Structure du bilan : passif et capitaux propres
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- Bilan : passif et capitaux propres
- Tableau des flux de trésorerie
- Structure du compte de résultat
- Analyse des ratios de solvabilité
- Analyse des ratios d’activité à court terme
- Analyse des segments à présenter
- Analyse des zones géographiques
- Rapport valeur/ EBITDA d’entreprise (EV/EBITDA)
- Valeur actualisée des flux de trésorerie disponibles par rapport aux capitaux propres (FCFE)
- Ratio d’endettement par rapport aux capitaux propres depuis 2013
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31).
- Évolution de la structure du passif et des capitaux propres
- Depuis 2018, la part du passif dans la totalité des fonds a augmenté progressivement, passant de 69,16% à 77,25% en 2022. Cette tendance indique une augmentation de l'endettement relatif ou une réduction des capitaux propres. La part des capitaux propres, quant à elle, a diminué de manière continue, passant de 30,84% en 2018 à 22,75% en 2022.
- Composantes du passif à court terme
- Les dettes à court terme ont connu une hausse notable, avec le pourcentage du passif total passant de 15,67% en 2018 à 22,02% en 2022. En particulier, la ligne « Passif à court terme » a enregistré une augmentation, ce qui suggère une accumulation ou une accélération du besoin en liquidités à court terme. Par ailleurs, la dette liée aux « Créditeurs et charges à payer » a également augmenté, indiquant un raccourcissement ou une intensification des obligations de paiement.
- Variations dans les passifs spécifiques
- Les « Revenus non gagnés » ont connu une croissance notable, passant de 4,47% à 7,09%, traduisant peut-être une hausse des paiements anticipés ou des revenus différés. La ligne « Rémunération, y compris primes et avantages sociaux » a légèrement augmenté, reflétant une hausse potentielle des charges sociales ou rémunérations différées. En revanche, certains passifs, comme « Restructuration » et « Charges à payer », ont diminué en proportion, ce qui pourrait signifier une réduction des charges exceptionnelles ou une stabilisation dans la gestion des restructurations.
- Passifs financiers à long terme
- La part des dettes à long terme, moins la partie à court terme, est restée relativement stable, flirtant autour de 49%, avec une légère hausse en 2022. Les passifs liés aux contrats de location, aussi bien opérationnels que de financement, ont augmenté en proportion, passant de valeurs absentes à 0,88% pour l'ensemble de la période, signalant une croissance de l'utilisation de contrats de location-financement à long terme ou une adoption accrue de telles stratégies.
- Impôts et autres passifs
- Les impôts différés ont diminué en 2020, mais leur pourcentage est remonté, atteignant 1,83% en 2022, suite à une refinanciation éventuelle ou une nouvelle optimisation fiscale. La catégorie « Autres passifs » a oscillé mais a montré une légère baisse depuis 2019, tandis que « Autre » a vu une progression constante jusqu'en 2022, indiquant peut-être une diversification ou une augmentation de passifs diversifiés non classés ailleurs.
- Capitaux propres
- Les capitaux propres ont connu une tendance à la baisse, passant de 30,84% en 2018 à 22,75% en 2022. La composante « Bénéfices non répartis » a fortement augmenté, de 3,58% à 13,16%, ce qui signale une accumulation importante de bénéfices réinvestis. La baisse de la valeur nominale des actions ordinaires, passant de 48,34% à 43,01%, pourrait refléter des opérations de rachat, des distributions ou une dilution du capital.
- Indicateurs de liquidité et de rentabilité
- Le stock de trésorerie, au prix coûtant, s'est dégradé, passant de -21,15% en 2018 à -30,55% en 2022, ce qui témoigne d'une augmentation des besoins en liquidités ou d'une utilisation accrue des liquidités pour le financement des activités ou investissements. Enfin, le cumul des autres éléments du résultat global montre également une tendance négative, atteignant -2,87% en 2022, indiquant une dépréciation ou une dévalorisation des autres éléments de capitaux propres hors résultat net.