Espace pour les utilisateurs payants
Essayer gratuitement
Occidental Petroleum Corp. pages disponibles gratuitement cette semaine :
- État des résultats
- État du résultat global
- Structure du compte de résultat
- Analyse des ratios d’activité à court terme
- Analyse des ratios d’activité à long terme
- Valeur actualisée des flux de trésorerie disponibles par rapport aux capitaux propres (FCFE)
- Ratio de marge bénéficiaire nette depuis 2005
- Ratio de rendement de l’actif (ROA) depuis 2005
- Ratio de liquidité actuel depuis 2005
- Ratio prix/chiffre d’affaires (P/S) depuis 2005
Nous acceptons :
État des résultats
Occidental Petroleum Corp., certains éléments du compte de résultat, tendances à long terme
en millions de dollars américains
12 mois terminés le | Revenu | Résultat net attribuable à Occidental |
---|---|---|
31 déc. 2024 | ||
31 déc. 2023 | ||
31 déc. 2022 | ||
31 déc. 2021 | ||
31 déc. 2020 | ||
31 déc. 2019 | ||
31 déc. 2018 | ||
31 déc. 2017 | ||
31 déc. 2016 | ||
31 déc. 2015 | ||
31 déc. 2014 | ||
31 déc. 2013 | ||
31 déc. 2012 | ||
31 déc. 2011 | ||
31 déc. 2010 | ||
31 déc. 2009 | ||
31 déc. 2008 | ||
31 déc. 2007 | ||
31 déc. 2006 | ||
31 déc. 2005 |
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2024-12-31), 10-K (Date du rapport : 2023-12-31), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31), 10-K (Date du rapport : 2011-12-31), 10-K (Date du rapport : 2010-12-31), 10-K (Date du rapport : 2009-12-31), 10-K (Date du rapport : 2008-12-31), 10-K (Date du rapport : 2007-12-31), 10-K (Date du rapport : 2006-12-31), 10-K (Date du rapport : 2005-12-31).
- Tendances des revenus annuels
- Les revenus annuels, exprimés en millions de dollars américains, présentent une dynamique marquée par une phase de croissance jusqu’en 2008 (passant de 15 208 en 2005 à 24 217 en 2008), suivie d’une baisse en 2009 (15 403) puis d’un rebond jusqu’au plateau autour de 24 000 à 24 600 entre 2011 et 2013. À partir de 2014, le niveau se replie à environ 19 312 et se dégrade ensuite fortement en 2015 et 2016 (12 480 puis 10 090). Une reprise partielle apparaît ensuite avec des niveaux autour de 12 508 en 2017, puis une progression vers 17 824 en 2018 et 20 393 en 2019. Une nouvelle hausse est observée en 2021, suivie d’un pic exceptionnel en 2022 à 36 634, puis une consolidation en 2023 et 2024 à 28 257 puis 26 725. Globalement, la série affiche une volatilité élevée avec des creux marqués (2009, 2014-2016, 2020) et des pics (2008, 2022).
- Évolution du résultat net attribuable
- Le résultat net est positif sur la période 2005-2013, oscillant entre environ 4 182 et 6 857 millions USD, avec un point haut en 2008 (6 857) et un second pic autour de 6 771 en 2011. En 2014, il chute à environ 616 millions, puis devient négatif en 2015 (-7 829) et légèrement négatif en 2016 (-574). Une reprise modeste survient en 2017 (1 311) et 2018 (4 131), suivie d’un nouveau bas en 2019 (-667) et d’un grand revers en 2020 (-14 831). Le retournement se fait en 2021 (2 322) et se renforce en 2022 (13 304), avant de se replier en 2023 (4 696) et 2024 (3 056). Dans l’ensemble, le profil du résultat net est marqué par une forte volatilité, avec des périodes de profits soutenus alternant avec des pertes notables et, plus récemment, une régression après un pic de 2022.
