Structure du bilan : actif
Données trimestrielles
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2022-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-03-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-03-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-03-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-03-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2018-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-03-31).
- Tendances de la trésorerie et des équivalents de trésorerie
- La proportion de la trésorerie et équivalents de trésorerie par rapport à l’actif total a connu une fluctuation significative au cours de la période, passant de 0,76 % au premier trimestre 2018 à un pic de 1,74 % au premier trimestre 2021, avant de revenir à un niveau proche de celui d’origine, autour de 0,39 % au troisième trimestre 2022. Cette volatilité indique une gestion variable de la liquidité ou des modifications dans la composition de l’actif à court terme.
- Évolution des débiteurs
- La part des débiteurs, déduction faite des provisions pour créances douteuses, a en revanche augmenté globalement, passant de 2,44 % en mars 2018 à un maximum de 9,1 % en septembre 2022. Cette croissance suggère une augmentation des créances clients ou une réduction des provisions en fin de période, entraînant une hausse de leur poids dans l’actif total.
- Instruments dérivés à la juste valeur
- La proportion des instruments dérivés est restée relativement stable, oscillant entre environ 0,95 % et 6,51 %. Une tendance à l’augmentation progressive se dégage, notamment à partir de 2021, où leur part dépasse régulièrement 2,5 % pour atteindre 6,51 % au troisième trimestre 2022. Cela pourrait refléter une activité accrue dans la gestion des risques financiers ou des stratégies de couverture plus élaborées.
- Impôt sur le revenu à recevoir
- Il apparaît que cette composante est présente essentiellement à partir du quatrième trimestre 2018, avec une présence notable de 2,1 % au deuxième trimestre 2020. Cependant, ces montants sont fluctuants et ont disparu dans les périodes suivantes, indiquant probablement des ajustements fiscaux ou le passage de crédits d’impôt à des postes non visibles dans ces données.
- Dépenses payées d’avance et autres
- La proportion de dépenses payées d’avance et autres a montré une tendance à la hausse, allant de 0,16 % en 2018 à un pic de 3,29 % en mars 2021, avant de se stabiliser autour de 2 %. Cette évolution pourrait indiquer une augmentation des paiements anticipés ou des charges différées.
- Actif circulant
- La part de l’actif circulant a significativement augmenté au cours de la période, passant de 4,31 % en mars 2018 à environ 18,06 % en septembre 2022. La croissance de cette composante suggère une intensification des actifs à court terme, notamment par une augmentation des créances ou autres actifs circulants, témoignant d’une gestion accrue de la liquidité ou d’un changement dans la structure du fonds de roulement.
- Immobilisations corporelles
- La part des immobilisations corporelles dans l’actif total a été relativement stable, oscillant autour de 112 à 122 %. La diminution légère à 112,51 % en juin 2022 indique une stabilité de la composante physique de l’actif, malgré une tendance à la légère baisse par rapport aux pics précédents.
- Amortissements et épuisements cumulés
- La valeur cumulée des amortissements a accru sa proportion, passant de -15,23 % en mars 2018 à environ -39,25 % en septembre 2022. La tendance à l’accroissement de cette charge indique une dépréciation progressive ou une amortisation accrue des actifs corporels, ce qui peut affecter la valeur nette des immobilisations physiques dans le bilan.
- Immobilisations corporelles nettes
- Les immobilisations corporelles nettes ont connu une légère baisse à la fin de la période, passant de 82,79 % en mars 2018 à 80,44 % en septembre 2022. La stabilité relative de leur valeur nette, malgré une augmentation cumulative des amortissements, indique une gestion prudente ou des investissements équilibrés dans le maintien des actifs physiques.
- Actif du contrat et immobilisations incorporelles
- La part de l’actif liée aux contrats a été significativement réduite, passant de valeur non disponible jusqu’à l’acquisition de 2,06 % en mars 2021, puis disparaissant, ce qui suggère une sortie ou une dépréciation de ces actifs. La valeur nette des immobilisations incorporelles, quant à elle, a diminué significativement, passant de 2,59 % en mars 2018 à des valeurs marginales proches de zéro en 2022, indiquant une dépréciation ou une cession des actifs incorporels.
- Survaleur
- La survaleur a représenté autour de 7 à 7,2 % de l’actif total en 2018 et 2019, mais n’apparaît plus après cette période, ce qui pourrait signaler une expiration ou une immosibilité de la valorisation continue de cette composante.
- Autres actifs
- La part des autres actifs a fluctué entre 1,35 % et 4,57 %, sans tendance claire, mais elle a globalement représenté une petite composante dans la structure de l’actif total, témoignant d’une certaine diversité d’actifs non spécifiques.
- Actifs non courants
- La répartition des actifs non courants a tendance à diminuer, passant de 95,69 % en mars 2018 à 82,69 % en septembre 2022. Cette baisse indique une gestion ou une orientation vers une structure d’actifs à plus court terme ou une cession partielle d’actifs non courants au fil du temps.
- Résumé général
- Globalement, la composition de l’actif a évolué vers une augmentation de la proportion des actifs courants, notamment en créances et autres actifs circulants, tout en maintenant une forte proportion d’immobilisations corporelles. La volatilité de la trésorerie, la croissance notable des débiteurs et la fluctuation des instruments dérivés suggèrent une gestion active des liquidités et des risques financiers. La diminution relative des actifs incorporels et des éléments liés aux contrats reflète probablement une dépréciation ou une cession de ces actifs, tandis que la tendance à l’augmentation des amortissements indique un vieillissement ou une amortisation régulière des immobilisations physiques. La structure de l’actif montre donc un déplacement progressif vers une composition plus axée sur les actifs à court terme, tout en conservant une part importante d’actifs corporels physiquement tangible.