Structure du bilan : passif et capitaux propres
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IQVIA Holdings Inc., structure du bilan consolidé : passifs et capitaux propres (données trimestrielles)
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2023-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-03-31), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-03-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-03-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-03-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-03-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2018-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-03-31).
- Évolution de la part des créditeurs et charges à payer
- La proportion de créditeurs et charges à payer par rapport au passif total et aux capitaux propres a connu une hausse progressive sur la période, passant d'environ 8,8 % en mars 2018 à environ 12,06 % en septembre 2023. Cette tendance indique une augmentation relative des obligations à court terme, témoignant d'une gestion accrue des dettes à payer dans un horizon à court terme.
- Revenus non gagnés
- La part des revenus non gagnés a connu une croissance régulière, passant de 4,02 % en mars 2018 à 7,08 % en septembre 2023. Cette hausse suggère une augmentation des recettes anticipées non encore réalisé, potentiellement associée à une progression des contrats à long terme ou des avant-contrats en cours.
- Impôts sur les bénéfices à payer
- La part d'impôts à payer a fluctué, avec une tendance à la hausse notable à partir de 2021, culminant à 0,8 % en septembre 2023. La tendance indique une augmentation des charges fiscales immédiates ou différées dans la période récente, probablement liée à la croissance des bénéfices ou à des changements dans la politique fiscale.
- Structure de la dette à court terme
- La portion de la dette à long terme, ramenée à la partie à court terme, a globalement diminué de 44,51 % en mars 2018 à 47,43 % en septembre 2023, avec un pic en 2020 et 2021. Par ailleurs, la dette à court terme en termes absolus a augmenté, passant à plus de 25 % du passif total en fin de période, ce qui pourrait refléter un refinancement ou une augmentation de financements à court terme.
- Autres passifs à court terme
- Leur proportion a été relativement stable, oscillant autour de 0,5 % à 1,78 %, avec une légère tendance à la baisse récente, signalant une gestion constante des autres passifs à court terme.
- Passif à court terme total
- Sa proportion a fortement augmenté, passant d'environ 13,77 % en mars 2018 à plus de 25 % en fin de période, reflétant une augmentation significative des obligations à court terme dans la structure du passif total.
- Dette à long terme (moins la partie à court terme)
- La part de cette dette a connu une légère baisse vers la fin, passant d'environ 44,51 % en mars 2018 à autour de 47,43 % en septembre 2023, indiquant un recours accru à l'endettement à long terme ou une réduction relative de la dette à long terme libérée de la composante à court terme.
- Impôts différés
- Cette composante a diminué en proportion, passant d’environ 3,56 % en mars 2018 à 1,41 % en septembre 2023, ce qui pourrait indiquer une réduction des obligations fiscales différées ou une évolution dans la reconnaissance des actifs et passifs fiscaux.
- Passifs liés aux contrats de location/exploitation
- Cette catégorie a cristallisé une part modérée, passant de 1,74 % à moins d'1 %, suggérant une gestion maîtrisée des obligations de location à long terme dans un contexte de réduction de ces engagements ou d’un changement dans leur évaluation.
- Autres passifs
- Leur part a été relativement stable, autour de 2,5 %, avec une tendance à la légère augmentation, indiquant une gestion régulière des autres obligations non spécifiées.
- Passifs non courants
- Leur proportion a connu une augmentation progressive, passant d’environ 49,85 % en mars 2018 à plus de 56 % en fin de période, ce qui reflète une tendance vers un renforcement de la structure de capitaux à moyen et long terme et une réduction relative des passifs à court terme.
- Total du passif
- La part du passif par rapport au total du passif et capitaux propres a augmenté de 63,62 % en mars 2018 à un pic de 78,08 % en juin 2022, puis a légèrement diminué, mais restant élevée à environ 77,65 % en septembre 2023. Cette évolution signale une augmentation significative de l’endettement ou des obligations à court terme dans la structure financière globale.
- Capitaux propres et éléments liés
- Les actions ordinaires et le capital versé supplémentaire ont vu leur part diminuer de 46,47 % en 2018 à environ 42-44 % en 2023. Les bénéfices non répartis, quant à eux, ont connu une croissance constante, passant de 2,6 % à plus de 16 %, indiquant une accumulation progressive de bénéfices retenus. Le total des capitaux propres a suivi une tendance à la baisse relative à partir de 2018, stabilisant autour de 22-25 % en fin de période, reflet d’une croissance des actions en circulation ou d’une sortie de bénéfices.
- Trésorerie et autres éléments du résultat étendu
- Le stock de trésorerie au prix coûtant a montré une dégradation continue, passant d’environ -14,89 % à -32,76 %, indiquant une détérioration de la liquidité ou une utilisation intensive des réserves de trésorerie pour financer les opérations ou rembourser la dette. Cumul des autres éléments du résultat étendu a été globalement négatif, oscillant autour de -1 à -3,5 %, marquant des pertes ou ajustements négatifs non récurrents dans la période.