Structure du bilan : passif et capitaux propres
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- Bilan : actif
- Analyse des ratios de rentabilité
- Analyse DuPont : Désagrégation du ROE, de la ROAet du ratio de marge bénéficiaire nette
- Valeur d’entreprise (EV)
- Ratio valeur d’entreprise/FCFF (EV/FCFF)
- Valeur actualisée des flux de trésorerie disponibles par rapport aux capitaux propres (FCFE)
- Ratio de marge bénéficiaire d’exploitation depuis 2005
- Ratio d’endettement par rapport aux capitaux propres depuis 2005
- Ratio cours/bénéfice net (P/E) depuis 2005
- Ratio cours/résultat d’exploitation (P/OP) depuis 2005
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2024-11-29), 10-K (Date du rapport : 2023-12-01), 10-K (Date du rapport : 2022-12-02), 10-K (Date du rapport : 2021-12-03), 10-K (Date du rapport : 2020-11-27), 10-K (Date du rapport : 2019-11-29).
- Dettes fournisseurs
- Les dettes fournisseurs ont présenté une légère fluctuation en proportion du passif total, passant de 1,01 % en 2019 à 1,19 % en 2024. Après une augmentation notable en 2020, elles ont tendance à se stabiliser autour de 1,05 % à 1,15 %, indiquant une gestion relativement stable de ces obligations à court terme.
- Rémunérations et avantages sociaux accumulés
- Cette ligne a connu une hausse progressive sur la période, passant de 1,53 % en 2019 à 2,14 % en 2024. La croissance régulière reflète une augmentation des engagements liés aux rémunérations différées ou autres avantages sociaux à long terme, signalant peut-être une évolution dans la politique de rémunération ou une croissance des effectifs et avantages liés.
- Bonus accumulés
- La proportion de bonus accumulés a suivi une tendance similaire, de 1,07 % en 2019 à 1,9 % en 2024, indiquant une augmentation continue des primes dues aux employés ou aux dirigeants, potentiellement liée à une augmentation des performances ou des plans d’incitation à long terme.
- Marketing d’entreprise accumulé
- Le pourcentage de cette ligne a augmenté en 2020, puis fluctué autour de 0,35 % à 0,58 %, ce qui pourrait indiquer une augmentation des investissements ou des obligations financières en campagnes marketing ou autres initiatives promotionnelles à long terme.
- Engagements collatéraux dérivés
- Apparu en 2022, cette ligne a connu une augmentation significative en 2024, atteignant 0,56 %. La croissance suggère une montée des actifs ou engagements dérivés liés à des garanties ou autres opérations financières dérivées, ce qui pourrait refléter une évolution du profil de risque financier de la société.
- Obligations de remboursement
- Les obligations de remboursement ont diminué en proportion de 0,61 % en 2019 à un creux de 0,37 % en 2022, avant de remonter à 0,47 % en 2024. Cela indique une réduction progressive de cette dette à long terme, suivie d’un léger regain, peut-être en réponse à de nouveaux emprunts ou refinancements.
- Taxes de vente et d’utilisation
- Cette ligne est restée relativement stable autour de 0,39-0,44 %, indiquant une gestion constante de ces obligations fiscales, sans tendance marquée à la hausse ou à la baisse.
- Autre
- Les autres passifs ont montré une baisse en 2020, puis une stabilisation autour de 1,48 % en 2024, signalant une réduction ou une consolidation des passifs divers ou non spécifiés.
- Charges à payer
- Le ratio de charges à payer a diminué de 6,74 % en 2019 à 5,86 % en 2020, puis a légèrement augmenté pour atteindre 7,73 % en 2024. La tendance suggère une gestion plus prudente ou une accumulation accrue de charges différées en fin d’exercice récent.
- Dette à court terme
- Une fluctuation notable est observable : disparue en 2020, elle revient à 1,84 % en 2022 puis à 4,96 % en 2024. Cette évolution signale une gestion intermittente de la dette à court terme, possiblement en réponse à des besoins de financement à court terme récurrents ou temporaires.
- Produits reportés
- Les produits reportés ont augmenté en proportion, passant de 16,27 % en 2019 à 20,28 % en 2024. La croissance indique une augmentation des revenus différés ou des obligations d’avoir livré des biens ou services non encore comptabilisés comme revenus définitifs.
- Impôts sur les bénéfices à payer
- Ce passif est resté relativement stable, avec une légère croissance de 0,27 % en 2019 à 0,39 % en 2024, reflétant une stabilité dans la gestion fiscale et les passifs liés aux impôts différés ou courants.
- Passifs courants liés aux contrats de location-exploitation
- Ce poste commence à apparaître en 2020 avec 0,38 %, puis diminue progressivement à 0,25 % en 2024, ce qui pourrait indiquer une réduction de l’impact des contrats de location opérationnelle ou des amortissements plus rapides.
- Passif à court terme
- Ce passif montre une tendance à la hausse, passant de 39,45 % en 2019 à 34,8 % en 2024, avec toutefois une fluctuation. Son pic en 2019 suggère une forte dépendance aux passifs à court terme qui s’atténue en période récente.
- Endettement à l’exclusion de la partie courante
- Ce ratio a connu une forte augmentation en 2020, culminant à 16,95 %, avant de décroître à 12,2 % en 2023, puis augmenter légèrement à 13,66 % en 2024. La tendance indique une gestion active de l’endettement à long terme, pouvant refléter une politique de levier financier ou de refinancement.
- Capitaux propres
- Les capitaux propres ont augmenté globalement, passant de 50,72 % en 2019 à un pic de 55,47 % en 2023, puis redescendant à 46,66 % en 2024. Cette fluctuation indique une croissance du périmètre de capitalisation, suivie d’un recul peut-être dû à des distributions ou à une augmentation des passifs.
- Faits marquants
- La proportion des bénéfices non répartis a connu une croissance constante, de 71,42 % en 2019 à 127,26 % en 2024, signalant une accumulation significative des bénéfices non distribués, renforçant la solidité patrimoniale.
- Stock de trésorerie
- Le stock de trésorerie a connu une dégradation systématique, passant de 51,13 % en 2019 à -124,32 % en 2024. La tendance indique une utilisation accrue de la trésorerie ou une prise de dettes pour financer des opérations, réduisant considérablement les réserves de liquidités à court terme.