Structure du bilan : passif et capitaux propres
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D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2024-12-31), 10-K (Date du rapport : 2023-12-31), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31).
- Tendances générales du passif
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Une augmentation notable de la part du passif total en pourcentage du total du passif et des capitaux propres est observée en 2024, passant de 92,28 % en 2023 à 97,51 %, ce qui indique une croissance relative des obligations par rapport aux capitaux propres.
Le passif à court terme a connu une augmentation significative en valeur relative, passant de 28,09 % en 2023 à 28,67 % en 2024. La composition révèle une hausse des comptes créditeurs et des charges à payer, qui ont fortement augmenté, atteignant respectivement 23,63 % en 2024, contre 22,75 % en 2023, et 2,18 % contre 2,74 % la même année. La part des créditeurs et charges à payer est en constante augmentation, ce qui pourrait indiquer une intensification des obligations à régler à court terme.
Par ailleurs, la portion à court terme du passif à long terme, bien qu’en diminution en pourcentage (de 1,45 % en 2023 à 1,92 % en 2024), reste présente et contribue aux obligations à court terme.
- Évolution de la dette à long terme
- La dette à long terme, à l’exception de sa partie à court terme, a diminué en pourcentage du total du passif jusqu’en 2023 (atteignant 38,75 %), puis a légèrement augmenté en 2024 à 44,64 %, ce qui indique une certaine expansion de l’endettement à long terme. Cependant, par rapport au total du passif, cette part reste inférieure à celle de 2020 où elle représentait 51,51 %.
- Les passifs liés aux passifs spécifiques
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Les remises sur ventes ont connu une croissance importante en pourcentage, passant de 7,72 % en 2022 à 10,58 % en 2024, reflétant une augmentation des déductions ou réductions commerciales consenties. De même, la part de dividendes payables a légèrement augmenté, consolidant une composante régulière des obligations à court terme.
Les autres passifs à long terme, notamment les autres passifs à long terme, ont également connu une augmentation relative, passant de 22,08 % en 2022 à 22,29 % en 2024, ce qui pourrait indiquer une diversification ou extension des engagements à long terme liés à diverses obligations non spécifiques.
- Les passifs liés aux autres obligations
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Les passifs éventuels et liés à des avantages fiscaux non comptabilisés ont connu une augmentation relative en pourcentage du total du passif, respectivement à 14,11 % et 4,68 % en 2024, suggérant une croissance des obligations contingentes ou non encore comptabilisées.
Une réduction notable est observée dans la catégorie des impôts sur les bénéfices à payer, qui passe de 2,15 % en 2022 à seulement 0,93 % en 2024, indiquant une diminution probable des obligations fiscales immédiates ou une meilleure gestion fiscale.
- Capitaux propres
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Les capitaux propres, exprimés en pourcentage du total du passif, ont connu une forte baisse en 2024, passant de 7,69 % en 2023 à 2,46 %, reflétant probablement une diminution de la valeur résiduelle aux actionnaires ou une augmentation significative des passifs issus de nouvelles dettes ou autres obligations.
Le capital versé supplémentaire a augmenté en valeur relative, passant de 14,98 % en 2023 à 15,78 % en 2024, ce qui indique une injectée supplémentaire de capital dans l'entreprise.
Les bénéfices non répartis ont évolué de façon contrastée, en passant d’un bénéfice en 2022 (3,45 %) à une perte en 2024 (-5,84 %), suggérant une baisse de la rentabilité ou une distribution de dividendes importantes ayant consommé les bénéfices accumulés.
- Remarque générale
- En synthèse, l'entreprise a vu son passif augmenter en proportion, notamment avec une hausse des passifs à court terme et une augmentation modérée de la dette à long terme. Parallèlement, la diminution du montant des capitaux propres en 2024 signale une dégradation de la situation financière résiduelle, en lien probable avec une rentabilité réduite ou une distribution stratégique des bénéfices. La diversification des passifs et l’accroissement de certaines obligations contingentes pourraient indiquer une stratégie d’endettement ou de gestion de risques futurs.