- Relation entre les revenus et le résultat net
- La rentabilité nette varie fortement en fonction des années. Des marges positives importantes apparaissent lorsque les revenus sont élevés et que les charges et dépréciations ne pèsent pas excessivement (par exemple autour de 25-35% lors d’années comme 2008 et 2022). En 2015-2016, et particulièrement en 2020, le résultat net devient négatif malgré des revenus encore significatifs, ce qui conduit à des marges nettes fortement négatives (par exemple, -83% en 2020 si l’on compare approximativement le résultat net à la ligne de revenus). La forte croissance des revenus en 2022 s’accompagne d’un net positif robuste, tandis que les années 2023-2024 montrent une confirmation de profits plus modestes, traduisant une réduction relative de la rentabilité par rapport au pic de 2022. En résumé, la dynamique des revenus ne se traduit pas toujours par une progression proportionnelle du résultat net, en raison de la sensibilité du résultat net à des éléments non opérationnels et à des variations de coûts et d’amortissements.
- Points saillants par périodes clés
- 2005-2008: croissance des revenus et profits solides; 2009-2010: déclin puis rebond modéré; 2011-2013: stabilité d’un niveau élevé de revenus et profits; 2014-2016: chute des revenus et pertes importantes (2015-2016); 2017-2019: reprise des bénéfices mais volatilité marquée; 2020: perte record; 2021-2022: forte reprise, avec pic de revenus en 2022 et profits substantiels; 2023-2024: consolidation des performances à des niveaux élevés relatifs mais inférieurs au pic de 2022.
- Observations sur la volatilité et les facteurs observables
- La série présente une volatilité marquée des résultats nets par rapport aux revenus, avec des épisodes de pertes importantes en 2015-2016 et en 2020, et des périodes de profits soutenus dans les années 2005-2008 et 2011-2013 ainsi qu’en 2022. Cette volatilité suggère une sensibilité accrue des résultats nets aux facteurs non opérationnels, tels que les dépréciations d’actifs et les éléments exceptionnels, ainsi qu’aux cycles des prix de l’énergie. Le pic des revenus en 2022 s’accompagne d’une amélioration correspondante du résultat net, renforçant l’observation d’une relation positive entre les pics de revenus et les gains nets lorsque les conditions opérationnelles et les prix de l’énergie soutiennent la rentabilité, mais les années de forte volatilité démontrent que cette relation n’est pas systématique à court terme.
Bilan : actif
Occidental Petroleum Corp., éléments sélectionnés à partir d’actifs, tendances à long terme
en millions de dollars américains
Actif circulant | Total de l’actif | |
---|---|---|
31 déc. 2024 | ||
31 déc. 2023 | ||
31 déc. 2022 | ||
31 déc. 2021 | ||
31 déc. 2020 | ||
31 déc. 2019 | ||
31 déc. 2018 | ||
31 déc. 2017 | ||
31 déc. 2016 | ||
31 déc. 2015 | ||
31 déc. 2014 | ||
31 déc. 2013 | ||
31 déc. 2012 | ||
31 déc. 2011 | ||
31 déc. 2010 | ||
31 déc. 2009 | ||
31 déc. 2008 | ||
31 déc. 2007 | ||
31 déc. 2006 | ||
31 déc. 2005 |
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2024-12-31), 10-K (Date du rapport : 2023-12-31), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31), 10-K (Date du rapport : 2011-12-31), 10-K (Date du rapport : 2010-12-31), 10-K (Date du rapport : 2009-12-31), 10-K (Date du rapport : 2008-12-31), 10-K (Date du rapport : 2007-12-31), 10-K (Date du rapport : 2006-12-31), 10-K (Date du rapport : 2005-12-31).
Analyse des tendances observées sur les postes d’actifs pour la période 2005-2024, en se concentrant sur les évolutions et les variations significatives sans faire référence au contexte externe non fourni dans les données.
- Actif circulant (en millions de dollars américains)
- Le niveau de l’actif circulant présente des fluctuations marquées tout au long de la période, sans tendance monotone claire. Le minimum enregistré est de 6 006 (2006) et le maximum est de 18 681 (2019). Une augmentation notable est observée entre 2009 et 2010, passant de 8 086 à 13 059. Entre 2011 et 2014, l’actif circulant varie autour de 9 000 à 13 900, avec un nouveau pic en 2014 à 13 873. Après 2014, les valeurs s’affaissent progressivement sur 2015-2018, se déplaçant entre environ 7 900 et 9 900. En 2019, un pic important survient à 18 681, suivi d’un repli rapide en 2020 à 8 819 et d’une fluctuation autour de 8 375 à 10 211 sur 2021-2024 (valeurs dominantes : 10 211 en 2021; 8 886 en 2022; 8 375 en 2023; 9 070 en 2024).
