Structure du bilan : passif et capitaux propres
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D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2024-03-31), 10-K (Date du rapport : 2023-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2023-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-03-31), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-03-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-03-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-03-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-03-31).
- Tendances des comptes créditeurs
- Les comptes créditeurs, exprimés en pourcentage du total du passif et des capitaux propres, présentent une fluctuation modérée. Après une légère baisse entre 2019 et 2020, suivi d'une hausse progressive jusqu'à atteindre 1,73 % au premier trimestre 2024, indiquant une augmentation relative de l'endettement à court terme envers les fournisseurs ou autres parties payables. La tendance suggère une gestion accrue des obligations à court terme liée à la supply chain ou au financement opérationnel.
- Évolution des avantages sociaux liés aux employés
- La part des avantages sociaux liés aux employés en pourcentage du total du passif et des capitaux propres évolue globalement à la hausse, passant de 1,1 % fin 2019 à 0,75 % au troisième trimestre 2024. Toutefois, des fluctuations sont observées, notamment une baisse en 2020 suivie d'une reprise, témoignant d'une gestion variable de ces avantages en lien avec la stratégie RH ou des ajustements comptables.
- Impôts présents à payer
- Les impôts sur le revenu et impôts miniers présentent une tendance à l'augmentation en 2020-2021, culminant à 1,59 % durant le dernier trimestre 2020. Par la suite, cette part diminue jusqu'à retrouver des niveaux très faibles proches de 0,16-0,25 % en 2024, reflétant possiblement une meilleure gestion fiscale ou des changements dans la réglementation ou la politique d'imposition.
- Contrats de location-financement à court terme
- Le pourcentage de ces contrats reste relativement stable autour de 0,24-0,26 % au fil du temps, indiquant une gestion contrôlée de ces obligations à court terme sans tendance marquée à la hausse ou à la baisse significative.
- Dette actuelle
- La dette à court terme connaît une volatilité notable, avec une diminution significative en 2020, puis une reprise vers 2024, culminant à 3,46 %. La variation indique une gestion active des financements à court terme, éventuellement pour financer des opérations ou ajuster la structure du passif selon les besoins financiers à court terme.
- Autres passifs à court terme
- La composante de ces passifs montre une tendance à l'augmentation, passant de 2,48 % en 2019 à un pic à 4,26 % lors du premier trimestre 2024. Il s'agit probablement d'une hausse des obligations diverses ou provisions à court terme, incluant également des passifs liés aux opérations courantes ou aux charges à payer.
- Passif à court terme total
- La part relative de ce passif connaît une baisse jusqu'à fin 2020, puis une remontée, culminant à près de 10,81 % au premier trimestre 2024. La tendance met en évidence une gestion fluctuante du besoin en fonds de roulement à court terme, avec une augmentation significative en 2024, pouvant refléter une intensification des obligations à court terme.
- Dette non courante
- La dette à long terme, exprimée en pourcentage, montre une relative stabilité avant de légèrement augmenter en 2024, atteignant 16,14 %. La répartition reflète une maîtrise de la dette à long terme, mais avec une tendance à l'accroissement, peut-être pour financer des investissements ou des opérations stratégiques.
- Responsabilités en matière de remise en état et d’assainissement
- La part de ces responsabilités augmente de manière constante, passant de 11,97 % en 2019 à 17,63 % en fin 2023, avant une baisse à 14,71 % en début 2024. Cette tendance indique une hausse des obligations liées à la responsabilité environnementale, en lien avec la réglementation ou la stratégie de gestion post-exploitation, avant une recentralisation ou révision prochaine.
- Passifs d’impôts différés
- Ce poste reste relativement stable, avec une légère fluctuation autour de 4,45 - 7,27 %, témoignant de différences dans la reconnaissance des passifs fiscaux différés liés aux amortissements ou déductions différées.
- Part de l’ensemble des capitaux propres
- Les capitaux propres représentent une majorité du passif, fluctuant entre 50,28 % et 58,14 %. La tendance montre une certaine stabilité de la structure financière en équilibrant dette et capitaux propres, avec des pics en 2019-2020, puis un léger recul en 2024.
- Participation ne donnant pas le contrôle
- Ce poste diminue de manière notable en 2020, passant de 4,66 % à 2,02 %, puis se stabilise à de faibles niveaux, indiquant une réduction ou un rachat partiel des participations contrôlées dans des sociétés affiliées ou associées.
- Capital versé supplémentaire
- Ce capital connaît une croissance continue, passant d’environ 45,5 % en 2019 à plus de 55 % en 2024, suggérant une augmentation du capital social ou des apports additionnels pour renforcer la structure financière ou financer des projets spécifiques.
- Bénéfices non répartis (déficit accumulé)
- Ce poste présente une tendance à la baisse à partir de 2019, culminant en déficit en 2023, avec une réduction notable des bénéfices non répartis, traduisant potentiellement des pertes ou une politique de distribution accrue, tout en restant négatif en 2024.
- Total des capitaux propres
- Ce total fluctue autour de 50,28 % à 58,14 % du passif, avec une tendance à la stabilisation en 2024 à environ 52,21-52,54 %, indiquant une gestion équilibrée de la structure du capital.
- Participations ne donnant pas le contrôle
- Leur part diminue fortement en 2019, puis se stabilise autour de 0,3 %, moins de 1 %, signalant une réduction des intérêts minoritaires ou une cession partielle de participations à contrôle non total.