Structure du bilan : passif et capitaux propres
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D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2024-06-29), 10-K (Date du rapport : 2023-07-01), 10-K (Date du rapport : 2022-07-02), 10-K (Date du rapport : 2021-07-03), 10-K (Date du rapport : 2020-06-27), 10-K (Date du rapport : 2019-06-29).
- Comptes créditeurs
- La part des comptes créditeurs en pourcentage du total du passif et des capitaux propres a diminué significativement entre 2019 et 2020, passant de 24,01% à 15,23%. Ensuite, elle a connu une augmentation jusqu'en 2022, atteignant 26,05%, puis est restée relativement stable autour de 25,24% en 2024. Cela suggère une fluctuation dans la gestion des dettes fournisseurs, avec une baisse initiale suivie d'une consolidation à un niveau supérieur à celui de 2019.
- Charges à payer
- Les charges à payer ont suivi une tendance inverse, en diminuant de 9,63% en 2019 à 7,14% en 2020, puis augmentant à 8,48% en 2021, et atteignant 10,28% en 2022. En 2023, une légère baisse est observée, avec 9,86%, avant de diminuer à 8,93% en 2024. La variation indique une gestion plus volatile des charges à payer, avec une tendance à leur augmentation dans les années intermédiaires, avant une réduction en 2024.
- Impôts sur les comptes de régularisation
- La proportion d'impôts sur les comptes de régularisation a été très faible en 2019 (0,1%), mais l'évolution montre une augmentation graduelle, atteignant 0,53% en 2024. La tendance indique une croissance progressive de ces impôts différés ou provisionnés, reflet de changements dans la fiscalité ou la gestion fiscale.
- Passifs courants liés aux contrats de location-exploitation
- Les passifs liés aux contrats de location d'exploitation ont maintenu une stabilité relative, oscillant autour de 0,47% à 0,5% du total du passif et des capitaux propres entre 2020 et 2024, indiquant une stabilité dans l'engagement lié aux contrats de location au fil du temps.
- Échéances actuelles de la dette à long terme
- Les échéances de la dette à long terme ont connu une hausse marquée entre 2019 (0,23%) et 2020 (6,83%), puis sont revenues à des niveaux plus faibles (environ 2,3%) en 2021 et 2022, avant de repartir à la baisse en 2023 (0,27%). En 2024, elles remontent à 1,88%. Ce profil suggère un refinancement ou un regroupement des échéances, suivi d'une gestion visant à réduire la pression des échéances à court terme.
- Passif à court terme
- Le passif à court terme a rappresenté une proportion importante, augmentant de 33,97% en 2019 à 39,62% en 2022, puis se stabilisant autour de 37,09% en 2024. Cette évolution reflète une tendance vers une augmentation de l'endettement ou des obligations à court terme, potentiellement lié à la structure de financement à court terme.
- Dette à long terme, à l’exclusion des échéances courantes
- La dette à long terme hors échéances courantes a connu une augmentation de 45,21% en 2019 à 57,02% en 2020, puis une légère baisse en 2021 (49,45%). Elle s’est stabilisée autour de 45,34% en 2023 et a légèrement augmenté à 46,21% en 2024, indiquant une stabilité du niveau global d’endettement long terme à l’échelle de la période.
- Impôts différés
- Les impôts différés, présents en faible proportion en 2019 (0,96%), ont progressivement augmenté pour atteindre 1,38% en 2024, témoignant d'une croissance dans la provision pour impôts différés liée à des différences temporaires entre comptabilité fiscale et comptabilité financière.
- Passifs à long terme liés aux contrats de location-exploitation
- Ces passifs ont augmenté de 2,31% en 2020 à 3,36% en 2024, avec une stabilité intermédiaire à environ 2,88% en 2022 et 2023, illustrant une croissance progressive des obligations liées à la location à long terme.
- Autres passifs à long terme
- Les autres passifs à long terme ont légèrement diminué entre 2019 (5,74%) et 2024 (4,37%), ce qui pourrait indiquer une réduction des autres types d'obligations à long terme ou une réallocation des passifs dans d'autres catégories.
- Passifs à long terme
- Les passifs à long terme dans leur ensemble ont augmenté de 51,9% en 2019 à 65,04% en 2020, puis ont connu une baisse en 2021 à 58,4%, avant de se stabiliser autour de 53,63% en 2023 et 55,32% en 2024. La tendance indique un déplacement vers une structure de passifs à long terme plus importante, mais avec une certaine stabilité récente.
- Total du passif
- La proportion du total du passif et des capitaux propres a indiqué une augmentation, passant de 85,87% en 2019 à 94,73% en 2020, puis restant élevée autour de 92% à 94% jusqu'en 2024. Cela signale une croissance de la part du passif dans la structuration financière de l'entreprise.
- Participation ne donnant pas le contrôle
- Cette participation a diminué progressivement de 0,2% en 2019 à 0,12% en 2024, témoignant d'une réduction relative des intérêts minoritaires dans la structure de propriété.
- Actions ordinaires
- La part des actions ordinaires dans le total du passif et des capitaux propres a diminué légèrement de 4,26% en 2019 à 3,07% en 2024, indiquant une réduction de la part des capitaux propres en actions ordinaires dans la structure financière.
- Capital versé
- Le capital versé a connu une tendance à la baisse, passant de 8,11% en 2019 à 7,66% en 2024, suggérant une réduction modérée du capital social ou une gestion de la structure de capital.
- Bénéfices non répartis
- Les bénéfices non répartis ont représenté la majorité des capitaux propres, avec une forte proportion en 2019 (62,5%), puis une baisse en 2020 (46,68%), avant de se stabiliser autour de 47-49% dans les années suivantes. Cela indique une utilisation importante des bénéfices comme réserve de capital, avec une baisse en 2020, peut-être en lien avec des événements exceptionnels ou des distributions.
- Cumul des autres éléments du résultat global
- La ligne montre une tendance à une légère réduction de cette composante, passant de -8,9% en 2019 à environ -5,37% en 2024. La variation indique une gestion ou une évolution limitée dans d'autres éléments du résultat global hors bénéfices non répartis.
- Stock de trésorerie au prix coûtant
- Le stock de trésorerie a connu une tendance à la diminution en pourcentage du total du passif et des capitaux propres, passant de -52,04% en 2019 à environ -47,09% en 2024. La croissance négative indique une réduction relative des liquidités détenues par l'entreprise dans le cadre de sa structure financière globale.
- Capitaux propres
- La part des capitaux propres a été volatile, passant de 13,93% en 2019 à un creux de 5,12% en 2020, puis augmentant à 8,8% en 2023 et rediminuant à 7,46% en 2024. La fluctuation témoigne de changements dans la composition ou la valorisation du capital propre, notamment sous l’effet des bénéfices ou des réductions de capital.
- Total du passif et des capitaux propres
- Ce total étant constant à 100% en chaque année, il sert de référence, attestant que toutes les variations sont relatives à la composition de la structure financière globale.