Structure du bilan : passif et capitaux propres
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- Bilan : passif et capitaux propres
- Tableau des flux de trésorerie
- Structure du bilan : actif
- Analyse des ratios d’activité à court terme
- Analyse des ratios d’activité à long terme
- Rapport cours/ FCFE (P/FCFE)
- Modèle d’évaluation des immobilisations (CAPM)
- Rendement des capitaux propres (ROE) depuis 2005
- Ratio de liquidité actuel depuis 2005
- Rapport cours/valeur comptable (P/BV) depuis 2005
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31).
- Évolution de la dette et du passif à court terme
- La portion actuelle de la dette a connu une augmentation progressive, passant de 0,04 % en 2017 à 4,42 % en 2021. De même, le passif à court terme a fortement augmenté, passant de 4,17 % à 23,51 %, indiquant une augmentation notable des obligations à court terme, notamment un accroissement de l’endettement sur facilités de crédit et de la proportion des instruments dérivés à la juste valeur. Par ailleurs, la part des emprunts sur facilités de crédit a diminué en 2019 puis a été omise par la suite, ce qui suggère une réduction ou une restructuration de ces emprunts à partir de 2020.
- Les instruments dérivés et autres passifs spécifiques
- Les instruments dérivés à la juste valeur ont connu une augmentation significative, passant de 0,47 % en 2017 à 11,17 % en 2021, ce qui témoigne d’une augmentation de l’utilisation ou de la reconnaissance d’instruments financiers dérivés. Les autres passifs à court terme (autres que la dette ou les comptes créditeurs) ont également augmenté, passant de 0,93 % à 1,72 %, confirmant une croissance dans la diversité des passifs courants.
- Les comptes créditeurs, impôts à payer, autres charges à payer et leur évolution
- Les comptes créditeurs ont augmenté en proportion, de 2,46 % à 6,20 %, ce qui reflète une hausse dans les dettes commerciales. Les autres charges à payer ont connu une hausse, passant de 0,19 % en 2017 à 0,26 % en 2021, indiquant une augmentation des charges accumulées. Les impôts à payer autres que sur le revenu ont progressé légèrement, illustrant une gestion ou des obligations fiscales en évolution.
- Les passifs liés aux activités abandonnées
- Le passif à court terme des activités abandonnées a disparu après 2018, où il représentait 0,27 %, ce qui pourrait indiquer une fin ou une réduction majeure de ces activités ou de leur couverture comptable.
- Les notes de fin d’année et autres instruments financiers
- Les notes de fin d’année ont augmenté globalement, passant de 15,5 % en 2017 à un pic de 24,13 % en 2020 puis diminuant à 20,53 % en 2021, ce qui indique une augmentation de l’endettement ou des engagements financiers à la fin des exercices. La note à l’ordre de EQM Midstream Partners a fluctué sans tendance claire, restant globalement stable en proportion. La forte croissance des instruments dérivés à partir de 2020 pourrait également expliquer cette tendance.
- Les passifs non courants et autres passifs à long terme
- Les passifs non courants ont connu une hausse jusqu’en 2019, atteignant 40,72 %, avant de diminuer à 30 % en 2021, témoignant d’un désengagement ou d’une réduction de ces passifs à moyen et long terme. Les passifs liés aux activités abandonnées ont disparu en 2019, confirmant la clôture ou la gestion plus rigoureuse de ces passifs spécifiques.
- Les capitaux propres
- Les capitaux propres ont diminué en proportion, passant de 62,37 % en 2017 à 46,49 % en 2021. La composante actions ordinaires a augmenté en valeur relative, de 31,80 % à 47,06 %, ce qui indique une augmentation du capital social ou des émissions d’actions. En revanche, les actions propres ont évolué de manière marginale, restant négatives mais beaucoup plus faibles, témoignant d’un pivot vers la réduction de l’auto-ownership ou de rachats d’actions limitées. Le bénéfice non réparti a diminué significativement, passant d’un excédent à un déficit (-0,54 %), indiquant une dégradation de la rentabilité ou une distribution importante de dividendes.
- Structure financière globale
- La part du total du passif dans la structure a augmenté, culminant à 53,51 % en 2021 contre 37,63 % en 2017, ce qui reflète une dépendance accrue à l’endettement ou à des passifs financiers. La part des capitaux propres a régressé, ce qui est cohérent avec la réduction des bénéfices non répartis et l’augmentation du passif. La dégradation de la part de contrôle dans les filiales consolidées et la baisse du total des capitaux propres indiquent également une évolution vers une structure financière plus fortement endettée et potentiellement plus risquée.