Structure du bilan : passif et capitaux propres
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- État du résultat global
- Tableau des flux de trésorerie
- Structure du bilan : actif
- Analyse des ratios de rentabilité
- Analyse des ratios de liquidité
- Analyse DuPont : Désagrégation du ROE, de la ROAet du ratio de marge bénéficiaire nette
- Rapport valeur/ EBITDA d’entreprise (EV/EBITDA)
- Modèle d’évaluation des immobilisations (CAPM)
- Ratio de marge bénéficiaire d’exploitation depuis 2013
- Ratio de rendement de l’actif (ROA) depuis 2013
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2025-01-31), 10-K (Date du rapport : 2024-01-31), 10-K (Date du rapport : 2023-01-31), 10-K (Date du rapport : 2022-01-31), 10-K (Date du rapport : 2021-01-31), 10-K (Date du rapport : 2020-01-31).
- Comptes créditeurs
- Les comptes créditeurs ont connu une baisse significative entre 2021 et 2022, passant de 0,87 % à 0,53 %, indiquant une augmentation de leur poids relatif en 2023 à 1,14 %. Par la suite, leur part diminue à 0,47 % en 2024 avant de remonter légèrement à 0,6 % en 2025, suggérant une certaine fluctuation dans la gestion des dettes à court terme.
- Charges à payer et autres passifs à court terme
- Ces passifs sont restés relativement stables, oscillant entre 1,86 % et 1,94 % jusqu'en 2021, puis diminuant à 1,86 % en 2022. En 2023, leur proportion augmente à 1,93 %, puis diminue à 1,74 % en 2024, et enfin à 1,65 % en 2025, témoignant d'une certaine stabilité dans ces engagements à court terme.
- Rémunération accumulée
- Ce poste a connu une croissance notable, passant de 3,27 % en 2021 à 4,18 % en 2023, avant de diminuer légèrement à 3,31 % en 2024 et à 3,22 % en 2025. La tendance globale suggère une augmentation progressive de la rémunération à payer, reflétant peut-être une accrualisation pour des obligations salariales à court terme.
- Revenus non gagnés, courants
- La part des revenus non gagnés courants a diminué de 32,62 % en 2020 à 26,39 % en 2023, puis continue de baisser légèrement à 24,66 % en 2024 et finit à 24,85 % en 2025. Il s'agit d'une diminution continue, indiquant une reconnaissance progressive des revenus précédemment différés.
- Passifs liés aux contrats de location-exploitation, à court terme
- Ce poste a connu une légère baisse de 0,97 % en 2020 à 0,54 % en 2024, avec une valeur intermédiaire de 0,68 % en 2023. La tendance indique une réduction progressive de ces obligations à court terme en lien avec les contrats de location.
- Dette courante
- Une augmentation marquée est observable entre 2020 et 2021, où elle passe de 3,58 % à 12,65 %, avant de diminuer notablement à 11,64 % en 2022. La dette courante n'est pas reprise après 2022, ce qui pourrait indiquer une gestion différente ou une réduction de cette composante dans la structure financière.
- Passif à court terme
- Ce poste a connu une évolution significative, passant de 43,56 % en 2020 à son point maximum de 49,12 % en 2021. Ensuite, la proportion reste relativement stable autour de 48 %, avant de diminuer à 34,32 % en 2023, puis à environ 30,86 % en 2025. Cela reflète une réduction progressive de la part des passifs à court terme dans la structure globale.
- Dette non courante
- Elle a observé une baisse entre 2020 (14,93 %) et 2022 (5,88 %), puis une augmentation significative en 2023 à 22,07 %, avant de se stabiliser autour de 16,6 % en 2025. La variabilité indique une gestion dynamique de la dette à long terme.
- Revenus non gagnés, non courants
- Ce poste a connu une baisse régulière, de 1,26 % en 2020 à 0,68 % en 2022, puis continue de diminuer jusqu’à 0,43 % en 2024, avec une légère reprise à 0,45 % en 2025. La tendance montre une diminution progressive des revenus différés non courants.
- Passifs non courants liés aux contrats de location-exploitation
- Ce poste a varié, passant de 3,54 % en 2020 à un minimum de 1,35 % en 2023, avant de légèrement augmenter à 1,55 % en 2025. La réduction de cette part témoigne d’un effacement progressif des obligations à long terme liées aux contrats de location.
- Autres passifs
- Ce poste a été relativement stable, avec de légères fluctuations, culminant à 0,41 % en 2021, puis redescendant à environ 0,23-0,29 %, témoignant d’une faible composante dans la structure de passif.
- Passifs non courants
- Une tendance à la baisse est visible, passant de 19,96 % en 2020 à un minimum de 8,53 % en 2022, puis une remontée à près de 20,15 % en 2024 avant de diminuer de nouveau à 18,89 % en 2025. Cela indique une réduction globale mais avec une certaine volatilité dans la partie longue terme des passifs.
- Total du passif
- Ce total, en proportion du passif total et des capitaux propres, a diminué de 63,52 % en 2020 à 56,8 % en 2022, puis a augmenté légèrement en 2023 à 58,58 %, avant de redescendre à environ 50,88 % en 2024 et 49,75 % en 2025, reflétant une réduction globale de la composante passif dans la structure financière.
- Capital versé supplémentaire
- Ce poste a montré une tendance de diminution, passant de 74,68 % en 2020 à 63,21 % en 2024, puis une légère hausse à 63,76 % en 2025. La réduction reflète un éventuel déclin dans le capital supplémentaire en pourcentage, mais cette proportion reste significative dans la structure du financement propre.
- Stock de trésorerie
- Les valeurs négatives indiquent une utilisation de la trésorerie, avec une augmentation de la dépréciation du stock à -7,28 % en 2025, en passant de -0,14 % en 2021, illustrant une augmentation de l’endettement en liquidités ou de la gestion du cash avec un effet d’endettement croissant.
- Cumul des autres éléments du résultat étendu
- Ce poste fluctue mais tend à s'améliorer, passant de -0,63 % en 2021 à 0,47 % en 2025, reflétant une amélioration nette de l’ensemble des éléments du résultat étendu accumulés dans la période.
- Déficit accumulé
- Ce déficit a fortement diminué, passant de -38,54 % en 2020 à -6,7 % en 2025, indiquant une réduction progressive du déficit cumulé et une amélioration des résultats réinvestis ou du moins une réduction des pertes accumulées.
- Capitaux propres
- Cette composante a connu une croissance soutenue, passant de 36,48 % en 2020 à 50,25 % en 2025, témoignant d’une augmentation relative de la valeur nette de l'entreprise et d'une amélioration de la solvabilité.