Structure du compte de résultat
Espace pour les utilisateurs payants
Essayer gratuitement
General Mills Inc. pages disponibles gratuitement cette semaine :
- État des résultats
- Bilan : actif
- Analyse des ratios de solvabilité
- Analyse des ratios d’activité à long terme
- Rapport valeur/ EBITDA d’entreprise (EV/EBITDA)
- Modèle d’évaluation des immobilisations (CAPM)
- Sélection de données financières depuis 2005
- Ratio de marge bénéficiaire nette depuis 2005
- Ratio de marge bénéficiaire d’exploitation depuis 2005
- Cumul des régularisations
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2019-05-26), 10-K (Date du rapport : 2018-05-27), 10-K (Date du rapport : 2017-05-28), 10-K (Date du rapport : 2016-05-29), 10-K (Date du rapport : 2015-05-31), 10-K (Date du rapport : 2014-05-25).
- Tendance du coût des ventes
- Le pourcentage du chiffre d’affaires consacré au coût des ventes a généralement augmenté au fil du temps, passant de 64,43 % en 2014 à 65,87 % en 2019. Cette hausse indique une augmentation relative des coûts de production ou d'approvisionnement par rapport aux revenus, ce qui pourrait affecter la marge brute à long terme.
- Évolution de la marge brute
- La marge brute a fluctué au cours de la période, atteignant un pic à 35,62 % en 2017 avant de diminuer pour s’établir à 34,13 % en 2019. La tendance générale montre une légère réduction de la rentabilité brute, qui pourrait refléter une pression sur les coûts ou une intensification de la concurrence.
- Frais de vente, frais généraux et frais administratifs
- Ces frais sont restés relativement stables en tant que pourcentage du chiffre d’affaires, avec une légère baisse, passant de 19,4 % en 2014 à 17,41 % en 2019. La stabilité ou la légère diminution indiquent un contrôle efficace des coûts opérationnels dans cette catégorie.
- Gains (pertes) de cessions
- Ce poste a présenté une variabilité, étant positif en 2014 (0,37 %) et en 2016 (0,89 %), puis devenant négatif en 2017 (-0,09 %) et 2019 (-0,18 %). Ces fluctuations peuvent refléter la cession de certains actifs ou investissements, influençant la performance extra-ordinaire de l’entreprise.
- Coûts liés aux restructurations et autres coûts de sortie
- Ce poste a connu une augmentation en pourcentage, passant de -0,02 % en 2014 à -1,63 % en 2019, ce qui indique une intensification des dépenses liées à la restructuration ou à des dépréciations exceptionnelles au cours de la période.
- Résultat d’exploitation
- Le résultat d’exploitation a connu une baisse en 2015, atteignant 11,78 %, puis a retrouvé un niveau supérieur en 2016 (16,35 %) avant de diminuer à nouveau pour atteindre 14,92 % en 2019. La tendance suggère une certaine volatilité dans la rentabilité opérationnelle, avec une tendance générale à la baisse entre 2016 et 2019.
- Charges et revenus financiers
- Les charges d’intérêts ont augmenté en pourcentage du chiffre d’affaires, passant de -1,78 % en 2014 à -3,13 % en 2019, illustrant une hausse de l’endettement ou du coût de la dette. Les revenus d’intérêts sont restés faibles et stables, généralement faibles ou négatifs, ce qui indique une faiblesse des placements financiers ou une gestion prudente en matière de revenus financiers.
- Bénéfice avant et après impôts
- Le bénéfice avant impôts a connu des fluctuations, culminant à 14,82 % en 2014 puis chutant à 9,99 % en 2015 avant de se redresser légèrement pour se stabiliser autour de 14,54 % en 2017. Cependant, une baisse est observée en 2019 à 12,34 %. La tendance traduit une volatilité des résultats fiscaux ou opérationnels.
- Impact des impôts
- Le pourcentage des impôts par rapport au chiffre d’affaires a varié considérablement, notamment en 2018 avec une réduction significative à -0,36 %, puis une hausse en 2019 à -2,18 %, ce qui indique une variabilité dans la charge fiscale ou dans les stratégies d’optimisation fiscale.
- Bénéfice net et ses composantes
- Le bénéfice net attribuable à General Mills a connu une hausse notable en 2018, atteignant 13,54 %, avant de diminuer à 10,39 % en 2019. La part du bénéfice attribuable aux participations ne donnant pas le contrôle est restée faible et relativement stable. L’évolution du bénéfice net suggère une amélioration ponctuelle en 2018, suivie d’un repli en 2019, reflétant la volatilité des résultats nets.