Structure du bilan : passif et capitaux propres
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DuPont de Nemours Inc., structure du bilan consolidé : passifs et capitaux propres (données trimestrielles)
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-03-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2018-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-03-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2017-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-03-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2016-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-03-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2015-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-03-31).
- Tendances générales dans la structure du passif
- Entre le premier trimestre 2015 et le dernier trimestre 2019, la part du total du passif et des capitaux propres représentée par le total du passif a connu une certaine stabilité, oscillant autour de 65 %, sans évoluer de manière significative en pourcentage. Cependant, on observe une baisse notable à partir de 2018, où cette part descend en dessous de 50 %, pour atteindre environ 40 %, témoignant d'une augmentation relative des capitaux propres ou d'une réduction de la composante passif.
- Évolution de la dette à long terme
- La dette à long terme, hors échéances inférieures à un an, a montré une tendance à la baisse en pourcentage du passif jusqu’au milieu 2016, atteignant environ 14 %, puis a connu quelques fluctuations, culminant à environ 22 % en 2019. Cette évolution suggère une réduction initiale puis une stabilisation ou une légère augmentation de l’endettement à long terme.»
- Variation du passif à court terme
- La proportion du passif à court terme par rapport au total du passif a tendu à diminuer de façon marquée à partir de 2017, passant d’environ 16—18 % à environ 9 %. Cette tendance indique une réduction de l’importance relative des dettes à court terme dans la structure du passif de l’entreprise.»
- Composantes des passifs courants
- Les comptes créditeurs, une composante majeure, ont globalement maintenu une stabilité relative en pourcentage du passif, avec une légère baisse en fin de période. Les impôts sur les bénéfices à payer ont, quant à eux, subi une baisse significative depuis 2015, culminant à environ 0,21 % en 2019, ce qui pourrait indiquer une amélioration dans la gestion fiscale ou une réduction des passifs fiscaux à court terme.»
- Provisions pour charges sociales et autres passifs non courants
- Les charges relatives aux prestations de retraite et autres avantages postérieurs à l’emploi (non courants) ont diminué en pourcentage du passif, passant d’environ 14,5 % à un peu plus de 1,5 % en 2019, signalant une réduction potentielle des engagements liés à ces avantages.»
- Autres obligations non courantes et passifs non courants
- Les autres obligations non courantes ont représenté une part fluctuante, atteignant un maximum d’environ 7,8 % en 2016, puis une diminution nette sous 2 % en 2019. Les autres passifs non courants ont, quant à eux, suivi une tendance à la baisse constante, passant d’environ 21 % au début de la période à moins de 9 % en 2019, illustrant une réduction de ces engagements.»
- Structure des capitaux propres
- Les capitaux propres ont connu une croissance en pourcentage du passif, passant d’environ 34 % en 2015 à un maximum de près de 59 % en 2018, avant de légèrement reculer en 2019, mais restant à un niveau élevé. La proportion des bénéfices non répartis a été très volatile : elle a augmenté significativement en 2015 et 2016, atteignant plus de 41 %, puis a connu une baisse importante, devenant négative en 2019, ce qui peut indiquer des pertes accumulées ou une redistribution de dividendes et autres ajustements.»
- Evolution des autres éléments des capitaux propres
- Les "participations ne donnant pas le contrôle" ont maintenu une faible part constante autour de 1,2 %, tandis que le capital versé supplémentaire a augmenté nettement au fil du temps, passant d'environ 7 % en 2015 à plus de 73 % en 2019, signe d’émissions d’actions ou d’augmentation du capital social. La croissance du capital versé s’accompagne toutefois d’une baisse relative des bénéfices non répartis, indiquant une politique de financement par l’émission de titres propres plutôt que par la rétention de bénéfices.»
- Synthèse
- La structure financière de l’entreprise a évolué vers une dominance accrue des capitaux propres à partir de 2018, avec une réduction relative de la part du passif, en particulier du passif à court terme et des passifs non courants. La baisse de la dette à long terme en pourcentage du passif, combinée à une augmentation du capital versé, suggère une refonte de la stratégie financière, privilégieant une stabilité accrue et une indépendance vis-à-vis de l’endettement et des financements externes. La diminution des passifs liés aux obligations sociales et aux passifs fiscaux à court terme renforce cette tendance vers une structure plus robuste. La part des bénéfices non répartis reste volatile, avec en 2019 une situation déficitaire, ce qui pourrait signaler des difficultés financières ou une gestion particulière des résultats.»