorerie nettes sont observées la plupart du temps, mais des entrées de trésorerie nettes sont enregistrées en 2006, 2007 et 2015. Les sorties de trésorerie nettes sont particulièrement importantes en 2016 et 2018. Une entrée de trésorerie nette est observée en 2020, suivie d'une sortie en 2021 et 2022, puis d'une entrée en 2023 et 2024, avant une sortie en 2025.

En résumé, l'entreprise a démontré une capacité à générer des flux de trésorerie provenant de ses activités d'exploitation, bien que ces flux aient été sujets à des fluctuations importantes. Les investissements ont constamment nécessité des sorties de trésorerie nettes, et les activités de financement ont été utilisées de manière variable pour générer ou utiliser des liquidités.

L'analyse des données révèle une volatilité significative du bénéfice par action sur la période considérée. Initialement, le bénéfice de base par action affiche une progression de 0,29 US$ en 2005 à 0,59 US$ en 2006, avant de devenir négatif en 2007 et de chuter fortement en 2008 et 2009, atteignant -2,1 US$ et -2,29 US$ respectivement.

Une reprise est observée en 2010 avec un bénéfice de 2,09 US$, suivie d'une nouvelle baisse en 2012 (-1,04 US$). Les années 2013, 2014 et 2015 montrent une amélioration progressive, culminant à 2,87 US$ et 2,71 US$ pour le bénéfice de base par action.

En 2016, une nouvelle diminution est constatée (-0,27 US$), mais elle est suivie d'une forte croissance en 2017 (4,67 US$) et 2018 (12,27 US$). Le bénéfice de base par action diminue ensuite en 2019 (5,67 US$) et 2020 (2,42 US$), avant de remonter en 2021 (5,23 US$) et 2022 (7,81 US$).

L'année 2023 marque un retour à des valeurs négatives (-5,34 US$), suivi d'une légère reprise en 2024 (0,7 US$) et d'une nouvelle augmentation en 2025 (7,65 US$). Le bénéfice dilué par action suit une tendance similaire à celle du bénéfice de base par action, avec des fluctuations comparables sur l'ensemble de la période.

Le dividende par action n'est introduit qu'à partir de 2016, avec une valeur initiale de 0,1 US$. Il augmente progressivement pour atteindre 0,32 US$ en 2017 et se stabilise ensuite à 0,46 US$ de 2018 à 2025.

Bénéfice de base par action

Présente une forte volatilité, passant de valeurs positives à négatives et connaissant des pics et des creux significatifs au cours de la période.

Bénéfice dilué par action

Suit une tendance similaire au bénéfice de base par action, reflétant les mêmes fluctuations.

Dividende par action

Introduit tardivement et affiche une croissance initiale suivie d'une stabilisation.