Structure du bilan : passif et capitaux propres
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- État du résultat global
- Bilan : passif et capitaux propres
- Structure du compte de résultat
- Analyse des ratios de liquidité
- Analyse des ratios d’activité à court terme
- Rapport valeur/ EBITDA d’entreprise (EV/EBITDA)
- Rapport valeur/ FCFF d’entreprise (EV/FCFF)
- Rendement des capitaux propres (ROE) depuis 2005
- Ratio de rotation de l’actif total depuis 2005
- Rapport cours/valeur comptable (P/BV) depuis 2005
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2025-04-25), 10-K (Date du rapport : 2024-04-26), 10-K (Date du rapport : 2023-04-28), 10-K (Date du rapport : 2022-04-29), 10-K (Date du rapport : 2021-04-30), 10-K (Date du rapport : 2020-04-24).
- Évolution des titres de créance à court terme
- La proportion des titres de créance à court terme par rapport au total du passif et des capitaux propres montre une forte fluctuation. Elle diminue fortement en 2021, passant de 3,06 % à 0,01 %, puis remonte significativement en 2022 à 4,11 %. Ensuite, cette proportion diminue en 2023 à 0,02 % et remonte à 1,21 % en 2024, avant d'atteindre 3,13 % en 2025. Ces variations indiquent une gestion intermittente de la composante court terme de la dette, avec une tendance globale de fluctuations plutôt instables.
- Évolution des comptes créditeurs
- Les comptes créditeurs maintiennent une part stable d'environ 2,2 % à 2,93 % sur la période. La hausse en 2023 à 2,93 % puis une consolidation autour de 2,67 % en 2025 suggèrent une gestion régulière des dettes fournisseurs, sans variations majeures sur la durée.
- Rémunération accumulée
- Ce poste connaît une hausse progressive, passant de 2,31 % en 2020 à 2,74 % en 2025. La tendance indique une augmentation graduelle des charges de rémunération différée ou accumulée dans le passif, correspondant peut-être à une croissance de l’effectif ou de ses engagements.
- Impôts sur les comptes de régularisation
- On observe une augmentation notable de cette ligne, passant de 0,55 % en 2020 à 1,48 % en 2024, stable en 2025. La progression reflète une hausse des obligations fiscales différées ou des régularisations fiscales, pouvant indiquer des ajustements fiscaux ou une croissance des activités à l’origine de fiscalités différées.
- Autres charges à payer
- Ce poste progresse lentement de 3,3 % à 4,02 %, signifiant une augmentation discrète mais régulière des charges différées ou autres passifs à court terme. La tendance témoigne d’une gestion prudente et d’une légère augmentation des obligations à court terme non spécifiques.
- Passif à court terme
- La proportion du passif à court terme oscille, avec un point bas en 2021 à 9,14 %, puis une hausse régulière depuis cette date, atteignant 14,05 % en 2025. La tendance reflète une augmentation relative des obligations à court terme, ce qui pourrait indiquer un recentrage ou une augmentation de la pression des échéances financières à court terme.
- Dette à long terme
- La part de la dette à long terme fluctue légèrement à la hausse, passant de 24,28 % en 2020 à 27,97 % en 2025, avec un pic en 2021 à 28,34 %. Cela indique une tendance à l’accroissement des financements à long terme, traduisant une stratégie de financement orientée vers des emprunts à plus longue échéance.
- Rémunération accumulée et prestations de retraite
- Ce poste diminue de 2,11 % en 2020 à 1,26 % en 2025, soulignant une réduction relative de ces engagements différés ou obligations liées aux retraites au sein du passif global. La baisse pourrait refléter une gestion active ou une sortie progressive de ces obligations.
- Impôts sur les comptes de régularisation (passifs d’impôts différés)
- Ce poste diminue de 1,29 % en 2020 à 0,44 % en 2025, voire en 2024. La tendance indique une réduction des passifs d’impôts différés, ce qui peut signaler une stabilité fiscale accrue ou une utilisation meilleure des avantages fiscaux différés dans la gestion financière.
- Autres passifs et passifs non courants
- Les autres passifs généraux fluctuent légèrement, entre 1,52 % et 1,93 %, sans tendance claire. Pour les passifs non courants, la proportion oscille entre 28,43 % et environ 35 %, avec un pic en 2021 à 35,42 % et un retour autour de 33 % en 2024-2025. La proportion des passifs non courants reste globalement stable, témoignant d’une gestion équilibrée de ces engagements à long terme.
- Total du passif
- Ce poste varie dans une fourchette de 42,05 % à 47,36 %, avec une tendance à la hausse en 2025. La hausse relative du total du passif dans la structure financière pourrait indiquer une augmentation globale des obligations par rapport aux capitaux propres.
- Capitaux propres
- Les capitaux propres représentent une majorité significative du passif, oscillant entre 52,38 % et 57,95 %. La part de l’équity montre une légère tendance à la diminution en 2024 et 2025, passant à 52,38 %, suite à une stabilisation autour de 56-57 % durant la majorité de la période. La diminution récente peut refléter une augmentation du passif ou une réduction relative de la composante propre.
- Capital versé supplémentaire et bénéfices non répartis
- Le capital supplémentaire diminue de 28,85 % en 2020 à 22,72 % en 2025, tandis que les bénéfices non répartis augmentent, passant de 31,02 % à 34,33 %. La croissance des bénéfices non répartis indique une rentabilité soutenue et la consolidation du résultat net, tandis que la réduction du capital supplémentaire peut indiquer des distributions ou une baisse de nouveaux apports.
- Cumul des autres éléments du résultat global
- Ce poste demeure négatif, oscillant autour de -2,49 % à -4,67 %, avec une aggravation en 2025. La tendance négative suggère une dépréciation continue des autres éléments de résultat global, pouvant traduire des pertes ou des ajustements de valeur hors du résultat net.
- Capitaux propres totaux
- Les capitaux propres totaux suivent une tendance similaire, passant de 56,1 % en 2020 à 52,64 % en 2025, témoignant d’une dégradation progressive de la proportion des capitaux propres dans la structure financière globale, en lien avec la croissance relative du passif.