- Total de l’actif (en millions de dollars américains)
- La série des actifs totaux montre une progression jusqu’à la première moitié des années 2010, avec une montée générale jusqu’à 69 443 en 2013, puis une baisse marquée en 2014 à 56 259. Cette décrue se poursuit jusqu’en 2018, où l’actif total se situe autour de 43 000 à 44 000. En 2019, une rupture majeure apparaît avec un pic très élevé à 109 330, qui est suivi d’un recul significatif en 2020 à 80 064 et d’un cheminement plus stable autour de 72 000-75 000 entre 2021 et 2023, avant une nouvelle hausse en 2024 à 85 445. Cette dynamique reflète une période de forte volatilité et une étape exceptionnelle en 2019, après laquelle les niveaux d’actifs se normalisent, mais restent plus volatiles que dans les années pré-2019.
- Ratio actif circulant / Total de l’actif (Actif circulant ÷ Total de l’actif)
- Le ratio se situe globalement dans une plage comprise entre environ 0,11 et 0,25 sur l’ensemble de la période. Il est plus élevé autour de 0,25 lors des périodes 2005–2006 et 2009–2010, puis se maintient entre 0,15 et 0,25 jusqu’en 2018. En 2019, le ratio diminue à environ 0,17, reflétant la forte hausse du total de l’actif relative à l’actif circulant. En 2020, le ratio chute fortement à environ 0,11 et demeure relativement bas entre 2021 et 2024, oscillant entre 0,11 et 0,14. Cette évolution suggère une dynamique où les augmentations du total de l’actif, notamment en 2019, ne s’accompagnent pas d’une proportionnelle augmentation de l’actif circulant, entraînant une pression temporaire sur la liquidité relative.
- Points d’attention et observations complémentaires
- La période 2019 se caractérise par une hausse exceptionnelle du total de l’actif et une augmentation moindre de l’actif circulant, ce qui entraîne une réduction du ratio actif circulant / actif total. La très forte augmentation du total de l’actif en 2019 et les variations subséquentes (retraits en 2020-2022 puis reprise partielle en 2023-2024) indiquent une volatilité notable des postes non courants ou des éléments structurels du bilan. Le niveau du ratio de liquidité, bien que fluctuante, reste relativement faible sur les années 2020-2024 (autour de 0,11-0,14), ce qui peut suggérer une dépendance accrue à des sources de financement ou à des éléments non courants pour soutenir l’actif total pendant ces périodes.
Bilan : passif et capitaux propres
Occidental Petroleum Corp., certains éléments du passif et des capitaux propres, tendances à long terme
en millions de dollars américains
Passif à court terme | Dette à long terme, y compris les échéances courantes | Capitaux propres | |
---|---|---|---|
31 déc. 2024 | |||
31 déc. 2023 | |||
31 déc. 2022 | |||
31 déc. 2021 | |||
31 déc. 2020 | |||
31 déc. 2019 | |||
31 déc. 2018 | |||
31 déc. 2017 | |||
31 déc. 2016 | |||
31 déc. 2015 | |||
31 déc. 2014 | |||
31 déc. 2013 | |||
31 déc. 2012 | |||
31 déc. 2011 | |||
31 déc. 2010 | |||
31 déc. 2009 | |||
31 déc. 2008 | |||
31 déc. 2007 | |||
31 déc. 2006 | |||
31 déc. 2005 |
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2024-12-31), 10-K (Date du rapport : 2023-12-31), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31), 10-K (Date du rapport : 2011-12-31), 10-K (Date du rapport : 2010-12-31), 10-K (Date du rapport : 2009-12-31), 10-K (Date du rapport : 2008-12-31), 10-K (Date du rapport : 2007-12-31), 10-K (Date du rapport : 2006-12-31), 10-K (Date du rapport : 2005-12-31).
