Structure du bilan : passif et capitaux propres
Données trimestrielles
lululemon athletica inc., structure du bilan consolidé : passifs et capitaux propres (données trimestrielles)
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2025-05-04), 10-K (Date du rapport : 2025-02-02), 10-Q (Date du rapport : 2024-10-27), 10-Q (Date du rapport : 2024-07-28), 10-Q (Date du rapport : 2024-04-28), 10-K (Date du rapport : 2024-01-28), 10-Q (Date du rapport : 2023-10-29), 10-Q (Date du rapport : 2023-07-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-04-30), 10-K (Date du rapport : 2023-01-29), 10-Q (Date du rapport : 2022-10-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-05-01), 10-K (Date du rapport : 2022-01-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-08-01), 10-Q (Date du rapport : 2021-05-02), 10-K (Date du rapport : 2021-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-11-01), 10-Q (Date du rapport : 2020-08-02), 10-Q (Date du rapport : 2020-05-03), 10-K (Date du rapport : 2020-02-02), 10-Q (Date du rapport : 2019-11-03), 10-Q (Date du rapport : 2019-08-04), 10-Q (Date du rapport : 2019-05-05).
- Tendances générales du passif
- Sur l'ensemble de la période analysée, la part du total du passif et des capitaux propres représentée par le passif général reste relativement stable, oscillant autour de 40 % à 44 %. En particulier, la proportion du passif global dans le total demeure majoritairement au-dessus de 40 %, avec une tendance à la légère augmentation à partir de 2020, atteignant près de 44 % en début 2022 puis se stabilisant autour de 42 % en 2023. La composition du passif révèle une forte prédominance de passifs non courants, représentant en général un peu plus de 16 % et pouvant atteindre près de 18 % en fin de période, ce qui montre une structure de dette à long terme significative.
- Comptes créditeurs
- Les comptes créditeurs, en tant que pourcentage du passif total, connaissent une tendance à la stabilité avec des fluctuations mineures. Leur part varie entre environ 3,58 % en mai 2019 et un pic à 6,56 % en janvier 2022. La moyenne se maintient généralement autour de 4 à 5 %, suggérant une gestion prudente des dettes fournisseurs ou autres obligations à court terme liées aux achats et aux approvisionnements.
- Charges à payer et autres
- Ce poste montre une tendance à la hausse notable à partir de 2020, passant de valeurs inférieures à 1 % jusqu'à atteindre un pic à 7,93 % en janvier 2023. La fluctuation indique une augmentation possible des obligations différées ou des provisions, mais la tendance récente montre une stabilisation autour de 6 à 7 %. La variation suggère une gestion prudente de ces passifs, avec une hausse en période de crise ou durant des phases d'investissement ou de restructuration.
- Passifs liés aux contrats de location-exploitation
- La part de ces passifs dans le passif total diminue lentement, passant d’environ 5,16 % en mai 2019 à environ 3,62 % en janvier 2024. La tendance à la baisse reflète peut-être une réduction de nouvelles engagements locatifs ou un passage vers une gestion plus optimisée des contrats. La stabilité récente autour de 3,6 % indique une stabilisation de cet aspect du passif.
- Impôts sur les bénéfices courants à payer
- La part de cette composante est relativement faible tout au long de la période, oscillant entre environ 0,2 % et 3 %. On observe une augmentation notable en 2022, atteignant un pic à 3,11 %, puis une diminution en 2024. La tendance souligne une gestion particulière de cette obligation fiscale, souvent modérée, sauf lors de périodes où la charge fiscale immédiate peut augmenter temporairement.
- Responsabilité civile en matière de cartes-cadeaux non utilisées
- Ce poste conserve une proportion stable, généralement autour de 3 à 4,5 %, indiquant une gestion régulière de cette responsabilité. La tendance reste relativement stable, avec quelques fluctuations ponctuelles vers le haut, ce qui pourrait témoigner d'une croissance dans le volume de cartes-cadeaux émises ou de variations dans la gestion de cette garantie.
- Autres passifs à court terme
- Les autres passifs à court terme présentent une stabilité relative, oscillant autour de 0,44 % à 4,61 %, avec une tendance à la baisse en fin de période. La stabilité témoigne d'une gestion équilibrée de ces obligations diverses, sans fluctuations extrêmes majeures.
- Passif à court terme
- La part du passif à court terme dans le passif total montre une augmentation en 2020, atteignant 22,28 %, puis varie entre 20 et 24 %. La tendance indique une croissance relative du passif à court terme durant la période, ce qui pourrait refléter une augmentation des dettes à échéance rapprochée, ou une gestion axée sur le financement à court terme en réponse à la dynamique commerciale.
- Passifs non courants liés aux contrats de location-exploitation
- Ce poste représente en moyenne environ 17 % du passif, avec une légère tendance à la stabilisation. La proportion oscille entre 14 % et 17,5 %, indiquant une gestion équilibrée des obligations locatives à long terme, malgré quelques fluctuations dues à de nouveaux contrats ou à des changements de variable comptable.
- Impôts non courants à payer et passifs d’impôts différés
- Les impôts non courants à payer sont faibles dans leur part relative, généralement inférieurs à 1 %, mais montrent une baisse continue jusqu'en 2024, où ils deviennent indéfinis. Les impôts différés, quant à eux, maintiennent une part autour de 0,4 à 1,3 %, avec une tendance à la baisse en fin de période. Ces éléments reflètent une gestion stratégique de la fiscalité, avec une réduction progressive des passifs fiscaux différés.
- Capitaux propres
- Les capitaux propres constituent une majorité stable du passif et des capitaux propres, oscillant généralement entre 55 % et 61 %, avec une tendance à la hausse pendant la période, atteignant plus de 60 % à certains moments. La proportion élevée reflète une structure financière solide, renforcée par des bénéfices non répartis en majorité, qui oscillent entre environ 50 % et 57 %, parfois en hausse lors de résultats positifs, indiquant une politique de rétention des bénéfices pour soutenir la stabilité financière.
- Autres éléments du résultat global et bénéfices non répartis
- Le cumul des éléments du résultat global affiche une tendance négative, avec une progression vers des valeurs plus négatives, particulièrement en 2022 et 2023, ce qui indique une dépréciation ou des pertes non réalisées globales. Les bénéfices non répartis, en revanche, restent majoritairement positifs et stables, oscillant autour de 52 % à 55 %, soulignant une politique de distribution ou de rétention de bénéfices équilibrée, favorisant la stabilité du capital propre.