Structure du bilan : passif et capitaux propres
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D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2025-07-31), 10-K (Date du rapport : 2024-07-31), 10-K (Date du rapport : 2023-07-31), 10-K (Date du rapport : 2022-07-31), 10-K (Date du rapport : 2021-07-31), 10-K (Date du rapport : 2020-07-31).
- Dette à court terme
- La proportion de la dette à court terme a montré une forte baisse entre 2020 et 2022, passant d'environ 12,24 % à 1,8 %, puis une stabilité relative avec une légère diminution jusqu'en 2025, atteignant environ 1,55 %. Cette évolution suggère une réduction significative de l'endettement à court terme au cours de cette période, suivie d'une stabilisation.
- Comptes créditeurs
- La part des comptes créditeurs par rapport au passif total a connu une croissance entre 2020 et 2021, passant de 2,79 % à 4,02 %, avant de diminuer progressivement pour atteindre 2,14 % en 2025. Cela indique une gestion plus prudente ou une réduction des obligations envers les fournisseurs au fil du temps.
- Charges à payer et passifs connexes
- Ce poste a connu une réduction notable de 4,41 % en 2020 à 2,08 % en 2022, avant d'augmenter légèrement en 2023 puis de se stabiliser autour de 2,3 %. La tendance montre une gestion efficace des charges à payer, avec une diminution de leur importance dans le passif total jusqu'en 2022, suivie d'une stabilité.
- Produits reportés
- Les produits reportés ont diminué de façon significative entre 2020 (5,96 %) et 2022 (2,91 %), puis ont fluctué légèrement autour de 3 % jusqu’en 2025, témoignant d’une gestion prudente des revenus différés.
- Passifs liés au régime de rémunération différée des dirigeants
- Ce poste a connu une baisse de 1,13 % en 2020 à 0,53 % en 2022, puis une légère augmentation jusqu'à environ 0,67 % en 2025. La tendance indique une réduction initiale, mais une stabilisation de ces obligations à long terme.
- Intérêts payables
- Absent jusqu'en 2022, ce poste est apparu en 2023 à 0,04 % puis a augmenté à 0,26 % en 2024, avant de se stabiliser autour de 0,23 %. La montée en importance pourrait indiquer une nouvelle augmentation des endettements financiers à court terme.
- Portion à court terme du passif lié aux contrats de location-exploitation
- Ce poste est resté relativement stable, avec une légère baisse en 2024 (de 0,43 % à 0,22 %), ce qui témoigne d'une gestion contrôlée des obligations locatives à court terme.
- Taxes diverses
- Les taxes sur les ventes, foncières et autres ont augmenté de 0,03 % en 2021 à 0,14 %, puis à 0,16 % en 2022, avant de se stabiliser. La légère hausse pourrait refléter une évolution dans la fiscalité ou la fiscalité locale.
- Réserve pour retours, crédits et remises
- Ce poste a diminué de 0,32 % en 2020 à 0,11 % en 2022, puis s’est stabilisé autour de 0,12 %. Cela indique une gestion prudente des remises promotionnelles et des retours anticipés.
- Règlement accumulé pour les procureurs généraux des États
- Apparu en 2023 à 0,51 %, puis absent en 2024, cette ligne pourrait refléter un changement dans la réglementation ou la comptabilisation spécifique à cette obligation.
- Autre "% du passif"
- Ce poste a varié notablement, passant de 0,85 % en 2020 à 0,68 % en 2021, atteignant un pic en 2023 à 2,87 %, avant de redescendre autour de 0,34-0,35 % en 2024 et 2025, témoignant d’une volatilité dans cette catégorie.
- Autres passifs à court terme
- Ils ont fortement diminué de 2,72 % en 2020 à 2,33 % en 2021, puis à 2,09 % en 2022, avant d’augmenter sensiblement à 4,13 % en 2023, avant de diminuer à nouveau, indiquant une gestion fluctuante de cette catégorie.
- Passif à court terme total
- Après une baisse significative de 32,28 % en 2020 à 13,09 % en 2022, il a légèrement augmenté à 13,64 % en 2023, puis a connu une hausse notable à 23,31 % en 2024, avant de revenir à 28,06 % en 2025, reflétant une évolution dans la structure de l’endettement à court terme.
- Dette à long terme
- Elle a connu une diminution progressive, passant de 18,58 % en 2020 à 13,11 %, avant de remonter à 23,13 % en 2022, puis de redescendre autour de 16 % à partir de 2023, indiquant une gestion flexible de l’endettement à long terme.
- Passifs liés aux contrats de location-exploitation (excluant court terme)
- Ce poste a été relativement stable, avec de légères fluctuations, allant de 2,02 % en 2020 à 1,43 % en 2024, indiquant une gestion maîtrisée des obligations locatives à long terme.
- Passifs d’impôt sur le revenu
- Ce poste a connu une croissance régulière, passant de 0,09 % en 2020 à 0,64 % en 2025, reflétant une augmentation de la charge fiscale différée ou acquittée à long terme.
- Autres obligations à long terme
- Ils ont fluctué, passant de 0,4 % en 2020 à un pic en 2021 à 3,73 %, puis diminuant à 0,44 % en 2023, avec une légère hausse ultérieure, ce qui indique une gestion variable des autres engagements à long terme.
- Passifs à long terme
- Ce poste a augmenté de 21,00 % en 2020 à 27,63 % en 2022, avant de diminuer à 19,31 % en 2024 et 18,61 % en 2025, ce qui suggère une réduction de l’endettement long terme après un pic intermédiaire.
- Total du passif
- La part du passif a diminué de 53,29 % en 2020 à 36,39 % en 2021, puis a augmenté à 40,72 % en 2022, pour se stabiliser autour de 42,62 % en 2024, avant d’atteindre 46,67 % en 2025, reflétant une croissance globale de l’endettement dans la structure financière.
- Capitaux propres
- Ils ont progressé de 46,71 % en 2020 à 63,61 % en 2021, puis ont fluctués autour de 60 %, culminant à 62,16 % en 2023, puis diminué à environ 53,33 % en 2025, indiquant une augmentation initiale de l’équité dans la structure financière, suivie d’une réduction relative plus tard.
- Fonds propres hors actions privilégiées et actions ordinaires
- Ce poste a augmenté de manière significative entre 2020 et 2021, puis s’est stabilisé, avec une tendance à la baisse en 2024 et 2025, témoignant d’une croissance initiale du capital réellement disponible pour l’entreprise.
- Stock de trésorerie
- Ce poste affiche une évolution négative critique, passant d’une valeur positive en 2020 à des valeurs négatives proches de -58 % à partir de 2023, ce qui indique une dépréciation du stock de trésorerie, en proie à une gestion où la liquidité semble en déclin ou moins abondante dans le bilan.
- Bénéfices non répartis
- Ce poste a enregistré une baisse entre 2020 (99,58 %) et 2022 (48,97 %), puis une augmentation légère jusqu’en 2025 (53,22 %), témoignage d’une distribution ou d’une utilisation partielle des bénéfices conservés au fil du temps, avec une tendance à la stabilisation.