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Reynolds American Inc. (NYSE:RAI)

22,49 $US

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Structure du bilan : actif

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Reynolds American Inc., structure du bilan consolidé : actifs

Microsoft Excel
31 déc. 2016 31 déc. 2015 31 déc. 2014 31 déc. 2013 31 déc. 2012
Trésorerie et équivalents de trésorerie
Placements à court terme
Comptes débiteurs
Comptes débiteurs, apparentés
Effets à recevoir
Autres créances
Inventaires
Impôts différés, montant net
Autres actifs circulants
Actif circulant
Immobilisations corporelles, montant net
Marques de commerce et autres immobilisations incorporelles, déduction faite de l’amortissement cumulé
Survaleur
Autres actifs et charges reportées
Actifs non courants
Total de l’actif

D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31).


Évolution de la trésorerie et équivalents de trésorerie
La proportion de la trésorerie et équivalents de trésorerie par rapport à l’actif total a connu une baisse progressive de 15,11 % en 2012 à 4,01 % en 2016. Cette tendance indique une diminution relative des liquidités disponibles, ce qui pourrait refléter une réduction des encaissements ou une utilisation accrue des liquidités pour des investissements ou le financement d'activités opérationnelles.
Placements à court terme
Les placements à court terme représentent une part négligeable de l’actif pour 2016, avec seulement 0,28 %, ne permettant pas d’émettre une analyse plus approfondie de leur évolution sans données antérieures. Leur inclusion en 2016 pourrait indiquer une gestion limitée de ces actifs à court terme ou une recentralisation sur d’autres instruments financiers.
Comptes débiteurs
La part des comptes débiteurs dans l’actif total a augmenté de 0,53 % en 2012 à 0,76 % en 2014, pour ensuite fortement diminuer à 0,13 % en 2015 et rester stable en 2016. La réduction significative à partir de 2014 pourrait signaler un encaissement plus efficace ou une politique de crédit plus stricte.
Comptes débiteurs apparentés
Les comptes débiteurs apparentés ont suivi une tendance à la baisse, passant de 0,37 % en 2012 à 0,07 % en 2015, puis augmentant légèrement à 0,22 % en 2016. Ce comportement pourrait indiquer un recentrage sur des partenaires essentiels ou une réduction des opérations avec des entités apparentées.
Effets à recevoir et autres créances
Les effets à recevoir ont été enregistrés uniquement en 2012 et 2013, représentant environ 0,21-0,24 % de l’actif, puis disparaissent des données par la suite. Les autres créances ont connu une baisse continue, passant de 0,10 % en 2012 à 0,02 % en 2016, reflétant une gestion plus stricte des créances à court terme et un encaissement plus efficace.
Inventaires
La proportion d'inventaires a été relativement élevée en 2012 (5,94 %) et 2013 (7,32 %), culminant en 2014 avec 8,43 %, avant de diminuer rapidement en 2015 à 3,26 % et se stabiliser à 3,22 % en 2016. La baisse significative après 2014 peut indiquer une rationalisation de la gestion des stocks ou une diminution de la production ou des ventes en stock.
Impôts différés et autres actifs circulants
Les impôts différés représentaient une part non négligeable en 2012 (5,48 %), puis ont chuté à 3,93 % en 2013 et 4,63 % en 2014.’En 2015, ils ont encore diminué pour atteindre 1,94 %, indiquant possiblement une réduction des différés fiscaux. Les autres actifs circulants ont également connu une baisse progressive, renforçant l’idée d’une baisse de la composante circulante de l’actif.
Actif circulant
La part de l’actif circulant dans l’actif total a subi une baisse continue, passant de 29,06 % en 2012 à 8,29 % en 2016. Cette tendance reflète une désaisissement progressif des actifs circulants, notamment par la réduction importante des stocks et des créances à court terme.
Immobilisations corporelles
Les immobilisations corporelles ont connu une croissance en proportion, passant de 6,26 % en 2012 à 7,92 % en 2014, puis une chute en 2015 à 2,36 %, avant de se stabiliser à 2,64 % en 2016. Cette variation peut refléter des investissements ponctuels ou des cessions d’actifs physiques.
Immobilisations incorporelles et survaleur
Les immobilisations incorporelles, notamment les marques et autres droits, ont fortement augmenté en proportion dans l’actif total, passant de 14,83 % en 2012 à 15,69 % en 2013, puis à 15,93 % en 2014, avant de connaître une hausse spectaculaire à 55,36 % en 2015, et se stabiliser à 57,63 % en 2016. La survaleur suit une tendance similaire, passant de 48,38 % en 2012 à environ 52,75 % en 2014, puis chutant à 30,05 % en 2015, et retrouvant une légère hausse à 31,3 % en 2016. La forte croissance des immobilisations incorporelles après 2014 indique probablement une acquisition ou une valorisation accrue de marques ou autres actifs intangibles. La survaleur, représentant une part importante de l’actif total, souligne l’intérêt stratégique porté à la valeur des actifs incorporels.
Autres actifs et charges reportées
Ces éléments ont représenté une faible part de l’actif, avec une légère baisse au fil des années, passant de 1,46 % en 2012 à 0,14 % en 2016, traduisant leur rôle moins central dans la structure globale de l’actif.
Actifs non courants
Les actifs non courants ont augmenté leur part dans l’actif total, passant de 70,94 % en 2012 à 78,13 % en 2014, puis à 88,38 % en 2015 et 91,71 % en 2016. Ce déplacement marqué vers les actifs non courants suggère une orientation stratégique vers des investissements à long terme ou une désinvestissement de l’actif circulant, avec un accent accru sur la détention d’actifs durables.
Synthèse
Dans l’ensemble, la structure financière montre une forte croissance de la part des actifs non courants, une diminution notable des actifs circulants, notamment des stocks et des créances à court terme, ainsi qu’une hausse significative des immobilisations incorporelles et de la survaleur. La réduction de la liquidité relative traduit une gestion centrée sur les investissements à long terme et une moindre dépendance aux liquidités immédiates. La valorisation accrue des actifs incorporels indique une stratégie axée sur la valorisation de la propriété intellectuelle et des actifs immatériels, tandis que le déplacement vers des actifs non courants suggère une démarche de croissance durable ou de repositionnement stratégique.