Analyse des tendances observées dans les postes financiers sur la période 2005-2024, en se basant sur les valeurs en millions de dollars américains et en se concentrant sur les évolutions et les points marquants.
- Passif à court terme
- Le passif à court terme présente une évolution globalement croissante avec des fluctuations. Entre 2005 et 2007, il s'accroît progressivement de 4 280 à 6 266, puis se replie légèrement en 2008-2009 autour de 6 000. Une hausse plus marquée intervient en 2010-2011, atteignant près de 7 900, suivie d'une nouvelle hausse en 2013 (8 434). À partir de 2014, l'évolution devient plus volatile, oscillant entre environ 6 800 et 8 500 jusqu'en 2018. Le niveau saute notablement en 2019, passant de 7 412 à 14 949, soit une augmentation substantielle et une rupture par rapport aux années précédentes. Après ce pic, les valeurs fluctuent autour de 8 000 à 9 500 pour 2020-2024, avec un nouveau point haut en 2024 à 9 521. Globalement, le poste montre une tendance de hausse marquée en 2019 et des fluctuations subséquentes autour d'un niveau élevé relatif par rapport à la période pré-2019.
- Dette à long terme, y compris les échéances courantes
- La dette longue terme suit une trajectoire ascendante générale jusqu'en 2018, s'élevant de 2 919 en 2005 à 10 317 en 2018, avec des variations annuelles entre 1 788 et 10 317. Une rupture majeure survient en 2019, lorsque le poste explose à 38 588, puis 36 185 en 2020. Après cette période, la dette demeure élevée mais montre une première décrue en 2021 à 29 617, puis une poursuite du déclin jusqu'en 2023 à environ 19 738, avant d'augmenter à nouveau en 2024 à 26 116. Le motif clé est une augmentation spectaculaire en 2019-2020 suivie d'une bascule progressive vers des niveaux plus modérés à partir de 2021, avec une reprise partielle en 2024.
- Capitaux propres
- Les capitaux propres affichent une hausse soutenue de 2005 à 2013, passant de 15 032 à 43 126. Une contraction marquée survient ensuite entre 2014 et 2018, avec un recul jusqu'à 21 497 en 2016 et 20 572 en 2017, puis 21 330 en 2018. En 2019, les capitaux propres rebondissent fortement, atteignant 34 232. En 2020, ils chutent à 18 573, puis se stabilisent autour de 20 000 en 2021. Une reprise plus soutenue démarre en 2022 avec une hausse à 30 085, et se prolonge en 2023 (30 250) et 2024 (34 159). Ainsi, les capitaux propres présentent une dynamique cyclique importante, marquée par une forte reprise en 2019, une faiblesse relative en 2020 et une consolidation puis une hausse soutenue à partir de 2022.
En synthèse, les données montrent une volatilité notable des postes liés à l'endettement et à l'équité sur la période examinée. Le passif à court terme et la dette à long terme connaissent des épisodes de hausse marquée autour de 2019-2020, avec des niveaux qui évoluent ensuite vers des valeurs plus volatiles mais à des niveaux élevés ou modérés selon le poste. Les capitaux propres présentent une trajectoire cyclique avec une forte hausse jusqu'au milieu des années 2010, suivie d'un creux en 2020 et d'une reprise importante à partir de 2022.
Tableau des flux de trésorerie
Occidental Petroleum Corp., certains éléments de l’état des flux de trésorerie, tendances à long terme
en millions de dollars américains
12 mois terminés le | Flux de trésorerie nets liés aux activités d’exploitation | Flux de trésorerie nets utilisés par les activités d’investissement | Flux de trésorerie nets provenant des activités de financement |
---|---|---|---|
31 déc. 2024 | |||
31 déc. 2023 | |||
31 déc. 2022 | |||
31 déc. 2021 | |||
31 déc. 2020 | |||
31 déc. 2019 | |||
31 déc. 2018 | |||
31 déc. 2017 | |||
31 déc. 2016 | |||
31 déc. 2015 | |||
31 déc. 2014 | |||
31 déc. 2013 | |||
31 déc. 2012 | |||
31 déc. 2011 | |||
31 déc. 2010 | |||
31 déc. 2009 | |||
31 déc. 2008 | |||
31 déc. 2007 | |||
31 déc. 2006 | |||
31 déc. 2005 |
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2024-12-31), 10-K (Date du rapport : 2023-12-31), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31), 10-K (Date du rapport : 2011-12-31), 10-K (Date du rapport : 2010-12-31), 10-K (Date du rapport : 2009-12-31), 10-K (Date du rapport : 2008-12-31), 10-K (Date du rapport : 2007-12-31), 10-K (Date du rapport : 2006-12-31), 10-K (Date du rapport : 2005-12-31).
