Structure du bilan : passif et capitaux propres
Données trimestrielles
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- État des résultats
- Bilan : actif
- Analyse des ratios de liquidité
- Ratio valeur d’entreprise/EBITDA (EV/EBITDA)
- Ratio valeur d’entreprise/FCFF (EV/FCFF)
- Modèle d’actualisation des dividendes (DDM)
- Ratio de rotation de l’actif total depuis 2013
- Ratio cours/résultat d’exploitation (P/OP) depuis 2013
- Analyse de l’endettement
- Cumul des régularisations
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2022-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-03-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-03-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-03-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-03-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2018-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-03-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2017-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-03-31).
- Tendances générales du passif
- Au cours de la période analysée, la part relative du passif total et des capitaux propres a connu une augmentation progressive, passant d’environ 31,95 % au premier trimestre 2017 à plus de 56,31 % au troisième trimestre 2022. Cette croissance indique une augmentation de l’endettement ou des obligations financières par rapport aux capitaux propres, notamment visible dans la hausse des obligations à long terme qui passent de 22,64 % à 26,28 %. La part des passifs de long terme, en particulier, augmente globalement, signifiant un recours accru à l’endettement à long terme, notamment via les obligations et autres passifs à long terme.
- Évolution des composants des passifs à court terme
- Les composants à court terme montrent des variations notables. La part des comptes créditeurs oscille sans tendance claire, fluctuant autour de 1,13 % à 2,12 %. Les charges à payer et autres passifs à court terme présentent une tendance à la hausse en fin de période, surtout après le premier semestre 2020, atteignant un pic à 11,58 % au premier trimestre 2022, ce qui pourrait refléter une augmentation des obligations à court terme ou des passifs différés. Les obligations convertibles à court terme apparaissent à partir du deuxième semestre 2018, représentant jusqu’à 9,07 % du passif total, puis diminuent vers la fin de la période concernée. Les passifs de location-exploitation restent faibles et relativement stables, tandis que ceux liés aux contrats de location-financement montrent une tendance à la diminution vers la fin de la période, passant de 1,16 % à 0,02 %, traduisant une réduction ou une gestion plus efficace de ces obligations à court terme.
- Évolution des passifs à long terme
- Les passifs à long terme, en particulier les obligations convertibles à long terme, affichent une variation importante, avec un pic à 28,9 % en juin 2018, puis une diminution sensible, atteignant environ 14,02 % en septembre 2021. Cependant, ces obligations reprennent un léger mouvement à la hausse vers la fin, atteignant 26,24 % au deuxième semestre 2022. La composante des billets de premier rang à long terme apparaît uniquement dans la dernière année, représentant jusqu’à 12,42 % et 12,4 %, indiquant une émission récente ou accrue de dette senior à long terme. Les passifs liés aux contrats de location-exploitation et de location-financement montrent une tendance à la hausse sur la période, traduisant potentiellement une augmentation de l’utilisation des contrats de location ou leur renouvellement.
- Capitaux propres et bénéfices non répartis
- Les capitaux propres en tant que pourcentage du passif total oscillent entre 43,58 % et 72,54 %, avec une tendance générale à la baisse en fin de période, passant d’environ 68,05 % à 43,69 %. La baisse significative vers la fin de la période pourrait indiquer une dilution du capital, une accumulation de pertes ou la distribution de dividendes. Par ailleurs, le déficit accumulé pour les bénéfices non répartis est élevé en début de période, culminant à -39,37 %, avant de devenir positif à partir de 2019, atteignant légèrement -4,22 % à la fin de 2021, puis fluctuant autour de ces niveaux. Ceci indique une amélioration de la rentabilité ou une gestion efficace des bénéfices, même si des fluctuations persistent.
- Autres éléments
- Les autres passifs à long terme et l’éventuel stock de trésorerie montrent peu de tendances significatives ou sont absents dans la majorité de la période. Le cumul des autres éléments du résultat global reste négatif à l’ensemble de la période, avec une tendance à la dégradation à partir de 2020. Cela peut suggérer des pertes latentes ou des éléments de résultat qui impactent négativement le patrimoine net global.