Structure du bilan : passif et capitaux propres
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2025-06-30), 10-K (Date du rapport : 2024-06-30), 10-K (Date du rapport : 2023-06-30), 10-K (Date du rapport : 2022-06-30), 10-K (Date du rapport : 2021-06-30), 10-K (Date du rapport : 2020-06-30).
- Comptes créditeurs
- La proportion des comptes créditeurs par rapport au passif total et aux capitaux propres montre une augmentation progressive, passant de 4,16 % en 2020 à 4,54 % en 2021, puis à 5,21 % en 2022, avant de fluctuer autour de 4,29 % en 2024. Cette tendance indique une légère croissance initiale, suivie d'une stabilisation voire d'une légère baisse, suggérant une gestion contrôlée des dettes fournisseurs.
- Dette à court terme
- La dette à court terme est absente au début, mais apparaît en 2023 à 1,31 %. La croissance ponctuelle indique une augmentation de l'endettement à court terme dans cette période spécifique, ce qui pourrait refléter des besoins de liquidités ou des refinancements à court terme.
- Portion à court terme de la dette à long terme
- Cette composante fluctue, passant de 1,24 % en 2020 à un pic de 2,42 % en 2021, puis à 0,75 % en 2022, avant de repartir légèrement à 1,27 % en 2023. La variation indique une gestion dynamique de la répartition des dettes à long terme à leur échéance courte, avec une tendance à réduire cette portion en 2022.
- Rémunération accumulée
- La rémunération accumulée connaît une hausse régulière, atteignant 3,01 % en 2021 et restant relativement stable autour de 2,45 % en 2024, avec une légère baisse. Cela indique une augmentation de la rémunération différée et des obligations envers les employés, en ligne avec une politique de rémunération accrue sur la période.
- Impôts sur les bénéfices à court terme
- Ce poste reste relativement stable, oscillant autour de 0,65 % à 1,11 %. La légère augmentation en 2022 et 2025 suggère une gestion fiscale constante, avec peut-être une hausse des impôts provisionnés à court terme.
- Revenus non gagnés à court terme
- Ce poste maintient une part stable autour de 11,95 % en 2020 pour diminuer à 10,43 % en 2025, indiquant une diminution progressive des recettes différées ou des avances clients non encore réalisées.
- Passifs à court terme liés aux contrats de location-financement
- Une augmentation notable est observée, passant de 0,18 % en 2020 à 0,51 % en 2025. Cette tendance reflète un accroissement des obligations issues de contrats de location à court terme, probablement liés à de nouveaux contrats de location-financement.
- Autres passifs à court terme
- Une légère croissance, de 3,15 % en 2020 à 3,53 % en 2025, indiquant une augmentation modérée des autres passifs à court terme, probablement consolidant une gestion prudente des obligations diverses à court terme.
- Passif à court terme
- La part du passif à court terme dans l'ensemble du passif total et des capitaux propres augmente de 24 % en 2020 à 26,56 % en 2021, puis fluctue autour de 26 %. Cette évolution souligne une croissance relative de la composante à court terme, mais une stabilisation par la suite.
- Dette à long terme, excluant la partie courante
- Une diminution significative est observée, passant de 19,77 % en 2020 à 6,49 % en 2025. Cela indique une réduction de l'endettement à long terme, probablement par des remboursements amortisseurs ou une gestion active de la structure de la dette.
- Impôts sur les bénéfices à long terme
- Ce poste diminue régulièrement de 9,77 % en 2020 à 4,2 % en 2025, reflétant peut-être une baisse des passifs fiscaux différés à long terme ou une gestion fiscale plus efficace.
- Revenus non gagnés à long terme
- Ce poste baisse de 1,06 % en 2020 à 0,44 % en 2025, indiquant une réalisation ou une reclassification des revenus différés à long terme.
- Impôts différés
- Les impôts différés restent faibles et stables, passant de 0,07 % en 2020 à 0,46 % en 2025, avec un petit pic en 2024, ce qui traduit une stabilité dans la gestion des obligations fiscales différées.
- Passifs à long terme liés aux contrats de location-exploitation
- On observe une croissance modérée de 2,55 % en 2020 à 2,82 % en 2025, montrant une gestion stable ou une légère augmentation des obligations liées à des contrats de location opérationnelle à long terme.
- Passifs de location-financement à long terme
- Une augmentation notable, allant de 2,97 % en 2020 à 6,95 % en 2025, reflétant une croissance significative des engagements liés à des contrats de location-financement à long terme, probablement liés à des investissements ou expansions par le biais de locations financées.
- Autres passifs à long terme
- Ce poste enregistre une diminution légère, passant de 0,56 % en 2020 à 0,35 % en 2025, témoignant d'une gestion prudente ou de la reclassification de certains passifs à court terme.
- Passifs à long terme
- Une réduction continue de 36,74 % en 2020 à 21,7 % en 2025 indique une politique de désendettement ou de refinancement, améliorant potentiellement la solidité financière à long terme.
- Total du passif
- La part du total du passif par rapport aux capitaux propres décroît de 60,74 % en 2020 à 44,51 % en 2025, illustrant une diminution du poids des passifs dans la structure financière globale, ce qui peut indiquer une amélioration de la solvabilité.
- Actions ordinaires et capital versé
- La part de ces actions baisse de 26,73 % en 2020 à 17,62 % en 2025, pouvant signifier une réduction relative des fonds propres provenant de capital ou une augmentation des autres éléments de capitaux propres.
- Bénéfices non répartis
- Ce poste croît significativement, passant de 11,47 % en 2020 à 38,41 % en 2025, témoignant d'une accumulation importante de bénéfices non distribués, renforçant la solvabilité et la capacité d'autofinancement de l'entreprise.
- Cumul des autres éléments du résultat étendu
- Ce poste demeure négatif, mais sa valeur tend à se réduire, passant de -1,28 % en 2022 à -0,54 % en 2025, ce qui pourrait indiquer une diminution des éléments du résultat étendu enregistrés hors résultat net.
- Capitaux propres
- Ils augmentent conséquemment, passant de 39,26 % en 2020 à 55,49 % en 2025, reflétant une amélioration globale de la structure financière et un renforcement de la stabilité financière à long terme.