Structure du compte de résultat
Données trimestrielles
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2022-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-03-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-03-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-03-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-03-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2018-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-03-31).
- Tendances générales sur les ventes
- Les ventes de gaz naturel, liquides de gaz naturel et pétrole sont restées constantes à 100 % au début de la période, sans variations significatives. Il n’y a pas d’indication d’évolution de leur volume ou de leur part relative dans le chiffre d’affaires au fil du temps.
- Performance et volatilité des gains (pertes) sur dérivés
- Les gains et pertes liés aux dérivés affichent une forte volatilité. Après une période de pertes importantes en 2018, notamment en septembre (-71.32 %) et en décembre (-182.58 %), on observe en 2020 des gains à plus de 54 %, suivis de nouveaux épisodes de pertes profondes en 2021 et 2022, particulièrement en septembre (-123.77 %) et juin (-44.05 %). Cela indique une forte sensibilité de cette ligne aux marchés financiers et aux stratégies de couverture, avec des fluctuations extrêmes sur la période.
- Évolution des coûts et charges d’exploitation
- Les charges d’exploitation, en pourcentage des ventes, ont connu une tendance à la baisse progressive, passant d’un pic à environ -266 % en 2018 à une réduction à environ -30 % en 2022. Ce déclin pourrait témoigner d’une gestion plus efficace ou d’une diminution des activités ou des coûts liés à l’exploitation. Par ailleurs, la ligne des amortissements et épuisements, initialement élevée, diminue également en pourcentage au fil du temps, passant d’environ -32 % à moins de -12 %, suggérant une réduction de la charge d’amortissement relative ou une dépréciation accélérée au début.
- Résultats d’exploitation
- Le bénéfice ou perte d’exploitation présente une forte volatilité. Jusqu’en 2019, la société enregistre des pertes importantes jusqu’à -172 %, puis diverses tentatives de redressement, avec certains trimestres positifs, notamment en 2021 et 2022 (jusqu’à environ 87 %). Cependant, lors de plusieurs périodes, surtout en 2019 et 2021, des pertes substantielles apparaissent (-146 %, -112 %). La tendance globale indique une instabilité significative dans la rentabilité opérationnelle.
- Impact des éléments exceptionnels et actifs
- Les gains et pertes sur actifs à long terme connaissent une extrême volatilité, avec notamment une perte de -189.91 % en 2018, puis de nouveaux épisodes de pertes sévères en 2021 (-132.33 %) et 2022 (-124.83 %). Ces fluctuations sont compatibles avec une activité de cession ou de dépréciation régulière d’actifs ou d’investissements. Par ailleurs, des dépréciations importantes concernent notamment les écarts d’acquisition en 2020 (-37.1 %) et autres actifs immobilisés en 2021 (-4.14 %), reflétant une révision à la baisse de la valeur comptable de certains actifs.
- Charges d’intérêts et charges financières
- Les charges d’intérêts en pourcentage des ventes augmentent de manière significative entre 2018 et 2020, passant de -4.72 % à -13.11 %, avant de diminuer à environ -2 % en 2022, illustrant une intensification puis une réduction de l’endettement ou du coût de financement. La perte sur extinction de dette, présente sporadiquement, tend à diminuer, suggérant une gestion du levier financier ou des stratégies de refinancement plus efficients à partir de 2020.
- Résultats nets et bénéfice
- Le résultat net, exprimé en pourcentage des ventes, connaît une forte volatilité : il chute à -117.83 % en 2018, puis oscille entre pertes importantes (jusqu’à -138.52 % en 2020) et un retournement partiel vers la rentabilité en début 2022 (-60.91 %) et 2022 (26.57 %). La tendance indique une grande imprécision dans la période, avec une succession de pertes abyssales et certaines périodes d’amélioration.
- Activités poursuivies vs activités abandonnées
- Les résultats liés aux activités abandonnées, initialement positifs en 2018 (10.89 %) et 2019 (21.52 %), disparaissent dès 2020. Les bénéfices ou pertes attribuables à la société, en tenant compte des activités poursuivies et abandonnées, suivent l’ensemble des fluctuations mentionnées, avec un fort impact négatif en 2018 et 2020, et une amélioration partielle en 2022.