Structure du bilan : passif et capitaux propres
Données trimestrielles
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2024-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2024-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2024-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2024-03-31), 10-K (Date du rapport : 2023-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2023-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-03-31), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-03-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-03-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-03-31).
- Tendance générale du passif
- La proportion du passif total représentant la part à court terme a augmenté de manière progressive, passant d’environ 26,1 % au début de la période à plus de 37,2 % à la fin, indiquant une croissance relative des obligations immédiates. En parallèle, la partie non courante a connu une baisse en tendance générale, passant d’environ 44,7 % à 36,3 %, signifiant une réduction de la proportion des passifs plus longs termes en pourcentage du total. La dette à court terme a connu des fluctuations mais dans l’ensemble une tendance à la stabilisation à un niveau inférieur à 2 % du total, avec une légère hausse vers la fin de la période, tandis que laDette à long terme a maintenu une proportion stable autour de 19-20 %, témoignant d’une stabilité relative de cet élément de passif à long terme.
- Comportement des passifs spécifiques
- Les frais de pharmacie et autres frais de services payables ont enregistré une augmentation notable au fil du temps, passant de 6,98 % en mars 2020 à près de 18,3 % à la fin de la période, signalant une croissance substantielle de ces obligations à court terme. En revanche, la composante Assurance à court terme et responsabilité des titulaires de contrats a connu une fluctuation mineure, avec une tendance à la stabilité vers la fin, autour de 3,5 %. Les comptes créditeurs ont également augmenté en proportion, reflétant une hausse de 3,61 % à 5,97 %, ce qui pourrait indiquer une accumulation accrue des dettes commerciales à court terme.
- Évolution des capitaux propres
- Les bénéfices non répartis ont connu une progression régulière, montant de 13,77 % en mars 2020 à environ 27,9 % à la fin de la période, ce qui suggère une amélioration de la rentabilité ou la rétention d’une plus grande part des résultats. Le capital versé supplémentaire a augmenté progressivement, passant approximativement de 18,5 % à environ 20 %, indiquant un renforcement du capital social ou des apports additionnels. La contribution des autres éléments du résultat global est négative tout au long de la période, mais elle montre une tendance à se stabiliser autour de -1,2 %, sans impact significatif sur la stabilité des capitaux propres.
- Structure globale des capitaux propres
- Le pourcentage des capitaux propres par rapport au passif total est en moyenne stable, oscillant autour de 30 %, avec une légère baisse vers la fin de la période. La croissance notable des bénéfices non répartis et l’augmentation progressive des capitaux propres indiquent une amélioration de la capacité de l’entreprise à générer et à conserver des profits. La part des actions ordinaires, qui était nulle, n’a jamais été enregistrée, soulignant probablement que la société ne détient pas d’actions émises pour le public ou n’a pas procédé à des augmentations de capital durant cette période.
- Autres observations importantes
- Le stock de trésorerie, quantifié en valeur au coût, a connu une dépréciation régulière en pourcentage, passant d’environ -2,1 % à plus de -20 %, illustrant une réduction relative de la trésorerie disponible ou une augmentation des investissements ou des sorties de fonds. La participation ne donnant pas le contrôle, ainsi que les autres participations ne donnant pas le contrôle, restent négligeables en termes relatifs, n’affectant pas substantiellement la structure du passif. La proportion des passifs d’impôts différés a légèrement diminué, reflétant une optimisation fiscale ou une gestion différente de ces passifs.