- Flux de trésorerie nets liés aux activités d’exploitation (en millions de dollars américains)
- Les flux de trésorerie nets liés aux activités d’exploitation présentent une dynamique positive globale avec des fluctuations importantes d’une année à l’autre. Les montants évoluent de 5 337 en 2005 à 6 181 en 2006, puis à 6 660 en 2007 et culminent en 2008 à 10 629. Après une régression en 2009 à 5 856, une reprise se produit en 2011 à 12 306 et en 2013 à 12 983, avant d’osciller autour de niveaux élevés. Une baisse sensible est observée en 2014 (8 871) et en 2015–2016 (3 254 et 2 519). À partir de 2017, la série se raffermit à 4 996 puis à 7 669 en 2018, avant de se replier à 7 203 en 2019 et 3 842 en 2020. Le retournement positif survient en 2021 avec 10 253, suivi d’un sommet historique en 2022 à 16 810. Les années 2023 et 2024 enregistrent des niveaux plus modérés mais toujours positifs, à 12 308 et 11 739 respectivement.
- Flux de trésorerie nets utilisés par les activités d’investissement (en millions de dollars américains)
- Les flux nets utilisés par les activités d’investissement affichent des sorties nettes structurellement négatives, reflétant des investissements importants. Les montants évoluent de -3 161 en 2005 à -4 378 en 2006 puis -3 117 en 2007 et atteignent un point critique en 2008 avec -9 457. Les années 2009 et 2010 enregistrent des outflows de -5 327 et -8 663, suivis d’un pic significatif en 2011 et 2012 avec -12 473 et -12 655. Après ces niveaux élevés, la série demeure négative mais se modère, passant à -8 193 en 2013, -6 244 en 2014 et -5 423 en 2015, puis -4 742 en 2016 et -3 214 en 2017 et -3 206 en 2018. Un épisode exceptionnel survient en 2019 avec -28 873, puis le niveau d’investissement net diminue en 2020 (-778) et 2021 (-1 174), avant de rebondir fortement à -4 872 en 2022, -6 980 en 2023 et -14 590 en 2024.
- Flux de trésorerie nets fournis par les activités de financement (en millions de dollars américains)
- Les flux nets fournis par les activités de financement présentent une distribution hétérogène. Les années 2005 à 2009 affichent des sorties nettes modestes (-1 186 à -3 045), puis une entrée positive en 2010 (+1 083). Par la suite, les flux restent majoritairement négatifs avec -1 175 en 2011 et -846 en 2012, et -2 933 en 2013. En 2014, l’outflow se poursuit (-2 326), puis une phase d’apport positif réapparaît en 2015 (+1 484) et en 2016 (+391). Les années 2017 et 2018 enregistrent des sorties nettes plus importantes (-2 343 et -3 102). L’année 2019 se distingue par une entrée très élevée (+21 196), suivie d’un resserrement des flux de financement avec -4 508 en 2020, -8 564 en 2021 et -13 715 en 2022. En 2023, la situation demeure négative (-4 890) avant une reprise positive en 2024 (+3 844).
