Structure du bilan : passif et capitaux propres
Données trimestrielles
Lowe’s Cos. Inc., structure du bilan consolidé : passifs et capitaux propres (données trimestrielles)
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2025-08-01), 10-Q (Date du rapport : 2025-05-02), 10-K (Date du rapport : 2025-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2024-11-01), 10-Q (Date du rapport : 2024-08-02), 10-Q (Date du rapport : 2024-05-03), 10-K (Date du rapport : 2024-02-02), 10-Q (Date du rapport : 2023-11-03), 10-Q (Date du rapport : 2023-08-04), 10-Q (Date du rapport : 2023-05-05), 10-K (Date du rapport : 2023-02-03), 10-Q (Date du rapport : 2022-10-28), 10-Q (Date du rapport : 2022-07-29), 10-Q (Date du rapport : 2022-04-29), 10-K (Date du rapport : 2022-01-28), 10-Q (Date du rapport : 2021-10-29), 10-Q (Date du rapport : 2021-07-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-04-30), 10-K (Date du rapport : 2021-01-29), 10-Q (Date du rapport : 2020-10-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-05-01), 10-K (Date du rapport : 2020-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-11-01), 10-Q (Date du rapport : 2019-08-02), 10-Q (Date du rapport : 2019-05-03).
- Tendances générales des passifs
- Les données montrent une augmentation progressive de la part du passif total dans le total des passifs et capitaux propres, passant de 92,51 % au début de la période à près de 100 % à la fin de l’observation. La part des dettes à long terme, à l’exclusion des échéances courantes, connaît une croissance marquée, passant d’environ 38,27 % à 65,53 %. La proportion des passifs non courants dépasse allègrement la moitié du total, culminant à 78,07 %.
- Évolution des dettes
- Les échéances actuelles de la dette à long terme diminuent légèrement en proportion en début de période, puis connaissent une hausse significative à partir de 2022, atteignant 9,22 % en 2024, traduisant un recentrage sur l’impact des échéances à court terme. La dette à long terme hors échéances courantes progresse constamment durant la même période, impliquant une augmentation de l’endettement à long terme. Par ailleurs, la dette totale à long terme dépasse 80 % à partir de 2022, témoignant d’un recours accru à l’endettement à long terme.
- Proportion des passifs à court terme
- La part des passifs courants dans l’ensemble du passif fluctue, atteignant un pic de plus de 44 % en 2021, puis redescend légèrement pour s’établir autour de 39 % en 2024, ce qui indique une gestion dynamique des échéances à court terme face à une augmentation de l’endettement global. La composante principale du passif à court terme demeure les comptes créditeurs, dont la proportion oscille mais reste généralement élevée, autour de 20 à 27 %.
- Éléments spécifiques du passif
- Les passifs liés aux contrats de location-exploitation représentent en moyenne environ 8 % du total, avec une stabilité relative. Les produits différés se maintiennent autour de 2,75 % à 2,94 %, tandis que les autres passifs à court terme fluctuent mais restent globalement autour de 6,5 à 8 %.
- Structure du passif non courant
- Les passifs à long terme hors échéances courantes constituent une proportion croissante, passant de près de 38 % à plus de 89 %. La majorité de ces passifs proviennent des dettes à long terme, atteignant en 2024 près de 84 % du total des passifs et capitaux propres, montrant une dépendance accrue à des financements à long terme.
- Éléments de capitaux propres
- Les bénéfices non répartis présentent une tendance fortement négative, passant d’un léger excédent en début de période à une perte accumulée significative de -37,41 % en 2021, puis atteignant -36 % en 2024, ce qui reflète une dégradation progressive de la rentabilité ou un retrait de bénéfices. La composante capital et actions ordinaires demeure faible mais stable, oscillant autour de 0,6–0,97 %. Le déficit des capitaux propres enregistre une aggravation, en particulier à partir de 2020, soulignant une situation financière de plus en plus affaiblie.
- Autres observations
- Les éléments du résultat étendu tels que la cumul des autres éléments montrent une tendance à la stabilisation, avec une légère croissance positive à partir de 2022. La part du capital supérieur à la valeur nominale apparaît sporadiquement et en faibles proportions. Globalement, l’ensemble des indicateurs soulignent une augmentation de l’endettement et une détérioration progressive des capitaux propres, accompagnées d’un renforcement relatif des dettes à long terme, nos capacités de trésorerie à court terme semblant se réduire par rapport à l’ensemble des passifs.