Structure du bilan : actif
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2015-12-26), 10-K (Date du rapport : 2014-12-27), 10-K (Date du rapport : 2013-12-28), 10-K (Date du rapport : 2012-12-29), 10-K (Date du rapport : 2011-12-31).
- Évolution de la trésorerie et équivalents de trésorerie
- La part de la trésorerie et équivalents de trésorerie dans l’actif total a diminué significativement entre 2011 et 2013, passant de 13,56 % à 6,59 %. Elle a ensuite connu une légère remontée en 2015, atteignant 9,13 %. Cette tendance pourrait indiquer une gestion prudente des liquidités ou une utilisation accrue de ces fonds dans d’autres postes d’actifs au cours de la période, suivie d’une régularisation ou d’un ajustement stratégique en 2015.
- Comptes et notes débiteurs
- Les comptes et notes débiteurs en valeur absolue ont progressé en proportion de l’actif total, passant de 3,24 % en 2011 à 4,67 % en 2015. Cette augmentation pourrait refléter une augmentation des créances commerciales ou un changement dans la politique de crédit de l’entreprise.
- Inventaires
- La proportion d’inventaires dans l’actif total a diminué, passant de 3,09 % en 2011 à 2,84 % en 2015. Cela pourrait indiquer une gestion plus efficace des stocks ou une réduction de l’encours d’inventaire, contribuant à une meilleure rotation des stocks.
- Impôt sur le revenu à recevoir
- Cette composante a vu sa part diminuer régulièrement, passant de 1,70 % en 2011 à environ 0,51 % en 2015, suggérant une diminution des créances fiscales ou une meilleure gestion fiscale.
- Actifs détenus en vue de la vente
- La proportion de ces actifs a fluctué, atteignant un pic en 2012 (0,62 %) avant de se réduire à 0,35 % en 2015, témoignant d’une réduction potentielle des actifs destinés à la vente ou à leur traitement comptable sous une autre rubrique.
- Charges payées d’avance et autres actifs circulants
- La part de ces actifs a été relativement stable, autour de 2 à 3 % de l’actif total, indiquant une gestion constante de ces éléments circulants.
- Impôts différés
- Leur pourcentage dans l’actif total a diminué légèrement entre 2011 et 2014, avant une forte hausse en 2015, passant de 1,27 % à 8,37 %. Cela pourrait refléter des changements dans la position fiscale ou la reconnaissance de passifs ou actifs d’impôt différé.
- Actifs coopératifs publicitaires
- Cette ligne est restée relativement stable, oscillant autour de 1,1 à 1,5 %, ce qui indique une allocation constante vers des actifs liés aux dépenses publicitaires ou coopératives.
- Actif circulant
- Sa part dans l’actif total a connu une baisse notable entre 2011 et 2013, passant de 26,27 % à 19,45 %, puis a augmenté légèrement en 2015 à 20,9 %, suggérant une réduction temporaire ou stratégique des actifs circulants.
- Immobilisations corporelles
- Leur part dans l’actif total a augmenté de manière significative, passant de 45,76 % en 2011 à un sommet de 53,9 % en 2014, avant de se stabiliser autour de 51,88 % en 2015. Cela indique une forte consolidation ou acquisition d’immobilisations corporelles durant cette période.
- Survaleur
- Sa part a diminué de 7,71 % en 2011 à 8,12 % en 2015, après un pic en 2012 (11,47 %), ce qui peut refléter une décote ou une amortisation progressive de cette composante d’actif.
- Immobilisations incorporelles
- Leur proportion a fortement fluctué, avec une valeur de 3,38 % en 2011, une augmentation en 2012 (7,66 %), puis une baisse à 3,36 % en 2015. Ces variations peuvent traduire des amortissements ou des acquisitions de ces actifs.
- Participations dans des sociétés affiliées non consolidées
- Cette ligne a vu sa part diminuer de 1,89 % à 0,76 % entre 2011 et 2015, se stabilisant à un niveau faible, ce qui indique une réduction ou une faible importance de ces participations dans la structure de l’actif.
- Autres actifs
- La part de ces actifs a été relativement stable, oscillant autour de 5,3 à 6,7 %, témoignant d’une composante constante dans la composition de l’actif.
- Impôts différés (détail supplémentaire)
- À partir de 2011, leur pourcentage a baissé puis a connu une hausse notable en 2015, atteignant 8,37 %, indiquant une évolution significative de la gestion fiscale ou de la reconnaissance d’éléments liés à la fiscalité différée.
- Actifs non courants
- La part des actifs non courants dans l’actif total a augmenté de 73,73 % en 2011 à un pic de 80,55 % en 2013, puis a légèrement diminué pour s’établir à 79,1 % en 2015. Cela traduit une tendance à la consolidation d’actifs non courants, probablement liés à des immobilisations ou autres investissements à long terme.
- Résumé général
- Dans l’ensemble, la structure de l’actif a montré une tendance à la consolidation des immobilisations corporelles, au détriment d’un actif circulant plus réduit au début de la période. La gestion de la trésorerie a connu des ajustements, avec une réduction initiale suivie d’une brève reprise. La part des actifs fiscaux différés a augmenté de façon significative en 2015, tandis que d’autres actifs, tels que les créances et inventaires, ont tendance à diminuer dans leur proportion relative. La stabilité relative de certains éléments comme les participations et les autres actifs indique une gestion prudente et conservatrice dans la composition des actifs non courants.