Données par action
12 mois terminés le | Bénéfice de base par action1 | Bénéfice dilué par action2 | Dividende par action3 |
---|---|---|---|
31 déc. 2024 | |||
31 déc. 2023 | |||
31 déc. 2022 | |||
31 déc. 2021 | |||
31 déc. 2020 | |||
31 déc. 2019 | |||
31 déc. 2018 | |||
31 déc. 2017 | |||
31 déc. 2016 | |||
31 déc. 2015 | |||
31 déc. 2014 | |||
31 déc. 2013 | |||
31 déc. 2012 | |||
31 déc. 2011 | |||
31 déc. 2010 | |||
31 déc. 2009 | |||
31 déc. 2008 | |||
31 déc. 2007 | |||
31 déc. 2006 | |||
31 déc. 2005 |
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2024-12-31), 10-K (Date du rapport : 2023-12-31), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31), 10-K (Date du rapport : 2011-12-31), 10-K (Date du rapport : 2010-12-31), 10-K (Date du rapport : 2009-12-31), 10-K (Date du rapport : 2008-12-31), 10-K (Date du rapport : 2007-12-31), 10-K (Date du rapport : 2006-12-31), 10-K (Date du rapport : 2005-12-31).
1, 2, 3 Données ajustées pour tenir compte des fractionnements et des dividendes en actions.
- Bénéfice de base par action
- La série montre une volatilité marquée autour de périodes de cycles de prix des matières premières et de réformes opérationnelles. Entre 2005 et 2008, le bénéfice de base par action oscille globalement entre environ 4,9 et 8,4 US$, atteignant un pic en 2008 à 8,39 US$. En 2009 et 2010, la valeur se replie à 3,59 puis 5,57 US$, avant de repartir à la hausse en 2011 (8,32 US$) et de retomber en 2012 (5,67 US$) puis 2013 (7,33 US$). Une chute marquée est observée en 2014 (0,79 US$), suivie par une période négative et des pertes importantes à partir de 2015 (−10,23 US$) et 2016 (−0,75 US$), avec une récupération lente en 2017 (1,71 US$) et 2018 (5,40 US$). En 2019, une légère perte est enregistrée (−1,22 US$), puis un grand recul en 2020 (−17,06 US$) qui précède une reprise en 2021 (1,62 US$) et un sommet notable en 2022 à 13,41 US$. Le niveau se détériore ensuite en 2023 (4,22 US$) et 2024 (2,59 US$). Dans l’ensemble, la série présente des cycles de forte rentabilité suivis de périodes de creux importants, avec une reprise particulièrement robuste en 2022 après une année 2021 positive mais plus modeste.
- Bénéfice dilué par action
- Le bénéfice dilué par action suit globalement la même dynamique que le bénéfice de base, avec des variations d’amplitude similaires. Il atteint un niveau élevé autour de 8,32 US$ en 2011, puis oscille autour de 5–7 US$ jusqu’en 2013. Une forte dégradation survient en 2014–2016, avec 0,79 US$ en 2014 et des valeurs négatives en 2015 (−10,23 US$) et 2016 (−0,75 US$). À partir de 2017, une amélioration est observée (1,70 US$), suivie d’un pic en 2018 (5,39 US$). En 2019, une légère perte est enregistrée (−1,22 US$), puis une chute plus marquée en 2020 (−17,06 US$). Une reprise est perceptible en 2021 (1,58 US$) et un nouveau sommet en 2022 (12,40 US$), avant de se replier en 2023 (3,90 US$) et 2024 (2,44 US$). Dans l’ensemble, les épisodes de pertes majeures reflètent des périodes de stress opérationnel ou structurel, tandis que les épisodes de 2021–2022 illustrent une récupération sensible.
- Dividende par action
- Le dividende par action montre une progression soutenue de 0,65 US$ en 2005 à 3,14 US$ en 2019, avec une progression régulière jusqu’en 2014–2019 où il atteint 2,88–3,14 US$. Une rupture marquée intervient en 2020, lorsque le dividende chute à 0,82 US$, et continue à 0,04 US$ en 2021, indiquant une politique de réduction des paiements en réponse à des résultats opérationnels défavorables. À partir de 2022, le dividende montre une reprise progressive avec 0,52 US$ en 2022, 0,72 US$ en 2023 et 0,88 US$ en 2024, suggérant une stabilisation et une montée progressive du flux de liquidités disponible pour les actionnaires après la période de stress. Dans l’ensemble, la tendance de long terme montre une hausse initiale soutenue jusqu’au milieu des années 2010, suivie d’un pic de durabilité puis d’un creux en 2020–2021, avec une récupération partielle et graduelle par la suite.