Structure du bilan : passif et capitaux propres
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- Tendances générales des comptes créditeurs
- La proportion de comptes créditeurs par rapport au total du passif et des capitaux propres présente une tendance à la hausse sur la période, passant d'environ 22,75 % à la fin de 2018 à environ 25,24 % à la fin de 2024. Cette augmentation indique une croissance relative de la composante créditeurs dans la structure du passif, suggérant un recours accru aux dettes fournisseurs ou autres créditeurs à court terme, ou une évolution dans la gestion des passifs à court terme.
- Évolution des charges à payer
- Les charges à payer oscillent autour de 8 % à 10 %, avec une légère augmentation vers la fin de la période, culminant à environ 9,09 % à la fin de 2024. La stabilité relative de cette ligne dans la structure du passif pourrait indiquer une gestion cohérente des obligations courantes non encore réglées.
- Impôts sur les comptes de régularisation
- Les données montrent une variation sans tendance claire, avec des valeurs faibles et sporadiques, oscillant principalement entre 0,03 % et 0,78 %. La nature fluctuante et stérile dans la proportion suggère une faible influence ou un contrôle variable des impôts différés et autres éléments liés.
- Passifs liés aux contrats de location-exploitation
- Ce poste apparaît uniquement à partir de mi-2019, fluctuant entre 0,42 % et 0,54 %, indiquant une stabilité relative dans cette catégorie de passifs à long terme liés aux contrats de location, sans évolution majeure sur la période considérée.
- Échéances actuelles de la dette à long terme
- La proportion de ces échéances montre une tendance à la baisse, passant d'environ 4,25 % en 2018 à des valeurs proches de zéro, puis se stabilisant autour de 0,34 % à la fin de la période. Cela pourrait refléter le remboursement progressif de la dette à long terme ou un refinancement de celle-ci.
- Passif à court terme
- La part de passif à court terme fluctue de manière notable, avec une tendance générale à la hausse de 35,82 % en 2018 à environ 37,09 % en 2024. Cette évolution pourrait indiquer une augmentation de la composante à court terme du passif ou une gestion différente des échéances à court terme.
- Dette à long terme, à l’exclusion des échéances courantes
- Cette catégorie représente une part variable du passif à long terme, oscillant entre environ 41,78 % et 57,02 %, avec une tendance à la hausse vers la fin de la période. La proportion en augmentation suggère une concentration croissante de la dette à long terme, éventuellement en raison de nouveaux emprunts ou de refinancements.
- Impôts différés
- Ce poste reste généralement faible, autour de 1,2 % à 1,4 %, avec des fluctuations mineures. La stabilité relative indique une gestion cohérente des différences temporaires d’imposition, sans évolution marquée discordante.
- Passifs à long terme liés aux contrats de location-exploitation
- Ce compte augmente légèrement de 2,88 % vers 3,36 %, témoignant d'une croissance modérée ou d'une standardisation de ces obligations locatives à long terme.
- Autres passifs à long terme
- Cette catégorie affiche une tendance stable, avec une proportion oscillant autour de 4,0 à 5,5 % dans la structure du passif, sans changements structuraux majeurs.
- Passifs à long terme (total)
- La part de passifs à long terme connaît une tendance à fluctuer mais reste généralement élevée, passant d'environ 49,76 % en 2018 à environ 55,32 % en 2024. La hausse substantielle observée au fil du temps indique une accentuation du recours à l’endettement à long terme, probablement pour financer des investissements ou restructurer la dette existante.
- Total du passif
- La proportion de passif par rapport au total du passif et des capitaux propres est stable autour de 85-94 %, avec une légère tendance à augmenter, témoignant d'une structure de passif principalement orientée vers des dettes à court et long terme plutôt que vers des capitaux propres, mais avec une stabilité globale dans la composition générale.
- Participation ne donnant pas le contrôle
- Cette participation reste modérée, représentant environ 0,12 % à 0,20 %, sans tendance claire, ce qui traduit une minorité stable dans la structure de propriété ou dans les intérêts non contrôlants.
- Actions ordinaires et capital versé
- Les actions ordinaires module entre 3,07 % et 4,21 %, avec une légère baisse vers la fin de la période, tandis que le capital versé oscille entre 6,66 % et 8 %, restant globalement stable. Ces éléments reflètent une stabilité dans la structure du capital social de l'entreprise.
- Bénéfices non répartis
- Ce poste reste majoritairement élevé, entre 46,17 % et 62,5 % du total du passif et des capitaux propres. La part des bénéfices non répartis a tendance à augmenter vers la fin de la période, atteignant environ 49,2 % en 2024, ce qui témoigne d’une politique de rétention des bénéfices ou de croissance des réserves.
- Cumul des autres éléments du résultat global
- Ce poste demeure en territoire négatif, oscillant autour de -4,81 % à -8,9 %, indiquant une tendance de pertes ou d’éléments de résultats globaux négatifs, avec une légère intensification vers la fin de la période.
- Stock de trésorerie au prix coûtant
- Ce stock varie entre -43,54 % et -52,04 %, principalement négatif, avec une tendance à la détérioration ou à une gestion conservatrice de la trésorerie, reflétant probablement une utilisation significative de la trésorerie dans le financement ou les opérations.
- Capitaux propres
- Les capitaux propres montrent une fluctuation importante, passant d’environ 5,12 % à la fin de 2019 à environ 9,72 % à la fin de 2024. La tendance à l’accroissement en proportion indique une consolidation progressive de la valeur nette, possiblement par le biais de bénéfices retenus ou d’émissions d’actions.